Batasuna

Euskal Herritarok, parti de la mouvance de Herri Batasuna, bras politique de l’ETA. Neuf mois plus tard, l’accord est rompu suite à l’assassinat d’un député socialiste basque. • 28 novembre 1999 : l’ETA annonce la fin du cessez-le-feu, après l’échec du dialogue avec le Gouvernement de José María Aznar en mai 1999. • 28 mars 2003 : le Tribunal Suprême décide de rendre illégaux les partis de gauche Abertzale Batasuna, Euskal Herritarrok et Herri Batasuna à cause de leurs liens avec le terrorisme de l’ETA

formará con Movimiento Comunista español una coalición electoral a los legislativos del mismo año que tomó el nombre de Euskadiko Ezkerra (EE), " la izquierda vasca ". Así es como una coalición de partidos nacionalistas radicales nacieron: Herri Batasuna; ésta comprendía en el momento de su fundación en abril de 1978, un partido socialista, un brazo político del ETA Militar, pero también partidos nacionalistas centristas o socialdemócratas, y debía representar la frente nacional exclusivamente vasca

12 de enero de 1988 II_El entorno de E.T.A ? ¿quienes son los interlocutores de E.T.A, quienes los apoyan ? -KAS (Coordinadora Patriota Socialista, en español) -Segi o Gestora Pro Amnistía -Jarrai y Haika -Egin y Gara -LAB -Herri Batasuna y Batasuna III_La financiación de la organización ¿Quién y como se finanza esta organización ? -los atracos -los secuestros -el « impuesto revolucionario »

lema es bietan jarrai («seguir los dos juntos»). A ETA se le vincula en ocasiones con el llamado Movimiento de Liberación Nacional Vasco (MLNV), formado por distintas organizaciónes independentistas vascas, como las ilegalizadas Batasuna, Euskal Herritarrok y Herri Batasuna, y sus juventudes de Segi (antes Haika, antes Jarrai y Gazteria), el sindicato LAB, Gestoras Pro Amnistía y otras, que asumen unos principios comunes, dentro de lo que llaman izquierda abertzale («izquierda nacionalista vasca»,

Egin qui signifie "faire" en basque a été un journal basque d'information générale, d'idéologie de gauche abertzale, principalement en langue espagnole, avec des parties en basque. Il était publié à Hernani au Guipuscoa par Orain S.A, entreprise qui dirigeait aussi la station émettrice de radio Egin Irratia. À l'aube du 14 juillet 1998, le juge Baltasar Garzón a ordonné la fermeture préventive des deux médias, et l'arrestation de plusieurs responsables d'Orain SA, lesquels ont été accusés d'intégration

impulsó la tregua de ETA de 1998 (Tregua de Lizarra= primera tregua anunciada por ETA) y los posteriores fallidos contactos del Gobierno del Partido Popular (PP) de José María Aznar con la organización terrorista. No hubo condena por parte de Herri Batasuna, lo cual produjo la extinción colaboración de propiciada por el Pacto de Estella. [iv] Los Principios Mitchell son seis reglas básicas que aceptaron los gobiernos de Irlanda y Gran Bretaña y los partidos políticos de Irlanda del Norte relativos

dirige le gouvernement autonome basque en Espagne depuis sa création et met tout en œuvre pour collaborer avec Madrid et pour empêcher la gauche basque d’être présente aux élections. Il condamne l’E.T.A et se différencie ainsi du parti de gauche Batasuna. L’Eusko alkartasuna (E.A) ou Solidarité basque Crée en 1987, ce parti politique s’affirme socialiste démocrate (à gauche), contrairement au P.N.V aux racines démocrates chrétiennes marquées (à droite). Mais comme lui, s’interdit de recourir

Robert Sozzi - Jean-Guy Talamoni - Gilles Simeoni L’EXEMPLE DU PAYS BASQUE La Batasuna : Batasuna signifie « unité » en basque. C’est un parti politique indépendantiste basque d’extrême gauche. Il est principalement actif en Espagne, au Pays Basque et en Navarre (région d’Espagne). Son idéologie : La Batasuna est avant tout un parti nationaliste. Il se dit aussi socialiste, féministe et écologiste. La Batasuna est considérée comme le bras politique de l’ETA par l’Etat espagnol, la Cour Européenne

Gurruchaga et Aramburu Xabier sont arrêtés dans le sud de la France L'organisation basque armée ETA et son bras politique, Batasuna, ont prôné la résolution du sanglant conflit basque par la négociation avec le gouvernement espagnol, au moment où les nationalistes basques modérés proposent une libre association du Pays Basque avec l'Espagne.  [...] Autre nouveautés importantes, Batasuna affirmait ne pas envisager un scénario indépendantiste derésolution du conflit basque et prônait des conversations entre

d'une loi sur la parité hommes-femmes, notamment au sein des partis politiques et dans les entreprises. 4 juin : l'ETA annonce la fin du " cessez-le-feu permanent " prononcé le 22 mars 2006. 4 octobre : Le juge Garzón fait arrêter 22 dirigeants de Batasuna. 31 octobre : 21 des 28 accusés dans le procès des attentats du 11 mars 2004 à Madrid sont condamnés à des peines allant de trois à 40 000 ans de prison.  Adoption de la loi sur la " mémoire historique " qui condamne officiellement le franquisme