Bertrand Russell

théorisation voir de spéculation c'est pour ça que certains la caractérisent comme une science incertaine, douteuse. Mais pour d'autres c'est cette incertitude qui lui donne sa valeur « La philosophie tire sa valeur de son incertitude même. » de Bertrand Russell. Enfin à quoi peut bien servir la philosophie si ce n'est à nous essayer de pouvoir proposer des réponses aux innombrables questions que nous nous posons. Elle a pour but de clarifier et d'éclaircir les pensées et qui n'en a pas besoin. Nous

concept pourvu de sens correspond un objet, un ensemble : son extension. Mais Russell lui écrit en 1902 que cela conduit à une contradiction. Si l'on suit Frege, il existe des ensembles qui appartiennent à eux-mêmes et d'autres non ; ainsi, l'ensemble de tous les ensembles est un ensemble qui appartient à lui-même, mais l'ensemble de tous les hommes n'est pas un homme, il n'appartient pas à lui-même. C'est le paradoxe de Russell. Frege distingue sens et idée. "Le sens réel d'une proposition est le même

Bertrand Russell grand philosophe du 20ème siècle voire le plus grand publie un livre en 1912. Son livre relate des problèmes de philosophies. Il comporte une perspective analytique générale. Afin de mieux situer sa démarche, il passe en revue quelques conceptions classiques.Ce commentaire permettra donc de comprendre un peu son ouvrage.Bertrand Russel pose les gros problèmes de la théorie de la connaissance et introduit à la philosophie dans une perspective analytique générale.Il voit une corruption

l’écris de Bertrand Russell intitulé « La science et religion ». Dans ce texte ou il confronte Mythos et Logos, il cite l’histoire d’un prêtre qui demande à un homme pourquoi ne devrait-il pas commettre un meurtre? Sa réponse était qu’il voudrait éviter la pendaison. Si l’on suit cette logique, sachant qu’il y a bon nombre de crime rester impuni comment dissuader les gens de faire ce qui leur chante. C’est là que les croyances jouent un rôle capital. Comme l’explique Bertrand Russell, le credo (code

2 Epistémologie kantienne * 3.3 Le tournant positiviste logique * 3.4 Épistémologie contemporaine * 3.4.1 Critiques du positivisme logique * 3.4.1.1 Quine et l'« épistémologie naturalisée » * 3.4.1.2 Bertrand Russell * 3.4.1.3 Pierre Duhem * 3.4.2 La phénoménologie de Husserl * 3.4.3 Systémique et constructivisme épistémologique * 4 Les questions épistémologiques * 4.1 La production des connaissances * 4.2 La nature

Nicolas Machiavel. La liberté de l'autodidacte. Le nombril du monde. Une période de transition. Le revers de la médaille. Un...» ««Un livre pour gangsters » : c'est la manière dont le philosophe Bertrand Russell décrit le livre le plus célèbre de Machiavel, Le Prince. Un des hommes auxquels pensait sûrement Russell, Benito Mussolini, lui, préféra louer le livre. Il avait une pe...» + sur Splendeurs et misères...ConsulterEchanger Le corps de la femme dans le rugby: une impossible combinaison Société

haute. Ce qui fait le philosophe [modifier] Pourquoi certaines personnes se passionnent-elles pour la philosophie, alors que d'autres semblent la mépriser ? Les philosophes en donnent plusieurs explications, qui se retrouvent d'Héraclite à Bertrand Russell en passant par Descartes. On peut retenir les points communs suivants : A. Vivre sans philosopher, i. e. sans réflexion sur nos actes et sur le sens de nos valeurs, c'est ne pas vivre réellement ; l'idée de sommeil est fréquente, par exemple

politique structurant qu’avait autrefois la religion. A l’inverse, Peter Berger affirme dans Le réenchantement du monde qu’un réveil du religieux est à l’œuvre dans le monde, ce qui a un impact considérable dans les relations internationales. Walter Russell Mead confirme cette théorie en démontrant que l’influence politique grandissante des mouvements évangéliques oriente la politique étrangère des Etats-Unis. Etudier l’impact du facteur religieux dans les relations internationales implique d’examiner

pourrait ainsi être ainsi partagé par tous. Bertrand RUSSEL dans l’éloge de l’oisiveté a proposer dès la fin de la 1er guerre mondiale la semaine de 4h de travail par jours : « si le salarié ordinaire travaillais 4h par jours il y aurait assez de tout pour tout le monde et pas de chômage » mais, selon ceux qui gouverne sont persuadés e que les pauvres ne sauraient utiliser autant de loisir, qu’il ne saurait pas comment rempli leurs journées. A quoi RUSSEL réponds que par le passé les gens étaient

intuitions venues du ciel." (Bertrand Russell / 1872-1970 / Histoire de la philosophie occidentale / 1946) "Ils [les philosophes] admettent volontiers que l'intellect humain est incapable de trouver des réponses définitives à de nombreuses questions fort importantes pour l'humanité, mais ils refusent de croire qu'il existe une "plus haute" façon de connaître, grâce à laquelle nous pouvons découvrir des vérités cachées à la science et à l'intellect." (Bertrand Russell / 1872-1970 / Histoire de la