Bailli

est dévote. 45ans en 1689 L'Ingénu --> Huron, né de parents libre et naïf. Il parle 3 langues, Anglais, Français et Huron (il préfère la langue Huronne) Le bailli --> Officier qui rend la justice. Est présent lors du souper avec l'Ingénu, l'abbé, sa soeur, l'abbé de Saint Yves, la soeur de cet abbé (Mlle Basse-Brette), la femme du bailli, et le receveur des tailles (impôts) et sa femme. (9personnes au souper) M.Gordon --> un co-détenu M.Saint-Pouange --> va permettre la libération de l'Ingénu

des coutumes et l'importance de la coutume dans la justice. L'auteur de ce texte, Philippe de BEAUMANOIR, est le fils cadet d'un noble, devenu bailli, c'est-à-dire fonctionnaire du roi, affecté dans une circonscription (= le baillage) où il exerce des fonctions judiciaires et financières au nom du roi. Philippe de BEAUMANOIR a été successivement bailli à Senlis, à Clermont, à Tours et dans le Vermondois, acquérant ainsi d'une part une connaissance pratique et complète des coutumes du comté, et d'autres

savoir de quels revenus il dispose pour sa campagne. Comme je l'ai dit en introduction, il est fait collectivement par des commissaires de la cour des comptes de Paris. Ce dénombrement de population a été réalisé par les officiers royaux locaux, les baillis et les sénéchaux, à I'intention de leur nouveau souverain Philippe VI de Valois, monté sur le trône en avril 1328. Ces commissaires ne se sont que peu rendus sur le terrain et ce document a ainsi été établis en environ 2 mois. Ils ont utilisés

s'il ne pouvait se marier avec sa marraine. Mlle de Kerkabon lui proposa de rendre visite au pape, qui pourrait lui donner l'accord pour se marier. Le Huron refusa d'aller si loin et décida d'aller chez les St-Yves demander sa femme en mariage. Le bailli, qui rentrait à cet instant se rendit compte que son projet de marier son fils à Mlle de St-Yves tombait à l'eau. VI - CHAPITRE VI « L'Ingénu » accourut chez Mlle de St-Yves et voulut consommer le mariage (tradition du mariage Huron). Les cris de

des juridictions seigneuriales et des juridictions canoniques. les juridictions royales, vont au fil du temps supplanter les justices seigneuriales et ecclésiastiques. Les décisions de justice étaient prises par un juge unique (seigneur, prévôt, bailli ou sénéchal) ou par plusieurs magistrats pour les juridictions collégiales (présidial, amirauté, parlement). 1- juge unique 1-1-juridictions seigneuriales Depuis la période féodale le seigneur détient le droit de rendre la justice sur le territoire

Philippe de Beaumanoir est né en 1250 et est mort en 1296 dans le Beauvaisis ) et réédité par Paris Picard en 1970 . Il a été écrit à la demande du fils de Louis IX, Robert de Clermont, alors que Beaumanoir était bailli en Beauvaisis qui est une région du sud de la Picardie . Un bailli est le représentant de l'autorité du roi ou du prince, chargé de faire appliquer la justice et de contrôler l'administration en son nom. ''Coutumes de Beauvaisis '' se présente comme un recueil composé des droits des

la mort de leur frère. Ils lui seront d'une extrème bonté et d'un excellent recours tout au long de l'aventure. L'affection générale sera d'autant plus renforcée que l'Ingénu découvrira par hasard que l'abbé n'est autre que son oncle. Le bailli Le bailli est un représentant du roi en province, il est responsable de la justice Le père Tout-à-Tous L'onomastique est toujours intéressante à étudier, mais en reste complexe... 1. Saint Paul a écrit dans Epître aux Corinthiens « Je me suis

siècle. (voir fiche sur les Etats Généraux). • L’administration territoriale Elle regroupe principalement les baillis et les sénéchaux, crées du fait de l’expansion du domaine nécessitant le développement de l’administration locale. Baillis et sénéchaux recoupent une même réalité administrative, celle d’agents intermédiaires, placés au dessus des prévôts royaux. Le nom de baillis et donné dans la moitié nord du royaume, celui du sénéchaux dans le sud et l’ouest. Philippe Auguste est le premier

principes posés par le grand texte fondateur de 1254 et maintes fois repris depuis, elle interdit fermement la vénalité des charges, rappelle les incompatibilités liées à la parenté et au lignage, affine les modes de recrutement en particulier pour les baillis et leurs lieutenants, impose à tous les agents une obligation de résidence, réglemente le temps de travail et les conditions de rémunération en précisant ce qu’il faut entendre par salaire, notion qu’en aucun cas ne doit ternir la pratique tellement

intelligible il propose eau des barbade et en boit avc eux et charme les frere et la soeur sans but precis sauf curiosité il soupe au prieuré Mlle est sous le charme du Huron le bruit cours qu'un Huron est au prieuré tous se precipite le voir M. le Bailli Le Huron on l'appelle l'Ingénu car il fait ce quil veut et dit ce qu'il veut arrivé en angleterre car on lui a laissé le choix entre retourner avec ses parents ou partir en angleterre il a choisi l'angleterre car il n'a ni pere ni mere et qu'il aime