Bhavana

pratiques : -Samatha bhavana, le développement de la tranquillité, mène à l'atteinte des dhyānas, de profonds niveaux de concentration. Elle vise également le développement de la bienveillance, de la compassion et du détachement. Ainsi, Maitrī est le développement d'un sentiment d'amour détaché envers chaque être. Ānāpānasati est la concentration basée sur la respiration. L'anapanasati est cependant parfois employée en vue de la pratique de vipassana. -Vipassanā bhāvanā, la pratique formelle

méditation appelée mettā bhāvanā ; La compassion (Karunā), née de la rencontre de la bienveillance et de la souffrance d'autrui, développée par la méditation appelée karunā bhāvanā ; La joie sympathique (Muditā), qui consiste à se réjouir du bonheur d'autrui (muditā bhāvanā) ; L'équanimité (uppekkā, upeksā) ou tranquillité, qui va au-delà de la compassion et de la joie sympathique, est un état de paix face à toute circonstance, heureuse, triste ou indifférente (uppekkā bhāvanā).   Ponlop Rinpoché

méditation appelée mettā bhāvanā ; La compassion (Karunā), née de la rencontre de la bienveillance et de la souffrance d'autrui, développée par la méditation appelée karunā bhāvanā ; La joie sympathique (Muditā), qui consiste à se réjouir du bonheur d'autrui (muditā bhāvanā) ; L'équanimité (uppekkā, upeksā) ou tranquillité, qui va au-delà de la compassion et de la joie sympathique, est un état de paix face à toute circonstance, heureuse, triste ou indifférente (uppekkā bhāvanā). Ponlop Rinpoché

soit. C’est plutôt une question de demeurer ouvert, réceptif. Le bouddhisme, à l’inverse des systèmes hindous, est entièrement et exclusivement dirigé vers la purification mentale et la libération. Le Bouddha n’a pas enseigné la culture mentale (bhâvanâ) dans le but d’obtenir des pouvoirs supranaturels, la capacité d’accomplir des exploits physiques ou de maîtriser le monde extérieur. Il n’enseignait que dans un but unique, l’extinction de la souffrance, au sens le plus large, et la libération de

développement de la bodhicitta. On peut considérer le metta-bhavana comme une graine à partir de laquelle la bodhicitta peut se développer. La metta est essentiellement le souhait que tous les être sensibles soient heureux, et le plus grand bonheur est l’Eveil. Ressentir de la metta et donc, ultimement, souhaiter que les autres atteignent l’Eveil, et faire tout ce que l’on peut pour que cela se passe. Le Mahayana découle du metta-bhavana. Il peut ainsi être vu comme un point de départ de développements

nous unit. Les principales pratiques Traditionnellement, le bouddhisme enseigne deux types de méditation, ou deux niveaux de concentration (ou contemplation) complémentaires : samatha bhavana (la méditation de la tranquillité) et vipassana bhavana (la méditation de la vision pénétrante). Samatha bhavana Le premier niveau de méditation est appelé samatha (en pali, la « tranquillité »). Il vise le calme mental et consiste à concentrer son attention sur un objet, le plus couramment le rythme

Myanmar[2] et l’actuel Bangladesh, ils revenaient fréquemment à Santiniketan. Bien que Sen ait débuté l’école à la St. Gregory’s School à Dhaka dans l’actuel Bangladesh14, comme sa mère et sa soeur ensuite, il a fait ses études secondaires à l’école Patha Bhavana à Santiniketan, école fondée par Rabindranath agore, lauréat du prix Nobel de littérature de 1913. Sen se rappelle de cette époque surtout pour l’ouverture d’esprit qui était inculquée. Selon Sen, la diversité culturelle du curriculum reflétait

façon que d’autres formes d’entraînement nous apprennent à lire, à jouer d’un instrument de musique ou à acquérir toute autre aptitude. Etymologiquement, les mots sanskrit et tibétain, traduits en français par « méditation », sont respecti­vement bhavana, qui signifie « cultiver », et gom, qui signifie « se familiariser ». Il s’agit principalement de se familiariser avec une vision claire et juste des choses, et de cultiver des qualités que nous possédons tous en nous mais qui demeurent à l’état latent

jugées insuffisantes par les défenseurs des droits des femmes. La section 3.10 recommande, par exemple, que l’âge maximum légal soit fixé à 45 ans. L’âge minimum légal n’est même pas mentionné. "Et si la mère meurt à la naissance ?", s’interroge Bhavana Kumar, coordinatrice au Conseil national des femmes. "En l’absence de loi, les mères porteuses s’exposent à tous les dangers", conclut-elle. En Inde, la pratique de la maternité par substitution n’est pas nouvelle. "Il arrivait qu’une femme porte