Bertrand Du Guesclin

requerre Qui en eau fut par pleur convertie, Afin qu'à tous de sa mort le cœur serre : Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie. Hé! Gens d'armes, ayez en remembrance Votre père - vous étiez ses enfants - Le bon Bertrand, qui tant eut de puissance, Qui vous aimait si amoureusement; Guesclin est mort : priez dévotement Qu'il puisse paradis conquerre; Qui deuil n'en fait et qui ne prie, il erre, Car du monde est la lumière faillie : De tout honneur était la droite serre : Pleurez, pleurez, fleur

de la guerre l'oblige à concéder plus de pouvoir au Parlement, qui est divisé sous son règne en deux chambres. l'Angleterre est touchée en 1348 par la Peste noire qui ravage toute l'Europe, et la guerre reprend en France à partir de 1369, où Bertrand du Guesclin parvient à reconquérir petit à petit presque toutes les possessions anglaises. C'est à cette époque que la langue anglaise s'impose aux dépens du français dans l'aristocratie britannique. Le petit-fils d'Édouard III, Richard II (1377-1399)

de la guerre l'oblige à concéder plus de pouvoir au Parlement, qui est divisé sous son règne en deux chambres. l'Angleterre est touchée en 1348 par la Peste noire qui ravage toute l'Europe, et la guerre reprend en France à partir de 1369, où Bertrand du Guesclin parvient à reconquérir petit à petit presque toutes les possessions anglaises. C'est à cette époque que la langue anglaise s'impose aux dépens du français dans l'aristocratie britannique. Le petit-fils d'Édouard III, Richard II (1377-1399)

d’Angleterre se proclame de nouveau roi de France, Charles V prononce la confiscation de l’Aquitaine. La guerre reprend, mais Charles V renonce aux batailles rangées, il constitue sous le commandement de chefs expérimentés et fidèles (comme Bertrand du Guesclin) de petites armes formées de volontaires, et les lance dans une guerre d’escarmouches et de sièges, grignotant patiemment le territoire de son ennemi. Entre 1369 et 1377, les français reprennent aux anglais la quasi totalité des concessions

essaye de passer à travers une porte fermée : « Ben, il a son compte celui-là, aujourd’hui ! » L'acteur enchaîne dès lors silhouettes, figurations et petits rôles. Quelquefois, il incarne même plusieurs personnages dans un même film, comme pour Du Guesclin de Bernard de Latour, en 1948, où il tient tour à tour les rôles de mendiant, de chef de bande, d'astrologue et de seigneur21. En 1949, il joue dans Pas de week-end pour notre amour, une comédie conçue autour du ténor-vedette de l'époque, Luis Mariano

grâce aux nombreux écrivains et poètes qui glorifient dans leurs textes les valeurs chevaleresques. Ainsi se dégagent des figures emblématiques tel que Guillaume le Maréchal au XIIe siècle, Ulrich von Liechtenstein au XIIIe siècle ou encore Bertrand du Guesclin et Geoffroy de Charny au XIVe siècle. Ces chevaliers incarnent des valeurs communes, des comportements et des mentalités caractéristiques de la chevalerie, à savoir la valeur guerrière, l'audace, la soif de gloire, le souci de la réputation

de la portée historique que va avoir l'évènement. En effet, même si Alésia tombe dans l'oubli jusqu'au XIXème siècle, le sujet renait dans l'esprit des français en faisant de Vercingétorix un héros national au même rang que Jeanne d'Arc, Bertrand du Guesclin, Napoléon Ier, Adolphe Tiers ou encore Gambetta. Tous ont lutté contre l'abaissement de la France et pour sa liberté. Vercingétorix apparaît comme le premier à unifier ce qui deviendra plus tard le territoire français. Cependant, l'unification

a figure du chevalier est souvent perçue dans notre histoire comme le modèle héroïque par excellence. Les noms de Bayard «Le chevalier sans peur et sans reproche», de Bertrand du Guesclin, dont les exploits enflammèrent les chroniques de la guerre de Cent Ans ou encore de l'Anglais Richard Cœur de Lion, sont encore dans toutes les mémoires. Je vous propose de partir aux origines de la chevalerie pour avoir la possibilité de mieux connaître le monde des chevaliers, ses codes, ses hauts faits d'armes

Hanstonne – les aventures des enfants de Renaud de Montauban. - 1395, pour le duc de Bourgogne, plusieurs tapisseries dont “les chevaliers avec des dames” - “le château de Franchise” – “l’histoire de Godefroy de Bouillon” – “l’hisoire de Bertrand Du Guesclin” – deux sujets de “Bergers et bergères”... - 1397, terminée en 1400, exécutée avec Jacques Dourdin : la tenture de “Joutes de saint Denis” faîtes “toute d’imagerie d’or et de fin fils d’Arras” commémorant la réception du duc d’Orléans, frère

l’envoyé du roi de France (Philippe IV le Bel) fait violence au pape Boniface VIII. Dieu ne laisse pas impuni un tel affront de la part du fils aîné de l’Église. Les 3 fils de Philippe le Bel mourront sans héritier mâle. 1309 Le pape Clément V (Bertrand de Got) s’installe à Avignon. Neuf papes s’y succèdent pendant presque 70 ans (analogie avec l’exil de Babylone). 1328 Le troisième fils de Philippe le Bel, Charles IV le Bel, meurt après les deux autres, sans héritier. Fin de la dynastie des