Avarice

La littérature se caractérise comme un aspect spécifique de la communication verbale qui a un but précis en vue du destinataire. C’est pourquoi, il est légitime de se demander si la littérature a pour seule fonction que de dénoncer les défauts de l’homme. Nous verrons donc si les textes littéraires servent seulement à révéler et à critiquer les défauts de l’être humain. Dans un premier temps, nous remarquerons que la littérature peut servir à dénoncer les imperfections de l’homme toutefois nous pourrons

Elle a une fin incroyable et heureuse : deux mariages et les retrouvailles d’une famille. 2. l’auteur dénonce avec beaucoup d’humour les travers du protagoniste, Harpagon : une avarice poussée a l’extrême 3. tous les exemples de comiques y sont représentés : Comiques de caractère Les exemples d’une avarice poussée à l’ extrême : * Harpagon veut marier sa fille au seigneur Anselme qui accepte de la recevoir « sans dot ». cela malgré le tort qu’un tel union pourrait causer à sa fille

Séraphin Poudrier, celui-ci économisait non pas par manque mais par habitude et par traumatisme. Ce traumatisme apparu durant son enfance, dans les années où il ne vivait qu’avec dix dollars par an. Voici donc quelques extraits qui nous prouvent son avarice : Le premier extrait va comme suit : «L’économie est devenue non pas seulement une qualité, mais une vertu. Il faut ménager.»(p.12) Voici le deuxième extrait qui est écrit dans la préface à la page vingt-sept : «C’est le même homme qui, un jour

ne donne pas une idée de comédie (L’école du mensonge). Ils voulaient aussi que cette œuvre était proche du drame. Grâce au personnage Harpagon, la pièce est devenue immortelle, la pièce exploit la veine des caractères, Harpagon est dévoré par son avarice. Cette comédie nous montre un tableau de son époque en représentant une riche famille bourgeoise du XVIIème siècle. Les sources de L’Avare Il prend la source de l’Avare sur plusieurs œuvres, comme par exemple La Dame d’Intrigue de Chappuzeau, (qui

A - Molière (1622-1673), l'Avare, 1668, Acte II, sc.5. [Harpagon, vieillard d'une avarice extrême, est veuf et veut épouser la jeune Mariane que son fils Cléante aime en secret. Pour réaliser ce mariage, Harpagon a recours à une entremetteuse, Frosine, qui le flatte pour en obtenir de l'argent.] FROSINE. — Voilà de belles drogues(1) que des jeunes gens, pour les aimer ! Ce sont de beaux morveux, de beaux godelureaux(2) , pour donner envie de leur peau ! et je voudrais bien savoir quel ragoût(3)

les maitres. Les personnages principaux sont eugenie ;le père grandet ; sa femme ; la grande nanon et enfin charles : le neuveu du père grandet donc le cousin d eugenie. Félix Grandet a été tonnelier. Grâce à un sens aigu des affaires et à son avarice il a réussi à faire fortune . Autrefois maire de Saumur, il fait maintenant fructifier sa grande fortune en faisant croire à sa femme, à sa fille Eugénie, et à sa servante Nanon qu’ils ne sont pas riches. Les habitants de Saumur, voient en Eugénie

caractéristiques au qui explique que son père le voit comme un simple charmeur et qu’il lui porte peut de respect, car le fils en question est vu comme un rival pour son argent. Dans un autre ordre d’idées, le personnage est tellement affecté par son avarice qu’il en devient paranoïaque. Au moment où Harpagon se parle seul, à la page 34, il dit :. Dans cet extrait il y a présence d’une personnification, car on donne la capacité d’être suspect à un objet. À l’aide de ce procédé, on exprime que les coffres

analyse. Pour débuter, il sera question des actions de la scène, et par la suite, il sera question du portrait social de quelques un des personnages de la pièce. Pour débuter cette analyse, c'est évident que les actions d'Harpagon reflètent son avarice dans cet extrait de texte. C'est plutôt évident de voir les multitudes de caprices quand Harpagon entend qu'il faut de l'argent. La discussion entre Harpagon, maître Jacques et Valère tourne a l'entour de faire un bon souper avec peu d'argent. Maître

de Shakespeare. Cet argent mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent. » La crudité d’un tel aveu ne relève pas vraiment de la comédie. Prononcé sous l’effet de la colère, il n’en reste pas moins inquiétant. En effet l’intermédiaire, maître

la précieuse cassette qui contenait toute sa richesse. Enervé, le protagoniste se lance dans un monologue afin d’exprimer sa colère et son désarroi. Nous allons voir tout d’abord la complexité du personnage d’Harpagon, un homme nerveux doté d’une avarice extrême mais également le pathétique du personnage. Nous verrons par la suite comment la situation, les gestes ainsi que le langage du protagoniste donnent à cette scène un aspect comique. N’énonce pas les sous-parties, les grands axes suffisent