Beat It

journal San Francisco Chronicle. Le mot beat désignait depuis le XIXe siècle un vagabond du rail voyageant clandestinement à bord des wagons de marchandises. Peu à peu ce mot a pris le sens que lui ont donné les jazzmen noirs : beat en vint à signifier une manière de traverser la vie. Être beat devint « être foutu, à bout de souffle, exténué ». Le « beat » (« pulsation ») est aussi le « rythme » en musique (jazz). Le terme beatnik, forgé à partir du mot beat et du nom du satellite russe Sputnik,

“Moriarty” fait penser au célèbre professeur Moriarty, l’adversaire mystérieux de Sherlock Holmes. Le choix de ce nom correspond à l’intention de Kerouac de réfuter le préjugé de “criminalité” attaché au héros et plus largement aux “Beats” (de la « Beat Génération » dont je parlerai après). Dean Moriarty est nommé dans la première page et la dernière du roman. Dans le premier chapitre il est présenté dans un premier portrait, complété par des éléments biographiques. Dean est un personnage qui

de long. Il fut écrit d’un seul jet pendant 3 semaines (du 2 au 22 avril 1951), dans des sessions de prose. Ainsi est créé un style d’écriture personnel et inspiré par le jazz BeBop et fait de ce roman est l’un des fondateur de la Beat Generation (l’idée de déchéance, beat signifie foutu). Mais c’est seulement après un an et demi d’écriture et de plusieurs histoires abandonnées qu’il va parvenir au manuscrit légendaire. Jack Kerouac raconta a Neal Cassady que lorsque tout était dactylographié, il avait

place des médias et des artistes. Ils cherchent à fuir la société de consommation en mettant en avant les valeurs écologistes et égalitaires issues des philosophies orientales et primitives. Beaucoup de ces aspirations sont héritées des écrivains de la Beat generation qui sont souvent considérés comme les précurseurs du mouvement car eux aussi sont l'expression première de la rupture avec la société de masse. Une vie « à la cool » faite de sexe, de musique et de route. Une évasion hors de l'Amérique post-nucléaire

sexualité sans tabou. La philosophie orientale, l’usage des drogues pour tester de nouvelles perceptions et découvrir leur moi profond, et l’écoute de la musique pour les mêmes buts. Ils étaient influencés dans leur idéologie par des écrivains de la Beat Generation comme Kerouac avec son livre fétiche « Sur la route »(1957), qui exprimaient une volonté de cassure avec la société de masse en favorisant les voyages, le retour à la nature, le refus du matérialisme, le respect de la planète. Quelques

|Quel est le rôle des medias dans les habitudes (mentales, comportementales, | |la génération yéyé |générationnelles) | |La Beat Génération : A-t-elle eu une influence sur la culture occidentale? | | |génération hippie |

Groupe  du  jeudi  :  Valérie-­‐Emmanuelle  Vachon       2. Sur  la  route  de  Jack  Kerouac  (roman,  États-­‐Unis,  1957).  Un  livre  culte   américain.  Symbole  de  la  beat  generation  qui  annonce  la  culture  hippie.  Écrit   d’un  jet,  comme  un  voyage,  il  est  LA  référence  des  road  novels.  Il  existe  deux   versions.  À  vous

SOMMAIRE I - Introduction II – Les Origines A – Origine du terme Beat B – Un cercle d’amis C – Les femmes de la Beat Generation III – Les caractéristiques A – Œuvres représentatives B – La Beat génération et le Jazz C – Les Beatniks IV – Conclusion I - Introduction La Beat Generation est un mouvement littéraire et artistique né dans les années 1950, aux États-Unis. Le terme de « Beat Generation » est employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac pour décrire

place des médias et des artistes. Ils cherchent à fuir la société de consommation en mettant en avant les valeurs écologistes et égalitaires issues des philosophies orientales et primitives. Beaucoup de ces aspirations sont héritées des écrivains de la Beat generation qui sont souvent considérés comme les précurseurs du mouvement car eux aussi sont l'expression première de la rupture avec la société de masse. Une vie « à la cool » faite de sexe, de musique et de route. Une évasion hors de l'Amérique post-nucléaire

allons examiner le développement de cette génération.La Beat Génération est un mouvement littéraire et artistique né dans les années 1950, aux États-Unis.La génération Z débute avec l'évolution de naissances de 1995.Le terme «génération Obama» été utilisé pour l'une des premières fois, en 2007, cette génération porte une vision nouvelle de la jeunesse : émancipée, consciente, prenant en mains son destin. Selon Elisabeth GUIGON d’après La Beat génération (1969), Anaïs FAVRE de son article Birmanie