Bécher

l’auteur /2 Andreas Gursky est né en Allemagne en 1955, son père était photographe commercial et lui avait transmis sa passion pour la photographie. En 1981, il entre à l’Académie des Beaux-arts de Düsseldorf, où il suit les cours de Bernd et Hilla Becher ; connus pour leurs photographies d’installations industrielles. C’est à leurs côtés qu’il découvre l’architecture industrielle et urbaine en noir et blanc et dans une approche de la photographie très impersonnelle. Dans les années 1980, le travail

historique: Les clichés surdimensionnés de Thomas Ruff dont le visage occupe toute l’image, sont tous identiques, pris de face sous une lumière étale ont été réalisé au milieu des années 1980. Son travail est intimement lié avec celui de Bernd et Hilla Becher (professeurs à l’Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf où étudia Thomas Ruff) qu’il cite notamment comme principal source d’inspiration. Ruff est catégorisé de photographe conceptuel. Au début des sa carrière, son principal sujet d’étude furent les

A la fin des années 1970, il étudie dans l'une des grandes écoles allemandes de photographie (la Folkwangschule d'Essen). En 1980, il poursuit sa formation à l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf, avec comme professeur le célèbre Bernd et Hilla Becher, connu pour leurs photographies d’installations industrielles et leurs méthodes objectives. Ceux-ci ont inspiré Gursky qui a copié leur style de photographies, mais toutefois en remplaçant le noir et blanc par la couleur. Vers 1984, il adopte son

Demand, Thomas Struth, Wolfgang Tillmans ou Candida Höfer, qui sont regarder comme des stars et qui atteignent les prix les plus élevés, remplissent les musées et influencent les médias. Leur influence se réfère à la création du couple Bernd et Hilla Becher, qui ont formé des photographes connus et renommés internationalement pour leur photographie de construction industrielles et de maison à colombages. On parle cependant de la photo de mode allemande comme devenant plus calme. Après F.C Gundlach

en tant que témoignage héroïque. A partir de la fin des années 70, elle commence à être utilisée pour ses caractéristiques propres. Tout d’abord, elle est pensée comme un outil conceptuel plutôt que technique. C'est le cas chez Bernd et Hilla Becher, souvent apparentés à l’art conceptuel. Ils photographient de manière systématique des bâtiments industriels avec une technique traditionnelle, desquels ils dégagent une approche esthétique et documentaire. Leur enseignement à Düsseldorf influence

Audiovisuel, 1996 + "Identification d‘ une ville", édition du regard . 2006 - DURAND Régis, « La distance et le vide », art press n°226, 1997 + « Stéphane Couturier, attraction contraires », art press juin 1996 n°214. - DE DUVE Thierry, « Bernd et Hilla Becher ou la photographie monumentaire », Les Cahiers du Musée national d'art moderne n°39, Centre Georges Pompidou, 1992. - FONTENAS Hugues, « Stockages, un trouble de l’esthétique architecturale », Les Cahiers du Musée national d’art moderne n°58, Centre

enfance à Düsseldorf connaîssant la photographie depuis tout petit grâce à son père et son grand-père qui sont eux même photographes publicitaires. Il étudie, à la fin des années 70, la photographie traditionnelle allemande. Il s’inspire de Bernd Becher qui a développé avec sa femme Hilla une esthétique photographique particulière : prises de vues toujours égales, en noir et blanc sur fond gris et sans anecdotes. Leur démarche est à restituer dans le contexte des années 60, au moment où l’idée de

l'acide chlorhydrique . Tu verses , dans un bécher , un peu d'acide chlorhydrique . Tu pèses , avec la balance électronique la masse de l'ensemble { craie + acide + bécher } . Tu notes cette masse sur le schéma . becher becher onmeth craie dans le becher maroesm — | ack . ; de craie 7 C1 acide chlorhytrique i baknce baknce DEBUT FIN Tu mets la craie dans le bécher au contact de l'acide chlorhydrique .Qu'observes-tu

sont coupes en petits morceaux et places dans un bécher. Le bécher est mis dans une étuve chauffée a 150 C afin de provoquer la déshydratation progressive des échantillons. Toutes les 15 minutes, les échantillons sont sortis de l’étuvé et pesés. On arrête la pesée quand la masse reste constante. On obtient les résultats suivants :Différents échantillons biologiques de 10 grammes chacun sont coupes en petits morceaux et places dans un bécher. Le bécher est mis dans une étuve chauffée a 150 C afin de

les températures dans les trois atmosphères vont augmenter et quand on enlèvera la lampe la température des trois atmosphères vont diminuer. On croit que le bécher B va réchauffer le plus vite, car avec la pellicule de plastique sur le dessus, l’intérieur du bécher va se réchauffer plus vite avec l’air. On croit que la température dans le bécher C va diminuer le plus vite, car l’eau n’a pas le temps de se réchauffer donc quand on enlèvera la source de chaleur (la lampe), il va être celui qui va vouloir