Betterave

: La betterave sucrière est de couleur blanche, elle est cultivée essentiellement pour sa racine utilisée pour la production du sucre (saccharose). Mais elle permet également la production d’alcool et d’éthanol-carburant. Commentaire : Grace à se dossier nous allons répondre à plusieurs questions - Comment sème-t-on la betterave ? - Comment récolte-t-on la betterave ? -Comment passe t’on de la betterave au sucre en poudre ? I°) La betterave dans

MEENS MatthieuMOREAU LaurentPOUTEAU BaptisteREGNAULT Alexandre | BTS ACSE ILycée LaSalle Reims-Thillois | La fertilisation minérale de la betterave N, P2O5, K2O, MgO, oligo-éléments SOMMAIRE Introduction : La betterave est une dicotylédone de la famille des chénopodiacées « béta vulgaris » C’est une plante biannuelle, allogame par auto-incompatibilité des gamètes. Le cycle végétatif se décompose en trois périodes : Juvénile, adolescence et maturation (qui correspond à la deuxième

de la Terre. Pendant de nombreux millénaires, la canne s’est imposée comme le fournisseur privilégié de sucre de l’humanité avec le miel. Cependant, une fois l’ère industrielle commencée, la betterave sucrière va se développer et porter préjudice au marché de la canne. En partant du fait que la betterave sucrière et la canne à sucre sont en concurrence, il nous a semblé intéressant de porter notre étude sur leur comparaison ainsi que sur la fabrication du sucre à partir de celles-ci. Nous allons

agriculture Fachtagung Betterave à sucre: de la graine au cristal Zuckerrüben: von der farbigen Pille zum weissen Kristall? 7 février 2002 à Changins 1. März 2002 in Zürich-Reckenholz Résumés des conférences Contact: pierre.vullioud@rac.admin.ch Station fédérale de recherches en production végétale 1260 Nyon 1 Station fédérale de recherches en agroécologie et agriculture 8046 Zürich Centre betteravier suisse 3270 Aarberg Programme du 7 février 2002 à Changins, Nyon Thème: "Betterave à sucre: de la

* L’E85 ou superéthanol 85 * Les véhicules Flexfuel d) Les fonctions principales du bioéthanol e) Les productions de bioéthanol II. Expériences * Extraction des sucres de la betterave * Fermentation de ces sucres * Distillation et mise en évidence de la présence d’éthanol III. Le bioéthanol est-il réellement écologique ? * Controverse * Consommation des moteurs * Bilan des

Présentation de l’organisme de production 1) Présentation : Au Maroc Cosumar (compagnie sucrière marocaine de raffinage), une entreprise leader sur le marché national du sucre, ses métiers d'extracteur de sucre à partir des plantes sucrières (betteraves et canne à sucre) produites localement, de raffineur du sucre brut importé et de conditionneur du sucre sous toutes ses formes; morceaux, lingots granulés et pains, lui confère une place de choix tant dans le paysage économique que social marocain

riz moulu, graisses animales, gluten de maïs, farine de thon (thon 8 % min.), hydrolisat de protéines, pulpe sèche de betterave, chlorure de potassium, huile de poisson, sulfate de calcium, chlorure de sodium, L-chlorhydrate de lysine, L-tryptophane. agneau (10 % au minimum), maïs moulu, riz moulu, graisses animales, farine d'agneau, hydrolisat de protéines, pulpe sèche de betterave, chlorure de potassium, huile de poisson, sulfate de calcium, chlorure de sodium, L-chlorhydrate de lysine, taurine,

| [pic] Il est fabriqué en France à partir de betteraves et de céréales, essentiellement le blé  et aussi le maïs. Le bioéthanol est également produit avec de l'alcool vinique. Pour les céréales, nous allons d'abord réduire leurs grains en farine puis transformer l'amidon de cette farine, grâce à des enzymes, en sucre fermentescible. Ce sucre, tout comme le sucre des betteraves, est transformé en alcool par des levures. C'est une fermentation ! L'alcool ainsi

servit d'intermédiaire au feu comme source de chaleur. Ce n’est qu’au début du XIXe siècle que le sucre de betterave va connaître un réel essor. Si dès 1600, l’agronome français, Olivier de Serres, remarque que la « bette-rave » donne en cuisant un jus « semblable au sirop de sucre », il faut attendre 1747 pour qu’Andreas Sigismund Marggraf, chimiste berlinois, prouve que le sucre de betterave et le sucre de canne sont identiques. Franz Karl Achard, élève de Marggraf, produit en 1798 le premier pain

Tirlemontoise : le plan Chadbourne, qui était prévu pour 5 ans mais qui pris fin en 1934. La Raffinerie Tirlemontoise continua alors à prendre d’autres initiatives heureuses comme la création, en 1932, de l’Institut Belge pour l’Amélioration de la Betterave (I.B.A.B.), dont l’objectif était double : la recherche et la vulgarisation. C’est d’ailleurs grâce à l’I.BA.B. que des progrès furent observés quand au choix des engrais, la lutte contre les parasites et les techniques de culture. Dans la même