Bidonville

Cependant elles ne peuvent absorber l’exode rural massif . Elles sont en effet incapables d’assurer la distribution d’eau, d’électricité, et d’organiser l’arrivée de ses nouveaux citadins qui échouent le plus souvent dans des quartiers illégaux, les bidonvilles. Dans les pays du Nord, les villes continuent à se développer mais à un rythme moins effréné que dans les pays du Sud. Les métropoles concentrent les richesses, les centres de décision. Certaines sont tellement gigantesques qu’elles se rejoignent

Norvège, 23 % au Royaume-Uni). Certains Etats comme l’Allemagne avaient mis en place un système de protection sociale à la fin du XIX ͤ siècle, mais la prise en charge des chômeurs demeure souvent insuffisante. Le nombre de pauvres augmente et des bidonvilles apparaissent en périphérie des villes, accueillant les personnes expulsées de leur logement.* Les chômeurs qui ne sont pas entendus par les pouvoirs publics, parviennent à se regrouper et bénéficient parfois du soutien des syndicats. En

plonge vers la ville. Très vite le décor s’affiche : rues défoncées, bidonvilles, immondices jonchant les rues… Et toujours ce flot comme pétrifié de camions et de voitures. Les Lagotiens appellent ça le go-slow. « Il m’arrive souvent de rester bloqué deux heures sans pouvoir bouger d’un centimètre », rigole Sonny au volant de sa 404 Peugeot. Plus loin, dans le quartier de Yaba, sans doute l’un des plus miséreux, les bidonvilles débordent sur l’Océan. Improbables cahutes perchées sur des pilotis branlants…

publics par les deux ministères responsables du secteur Par conséquent le coût du logement économique excède la capacité financière des couches moyennes ainsi que la croissance rapide de l’Habitat irrégulier qui avoisine 50 % de l’offre et des bidonvilles. 2- Les orientations de la nouvelle politique : 2.1 La mise à niveau du secteur : Pour assurer la mise à niveau du secteur de l’habitat et accroître ses capacités à répondre aux exigences d’une urbanisation accélérée, les pouvoirs publics ont mis

années 80s, d'autres quartiers font leurs apparition, notamment au nord de la ville ( Massira et Qods ), des quartiers prolongés et développés jusqu'à nos jours. Le but de cette extension fut la résorption des bidonvilles. Ce fut un succès, puisqu'en 1986, Taza a été déclarée ville sans bidonvilles. L'engouement est tel que des sections comme (Massira II) sont de type villa. Les années 90s marquent le début de l'urbanisation de l'axe centre ville - Taza haut. Il s'agit d'immeubles à 6 ou 7 étages occupant

grandes villes du « sud » se caractérise par l’existence importante d’un habitat précaire qui s’étend d’une façon désordonnée et illégale : Des bidonvilles construits illégalement croissent rapidement à la périphérie des agglomérations. (Exemple des immenses bidonvilles de Tugurios à Bogota et des Favelas de Rio) On estime la population de ces bidonville à plus de la moitié des urbains souvent très jeunes et touchée par un chômage importants, environ 40% de la population en âge de travailler (1 million

brésilienne et un volonté de l'affirmer dans toutes les communautés. Le Brésil fait partie des pays émergents. Les inégalités économiques sont parmi les plus élevées au monde. La ségrégation sociale et raciale existe de facto entre les pauvres des bidonvilles et les familles les plus riches, qui se retranchent dans des quasi bunkers pour se protéger de la délinquance, notamment des rapts à Rio de Janeiro et São Paulo. Même si l'antiracisme et le métissage font partie du nationalisme brésilien, de nombreux

essentiellement du profit). Libéralisme imposé à tous pays, mais les pays du Sud n'ont pas les mêmes « cartes ». Bio-climatique aggrave situation : bcp pays du sud, sont dans zones intertropicales (= zones propices au maladie) Pays sud : bcp bidonvilles, quartier auto-construit : quartier fait par l'homme et où l'état ne le sait pas. => prob. Logement. Faim : bcp malnutrition & sous-nutrition. Pas accès à eau potable, femme doit marcher des heures pour en avoir. ONU : lutte contre

dans le développement urbain. L'une des priorités est la poursuite de l'éradication des bidonvilles. Grâce au travail réalisé ces dernières années, trente villes marocaines sont déjà classées comme exemptes de bidonvilles. Pour résoudre une fois pour toutes le problème de la dégradation des conditions de logement, M. Hejira a indiqué que ses services allaient accélérer le rythme de démolition des bidonvilles. Une nouvelle campagne de sensibilisation a recours à des programmes télévisés mettant en

immigrés passent par l'ONI. L'arrivée rapide de ce nombre conséquent de personnes créée en France une crise du logement. En 1965, 70 000 immigrés vivent dans des bidonvilles, l'état met a alors en place différentes mesures et avec l'aide d'associations tellles que le FASTI (1966) et le GISTI (1972) permettent de faire disparaitre les bidonvilles. L'état met en place durant les années 50 une politique social envers les immigrés. La France et les Français sont donc prêts à accueillir des immigrés lorsqu'ils