Ba'al Hammon

appelé «tophet ». le tophet a, quant à lui, été découvert et fouillé par les archéologues. On y noterait une très forte tendance à la substitution, des animaux remplaçant les enfants du moins en période de prospérité.Ce sacrifice peut être offert à Ba'al Hammon ou à sa parèdre, Tani. En 146 av J-C Carthage a été incendié par Rome au cour de la troisième guerre punique. La ville de Carthage aura prospérer pendant près de 7 siècles.

une déesse phénicienne, chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance. Elle était la déesse tutélaire de la ville de Serepta et son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée Oum. Elle était la parèdre du dieu Ba'al Hammon. Tanit est dénommée Tanit péné Baal (littéralement « face de Baal ») après environ 400 avant J.-C., ainsi que Tinit[1] ou Tinêt. Tanit a été interprétée par les Romains comme une forme particulière de Junon : Iuno Caelestis vite devenue Caelestis

Elle prend le nom de Tanit ou Oum chez les Carthaginois où son culte prendra de l'ampleur. Elle était chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance. Elle était la parèdre du Dieu Ba'al Hammon.   Baal ou Ba'al :  Dieu principal, il se nomme aussi : En Hébreu : בַּעַל, בָּעַל  Bá'al qui signifie seigneur, enAkkadien : Bēl, en Phénicien : בעלת Ba'alat. De nombreux noms de Rois vont être précédés du nom Baal. ÀOugarit Baal était connu par plusieurs titres : "Roi des Dieux", "le Très-Haut"

guerres puniques (en 146 avant J.-C.). Elle fut incendiée à ce moment-là, ce qui fait que l’on ne trouve que peu de sources de son passé. Le panthéon carthaginois est constitué de deux grands dieux et d’autres moins connus. Les plus connus sont Baal-Hammon et TanitAstarté. Les habitants de Carthage faisaient des sacrifices d’enfants, nommés molk, où ils incinéraient des nouveau-nés et répandaient leurs cendres sur la terre. Carthage On trouve quelques objets d’art carthaginois, mais pas énormément

ses origines sémitiques et ouverte à des formes empruntées à d’autres domaines religieux. Les sources ne permettent pas de cerner avec précision la « personnalité » de ses dieux principaux. On s’attachera néanmoins à approcher plus précisément Baal Hammon, Tanit et Melqart, leurs sanctuaires et le culte qui leur était rendu. Deux aspects nous retiendrons plus particulièrement dans le cadre de notre réflexion d’ensemble : d’abord la « naissance » de ces dieux, ensuite les sacrifices effectués en leur

eussent installé leur Ba’al(2) auquel on superposa Saturne représenté quelquefois monté sur un lion (Corpus inscriptionum latinarum, VIII, 20437, 20448) on accompagné de l’épithète de Sohare(n)sis à Henchir bou Bekr (C. I. L. VIII, 12390, 12392). Le Ba’al Qarnin, qui y était adoré par les Phéniciens et, sans doute à. leur imitation, par les indigènes, était une divinité toute sémitique comme le Ba’al de l’Hermon ou le Ba’al du Liban(3) qui avait comme parèdre la Tanit Pené Ba’al dont on a retrouvé une

d'origine phénicienne chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance. Elle était la déesse tutélaire de la ville de Serepta et son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée Oum. Elle était la parèdre du dieu Ba'al Hammon. DIDON: (Suite Présidentiel) La fille de Bélos et la sœur du roi de Tyr Pygmalion et la fondatrice légendaire et première reine de Carthage. Description chambres: Climatisation / Chauffage : Air conditionné chaud & froid. Dressing dans

extraordinaires des dieux. Dans la métropole de Tyr, ces sacrifices (molek), réels ou de substitution, étaient présentés à Baal, mais les stèles trouvées au tophet nous révèlent les noms de Tanit, une déesse de fertilité typiquement carthaginoise, et de Baal Hammon. On distingue plusieurs phases au tophet. • • • Au cours de la phase dite Tanit 1, des centaines d'ossuaires sont nichés dans des caveaux creusés à même le roc, couverts par un tapis de sable fin. Au cours de la phase dite Tanit 2, on note la construction