Bailli

compréhensible que celle de conseil à un ami de Pierre de Fontaine ou que les Etablissement de Louis IX. Durant le XIII siècle son succès reste plutôt local et s’étendra par la suite. On a d’abord voulu faire passer Beaumanoir pour un brave homme du bailli qui regardait autours de lui et décrivait ce qu’il voyait dans une langue naïve. On supposait même qu’il ne connaissait pas le latin. Mais en réalité, il s’avers que c’est un civiliste qui connait le latin et la doctrine des civilistes. Le choix de

Paragraphe 1 : les juridictions inférieures A) Baillis & sénéchaux Baillis au nord, sénéchaux au sud => avant baillis des prévaut au nord et des bayles au sud => pouvoir du roi dans le domaine => missions d’armées, finance et justice => insuffisants. Création d’une institution de contrôle => les baillis => inspecteurs en mission d’inspection => à l’origine temporaire. A partir de 1230 => un bailli contrôle plusieurs prévautés dans le cadre d’une circonscription

mettre au désespoir » Intro : Depuis le début, I = prieur (converti baptisé) : Mlle de Sé, marraine, s’intéresse fort à lui amour contrarié par convention et code sociaux. (XVIII stricte). Il veut l’épouser et court chez elle aux grandes dam du Bailli qui avait pour ID qu’il épouse son fils. I. L’amour selon la loi naturelle 1. L’ingénu ne se contrôle pas, ne se maitrise pas. * Intrusion dans un lieu d’intimité très important au 18è. il pousse la porte sans permission. Comportement choquant

des français. En premier lieu sera analysé l’attitude des Bretons puis dans un second lieu le bon sens de l’Ingénu qui diffère de celui des Bretons ; ces deux analyses révèleront les défauts des autres personnages. I. une odieuse attitude Le bailli, qui est censé être une personne correcte, fait preuve d’une curiosité extrême en assaillant l’Ingénu de questions allant même jusqu’à s’informer de sa religion. Mais il n’est pas le seul à avoir un mauvais comportement : quand elles apprennent que

" On doit le regarder comme une lumière de son temps et une grande lumière " c’est ainsi que Montesquieu, auteur de l’esprit des lois, désigna de Philippe de Beaumanoir. Ce dernier était un jurisconsulte français également bailli et écrivain. Il fut formé au droit coutumier et au droit romain.Vers 1283 il écrit « " Les Coutumes de Clermont en Beauvaisis " qui fut parmi les écrits juridiques de l’époque, le plus complet et le mieux rédigé. Dans son livre, il expose non seulement le droit de beauvaisis

conduite des jésuites. Monsieur de Louvois, de son côté, avait reçu une lettre de l’interrogant bailli, qui dépeignait l’Ingénu comme un garnement qui voulait brûler les couvents et enlever les filles.» (p. 40). Dans cet extrait, la présence d’une parodie satirique, alors que l’Ingénu est décrit de façon parodier par le bailli, prouve bien la critique de Voltaire envers Versailles. En fait, le bailli invoquerait n’importe quel raison pour faire enfermer l’Ingénu, et il serait tout de même emprisonné

va adopter un comportement correcte. Il a des longs cheveux tressés ((p.35)), il a l'air imposant mais doux ( (p.34)). L’abbé de Saint-Yves : L’abbé de Saint-Yves est le frère de Mlle de Saint-Yves et il est celui qui va baptiser l’Ingénu. Le bailli : Le bailli est le représentant du roi en Basse-Bretagne et c’est en partie à cause de lui que l’Ingénu va aller en prison. Résumé : Alors que l'abbé de Kerkabon et sa sœur lamentent la mort de leur frère et de sa femme partis au Canada, arrive par

narrateur au regard perspicace et critique. Au centre de la scène un étranger, un jeune indien de la tribu Huron, qui arrive en France ; autour de lui, toute une petite société qui l'observe en exprimant sans détour ses préjugés. On entend surtout le bailli, l'abbé de St. Yves et la soeur d'un prieur (l'abbé de Kerkabon) : le premier ne sait pas se taire et indispose l'Ingénu par son bavardage ; le second ainsi que Mademoiselle de Kerkabon a des naïvetés d'esprit ignorant les différences d'autrui. La

s'il ne pouvait se marier avec sa marraine. Mlle de Kerkabon lui proposa de rendre visite au pape, qui pourrait lui donner l'accord pour se marier. Le Huron refusa d'aller si loin et décida d'aller chez les St-Yves demander sa femme en mariage. Le bailli, qui rentrait à cet instant se rendit compte que son projet de marier son fils à Mlle de St-Yves tombait à l'eau. - CHAPITRE VI : «L'Ingénu» accourut chez Mlle de St-Yves et voulut consommer le mariage (tradition du mariage Huron). Les cris de secours

toujours fort juste. Le bruit se répandit bientôt qu’il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s’empressa d’y venir souper. L’abbé de Saint-Yves y vint avec Mademoiselle sa sœur, jeune Basse-Brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes furent du souper. On plaça l’étranger entre Mademoiselle de Kerkabon et Mademoiselle de SaintYves. Tout le monde le regardait avec admiration ; tout le monde lui parlait et l’interrogeait à la fois; le Huron