Bien public

Les enjeux des biens publics mondiaux De nouveaux besoins apparaissent avec la mondialisation et l’interdépendance croissante des économies, appelant une réflexion globale au niveau mondial. I. Des biens publics aux biens publics mondiaux A. La notion de « bien public » 1. Définition Les biens publics sont, en science économique, des biens ou des services dont l’utilisation est non rivale et non exclusive (Paul Samuelson, 1954). Ils bénéficient à tous les individus.

Marchandisation du vivant et propriété intellectuelle. Ces deux expressions paraissent a priori ne rien avoir en commun et doivent donc, pour saisir les enjeux qui s'y rapportent, être étudiées dans un contexte bien particulier: celui de « la révolution biotechnologique». Elle démarre dès la fin de la 2ème GM mais prend véritablement son essor à la fin du siècle dernier. Cette révolution s'appuie donc sur les sciences biologiques mais orientées sur l'étude du vivant au plus profond de son organisme

des politiques de l’eau dans les PED nécessite également une perspective plus globale, dans la mesure où les ressources en eau peuvent être considérées comme un bien public mondial.   QUANT Au Maroc, l’eau est caractérisée par une hétérogénéité pluviométrique spatiale, une irrégularité temporelle et une forte vulnérabilité aussi bien aux changements climatiques qu’aux méfaits des activités de l’Homme (prélèvements, rejets de polluants…).  Les ressources en eau (RE) au Maroc sont l’objet d’enjeux

exemple l’agriculture grâce à la pollinisation). En ce sens, la biodiversité est un bien public mondial car il répond aux critères instaurés par Paul Samuelson. À savoir que la consommation d’un bien par un individu ne doit entraver la consommation d’autre individu (critère de non-rivalité) et que personne ne peut être exclut de la consommation de ce bien (critère de non-exclusion). Ainsi, l’air est un bien public, parce que le fait pour un individu de pouvoir le respirer ne le rend pas plus rare

Les biens publics mondiaux La notion de bien public mondial Le cadre d’analyse La notion de biens publics mondiaux (BPM) est en rapport directe avec la mondialisation. Cependant lorsqu’on aborde le thème de la mondialisation, on pense en premier lieu à la libéralisation économique, au décloisonnement des marchés commerciaux, aux flux migratoires…mais il ne faut pas oublier que la mondialisation a aussi pour conséquence l’élargissement de biens publics. Avant de rentrer dans

consommateur ou le producteur responsable de l’effet externe n’a aucune raison d’intégrer dans sa décision (son calcul avantages-coûts) la diminution ou l’amélioration du bien-être pour les autres agents. Lorsqu’une activité s’accompagne d’une externalité négative (comme la pollution) elle devrait être découragée puisque le bien-être collectif est réduit par cette activité. Mais comme elle n’est pas prise en compte par le marché, le producteur n’est pas inciter à produire moins (il n’y a pas de sanction

de la protection sociale (lorsque celles-ci sont publiques et obligatoires) Lintervention de lEtat peut tre minimale, et correspondre la fonction dEtat gendarme (I). LEtat doit aussi faire face aux dfaillances du march dans la production de biens publics, la gestion des externalits et des monopoles naturels (II) Les analyses librales et keynsiennes sopposent quant au rle de lEtat dans la rgulation de lactivit conomique (III).. Au del de ces fonctions, le domaine dintervention de lEtat peut prendre

mission d’une banque centrale ? La monnaie inspire confiance si elle a une valeur sur le marché national et international. S’il y a trop de monnaie en circulation par rapport aux richesses créées, il y a une crise de confiance. L’éco ne peut pas bien fonctionner car les contrats deviennent incertains. La mission de la BCE c’est de contrôler l’inflation de la zone Euro car il ne doit pas y avoir de dérapage inflationniste dans les pays de la zone €. 3 – Pourquoi le taux d’intérêt d’une monnaie

biens publics mondiaux tels la qualité de l’air, la santé, la connaissance conduisent à envisager une approche nouvelle de la coopération internationale. I. Les spécificités d’un bien public mondial a) Les caractéristiques d’un bien public Par opposition au bien privé, le BPM présente deux caractéristiques : - La non rivalité (La consommation de l’air n’empêche pas un autre agent de respirer) - La non exclusivité (Ne peut pas exclure quelqu’un) Un bien public

disposent d’une information complète sur la qualité des produits échangés et leur prix. En réalité, l’information est très souvent asymétrique : certains agents sont mieux informés que d’autres. Généralement, le vendeur en sait plus sur la qualité du bien vendu que l’acheteur potentiel. Il peut alors être tenté d’abuser de sa position en dissimulant les informations susceptibles de faire baisser le prix ou d’inciter l’acheteur à la prudence. Face à cette asymétrie d’information, l’acheteur peut même