Belle Du Seigneur

Belle du Seigneur Présentation de l’auteur : Albert Cohen (né le 16 août 1895 en Grèce et mort à Genève le 17 octobre 1981) est un poète, écrivain et dramaturge suisse, Auteur d’une dizaine de roman. Grâce au livre Belle du saigneur, il obtient un grand prix de l’Académie française, roman somme d’environ 1100 page et 106 chapitres. Ce roman est considéré comme un très grand roman du 20ème siècle de langue française. L’écriture de se roman a commencé en 1930, elle a été interrompu a cause de la 2ème

Commentaire composé : Belle du seigneur : Belle du seigneur est un roman écrit par l'auteur suisse Albert Cohen, et est publié en 1968. Sa rédaction à débutée dans les années 1930 puis a été suspendue par la Seconde Guerre mondiale. Cette extrait est un poème qui évoque une jeune femme amoureuse qui attend, très impatiemment de voir son bien aimé. Comment expliquer autant d’amour et d’impatience exprimer en si peu de ligne. On voit clairement qu’il y à, énormément d’amour dans ce texte, et surtout

La première tentative de séduction d’Ariane: mise en scène et piège Il y a un fait qu’on ne peut nier à la lecture de Belle du Seigneur, Solal ressemble à Don Juan : chez les deux personnages la fidélité n’est pas leur qualité première et aucune femme ne leur résiste. S’il peut avoir toutes les femmes, c’est Ariane qu'il veut séduire, la belle épouse du médiocre Adrien Deume. Et pour cela, il se livre à un jeu de mise en scène où il s’attribue paradoxalement le rôle d’un anti-Don Juan. Après

 Question préalable : Ce corpus est composé de trois extraits de roman. Le premier est un texte de l’Assommoir de Emile Zola (1877), le second est un texte de Samuel Beckett, Malone meurt (1951) puis le dernier est issu de Belle du Seigneur écrit par Albert Cohen (1968). Ce corpus traite de la mort humaine. Le thème principal de ce corpus est la mort, ces textes décrivent d’horribles agonies. Ces trois textes sont en lien parce qu’ils sont situés dans la même partie de chaque roman

Le passage que nous allons étudier dans ce commentaire littéraire est extrait du roman Belle du seigneur écrit par Albert Cohen et publié pour la première fois en 1968. L'auteur nous livre ici un aspect vif du personnage. L'extrait qui nous en est proposé est situé dans le milieu du roman. Albert Cohen raconte comment le personnage Adrien Deume cherche à se procurer une sensation de joie enivrante puisqu'il sera promu à un échelon supérieur dans sa profession. Cohen représente à travers Adrien des

il occupe à Genève un poste de fonctionnaire attaché à la Division diplomatique du Bureau international du travail. Cette expérience est la source d’inspiration qui lui a permit de construire l’univers d’Adrien Deume et de Solal, héros de Belle du seigneur, son œuvre majeur. Son roman lui vaut le Grand Prix de l'Académie Française. La passion amoureuse, ainsi que d’autres sujets y sont condamnés. Au travers de description réaliste, mordante et comique, l’auteur critique ironiquement les mœurs de

A la fin des années 60, les sciences sociales sont dominantes dans le mondes intellectuel. on préfère la philosophie au roman, l'écrivain engagé à l'écrivain rêveur. Dans ce contexte, le succès de la Belle du Seigneur est impressionnant notamment pour sa réflexion sur la psychologie amoureuse. Albert Cohen est un poète, écrivain et dramaturge français. En 1968, il termine son livre qui est qualifié de "chef d'oeuvre absolu". On pourrait dire que celui ci s'apparente au réalisme, seulement, le

Dans cet extrait de Belle du Seigneur, Albert Cohen saisit sur le vif le personnage d’Adrien Deume, dont il brosse le portrait. Tout d’abord, le narrateur nous présente le personnage vu en mouvement, comme le montrent différents verbes : « il retira la clé du contact », (l. 2), « il sortit, ferma la porte à clé, tira la poignée » (l. 2 et 3). Le narrateur précise aussi que le personnage « portant sa mallette, s’en fut d’un pas guilleret », (l.5-6) et que « arrivé dans le grand hall, il se dirigea

soir, si grand, si svelte, ô son regard. Parfois, elle refermait les volets, tirait les rideaux, fermait à clef la porte de sa chambre, mettrait des boules de cire dans ses oreilles pour n’être dérangée par les bruits de dehors, bruits que cette belle pédante appelait des réducteurs antagonistes. Dans l’obscurité et le silence, couchée, elle fermait les yeux pour se raconter, souriante, ce qui s’était passé hier soir, tout ce qu’ils avaient dit et tout ce qu’ils avaient fait, se le raconter, blottie

comme particulièrement propice au développement d'une réflexion envisageant les implications théoriques de la question de la reconnaissance et de la réception d'une œuvre littéraire. Si, dans une première approche, l'effet suscité en 1968 par "Belle du Seigneur", peut sembler surprenant vu la prégnance des théories du Nouveau Roman sur le contexte littéraire de l'époque, plusieurs éléments d'analyse permettraient néanmoins de considérer l'oeuvre dans sa "légitimité" sociale, littéraire et historique