Banque des règlements internationaux

les banquiers centraux des pays du G-10 sous l'égide de la Banque des règlements internationaux, à Bâle, élaborés par le Comité de Bâle, pour garantir un niveau minimum de capitaux propres, afin d'assurer la solidité financière. Ces recommandations, également connues sous le nom d'Accord de Bâle de 1988, visaient à assurer la stabilité du système bancaire international en fixant une limite minimale à la quantité de fonds propres des banques. Ce minimum a été fixé en mettant en place un ratio minimal

Bâle III Le Comité de Bâle a été créé en 1974 par les gouverneurs des banques centrales et des organismes de réglementation et de surveillance bancaires des pays du G10 ; et compte aujourd’hui 27 membres parmi les pays les plus industrialisés. Il est hébergé par la Banque des Règlements Internationaux (BRI) basée à Bâle, dont la création remonte à l’année 1930. Le comité de Bâle se réunit quatre fois par an. Sa mission est d’œuvrer en faveur d’un dispositif plus robuste et harmonisé en matière

a décidé de réguler l’activité bancaire par un ensemble de réformes. En effet actuellement les banques n’hésitent pas a prendre de gros risques systémiques en spéculant. Leurs gains sont souvent colossaux, a la hauteur de leurs risques entrepris et obtenu par de véritable cerveaux financiers appelé traders. Ces derniers perçoivent une grande rémunération variant selon les gains obtenu pour leur banque. En cas de perte ils n’en subiront pas les conséquences et continueront de percevoir leurs bonus

risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1998 par le Comité de Bâle, ville de Suisse, sous l'égide de la « banque centrale des banques centrales » : la Banque des Règlements Internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné à remplacer

non pris en compte. Premièrement, cette réglementation définit les fonds propres et donne un ratio minimal de fonds propres que les banques doivent atteindre. La définition des fonds propres ainsi que le ratio étaient très différents d’un pays à l’autre. De plus, dans certains pays, la réglementation était laxiste, ce qui apportait un avantage compétitif aux banques implantées dans ces pays. Nous distinguons donc un problème d’harmonisation. Ensuite, le second problème consiste en les risques

pour son amour maternel et ses nombreux sacrifices, Avant-propos En collaboration avec la Banque Centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), la Banque de France et la Banque Centrale des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), le Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) va crée en 2001 le Programme de Master en Banque et Finance (PMBF) pour pallier à l’insuffisance de formation bancaire et financière de haut niveau en Afrique. Ce programme professionnel

Introduction Dans le but d’affiner et renforcer son rôle bénéfique dans l’économie, le système bancaire s’est engagé dans un processus de libéralisation. Malheureusement, il a été secoué par une récurrence élevée de crises bancaires. Ainsi la banque est devenue le maillon faible du système financier. En février 2007, le monde a connu la crise bancaire, baptisée « crise des subprimes», la plus grave depuis la grande dépression de 1929. De ce fait, l’internationalisation de la crise financière

non pris en compte. Premièrement, cette réglementation définit les fonds propres et donne un ratio minimal de fonds propres que les banques doivent atteindre. La définition des fonds propres ainsi que le ratio étaient très différents d’un pays à l’autre. De plus, dans certains pays, la réglementation était laxiste, ce qui apportait un avantage compétitif aux banques implantées dans ces pays. Nous distinguons donc un problème d’harmonisation. Ensuite, le second problème consiste en les risques

Committe on Banking Supervision). Il est également appelé « Comité Cooke », du nom de son 1er président Peter Cooke, alors directeur de la Banque d’Angleterre, qui avait été l’un des premiers à en proposer la création. Les gouverneurs des banques centrales du G10 prévoient alors de se retrouver quatre fois par an, à la Banque des Règlements Internationaux à Bâle, pour discuter des sujets relatifs à la supervision bancaire. C’est en 1988 que les 1ers accords de Bâle sont adoptés (ou Capital

pratiques bancaires et de surveillance et la promotion de la coopération internationale en matière de contrôle prudentiel. Le Comité de Bâle a été créé fin 1974 par les gouverneurs des banques centrales du G 10 (onze pays: Allemagne, Belgique, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède et Suisse). Le Comité était initialement appelé le « Comité Cooke », du nom de Peter Cooke, directeur de la Banque d'Angleterre qui avait été un des premiers à proposer sa création et fut