Bernard-René Jordan de Launay

financière aux charges exercées par les agents administratifs royaux. Ce système s'oppose à d'autres systèmes d'attribution des charges, notamment au mérite (diplôme, expérience, formations reconnues), à l'ancienneté, etc. Le Marquis Bernard-René Jordan de Launay qui était gouverneur en 1789, il se fit couper la tête. 5) Pourquoi les Parisiens se rendent-ils à la Bastille en fin de matinée du 14 juillet ? Qu’avaient-ils fait auparavant ? Les Parisiens se rendent à la Bastille afin d’avoir de

Charenton). La Bastille représentait aux yeux de tous l'arbitraire royal. En attendant d'être démolie, elle était gardée par quatre-vingts invalides et trente-cinq suisses. Une nombreuse troupe marche sur la Bastille : le gouverneur, le marquis Bernard-René Jordan de Launay, veut résister mais, à la demande de médiateurs venus de l'Hôtel de Ville où siège un comité permanent, organe de l'insurrection bourgeoise, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de

Pour les articles homonymes, voir Bastille. Prise de la Bastille Informations générales Date 14 juillet 1789 Lieu La Bastille, Paris Issue Victoire des insurgés Belligérants Royaume de France Révolutionnaires Commandants Bernard-René Jordan de Launay † Pierre-Augustin Hulin Forces en présence 82 invalides 32 Gardes suisses 30 canons ~ 688 à 1 000 Sans-culottes 61 Gardes-Françaises 5 canons Pertes 114 prisonniers (dont 7 sont tués) 98 morts 73 blessés modifier La prise de

CHATEAUBRIAND ET LA REVOLUTION FRANCAISE Au début de juillet 1789, les révolutionnaires se sont emparé de la Bastille. La prise de la Bastille est aujourd'hui considérée comme le symbole de la Révolution française. C'est événement symbolise la chute de l’Ancien Régime. Chateaubriand, qui est lui-même noble, rapporte les scènes dont il a été témoin. Chateaubriand nous permet de mieux comprendre le contexte et les enjeux de cet époque. On sait cependant que Chateaubriand est un monarchiste, et

Parfois, l’Homme, se laissant emporté par son imagination et sa faculté à augmenter l’intensité d’une Histoire va exagérer celle-ci afin de la rendre plus attrayante, plus cocasse. C’est ce que nous allons Voir dans ce récit auquel vous pourrait constater l’ exagération d’un simple accident. C’était un de ces doux soir d’été, pour être plus précis, un 14 juillet, jour de fête national qui Commémore l’anniversaire de la prise de la bastille par les révolutionnaires en 1789, quelques amis

Parisiens qui après avoir envoyer plusieurs délégations, n’obtiennent toujours pas de poudre ni de balles. De plus la situation commence sérieusement à s’empirer car aux bouts de quelques minutes, des gardes suisses envoyer par le marquis de Launay commence à ouvrir le feu sur les émeutiers. Les soldats de la garnison de la Bastille et les assiégeants se tirent les uns sur les autres. Puis un peu plus tard l’après midi, soixante-et-un Gardes Français se présentent devant la Bastille avec cinq

Fiche HDA n°5 L’artiste de cette œuvre est inconnu. Cette œuvre se nomme Prise de la Bastille. Arrestation de M. de Launay, le 14 juillet 1789. C’est une huile sur toile de hauteur 58cm et de largeur 73 cm. Ce tableau est conservé au musée du Carnavalet à Paris. Le commanditaire de cette œuvre est certainement une personne favorable à la révolution mais ne préfère pas qu’il y ait trop de violence à travers cette peinture. La prise de la Bastille est représentée dans cet ouvrage et l’arrestation

Charenton). La Bastille représentait aux yeux de tous l'arbitraire royal. En attendant d'être démolie, elle était gardée par quatre-vingts invalides et trente-cinq suisses. Une nombreuse troupe marche sur la Bastille : le gouverneur, le marquis Bernard-René Jordan de Launay, veut résister mais, à la demande de médiateurs venus de l'Hôtel de Ville où siège un comité permanent, organe de l'insurrection bourgeoise, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de

Charenton). La Bastille représentait aux yeux de tous l'arbitraire royal. En attendant d'être démolie, elle était gardée par quatre-vingts invalides et trente-cinq suisses. Une nombreuse troupe marche sur la Bastille : le gouverneur, le marquis Bernard-René Jordan de Launay, veut résister mais, à la demande de médiateurs venus de l'Hôtel de Ville où siège un comité permanent, organe de l'insurrection bourgeoise, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de

Charenton). La Bastille représentait aux yeux de tous l'arbitraire royal. En attendant d'être démolie, elle était gardée par quatre-vingts invalides et trente-cinq suisses. Une nombreuse troupe marche sur la Bastille : le gouverneur, le marquis Bernard-René Jordan de Launay, veut résister mais, à la demande de médiateurs venus de l'Hôtel de Ville où siège un comité permanent, organe de l'insurrection bourgeoise, il rédige à la hâte un papier par lequel il accepte la reddition de la forteresse en échange de