Biodégradation

molécules d’eau avec l’oxydation de nombreux substrats, tels que phénols, arylamines, anilines, thiols et lignines. Peroxydases de lignine Les peroxydases de lignine sont des glycoprotéines contenant un hème et jouent un rôle crucial dans la biodégradation de la lignine. Les peroxydases de lignine catalysent la dépolymérisation oxydante. Les peroxydases de lignine oxydent les substrats en plusieurs transferts d’électrons et forment des radicaux intermédiaires, tels que les radicaux phénoxy et les

compostable. Even if, the end-life industrial recycling facilities exist in Europe, they are rare. Moreover, most of the bioplastics (around 86%) are routed to burying sites where they are not enough humidity oxygen and microbes required for a good biodegradation. We now know that bioplastics which are taking away from the compost process can have two negatives effects: Negative for the environment: The degradation of a bioplastic in a burying site generates methane, one of the greenhouse gas

de couleurs car ils contiennent des substances nocives pour le compost - Les lingettes - Le verre - Les métaux - Les produits chimiques - Les pelures d’agrumes (orange, citron et pamplemousse) - Les restes de viandes, de poisson car leur biodégradation dégage une odeur forte et désagréable - Le gravier - Le bois de menuiserie et le gros bois - Le sable - Les végétaux à décomposition difficile (feuilles de thuya, résineux, laurier) - Les plantes malades - Les mauvaises herbes montées en

environnementaux ». La norme NF NE 13432:2000 donne les exigences relatives aux emballages valorisables par compostage et biodégradation. La norme NF NE 13432 a été acceptée par décision de la commission (2001/524/CE) et publiées au journal officiel des communautés européennes. Elle est une référence en Europe dans le domaine. Elle définit la valorisation par compostage et biodégradation comme suit (selon que l’on se trouve an milieu aérobie ou anaérobie) : sous l’action de micro-organismes en présence

transformés en eau et en CO2 par des micro-organismes (bactéries, algues). Mais cette biodégradation consomme de l'oxygène, qui ne sera donc plus disponible pour la faune aquatique (poissons, crustacés...). C'est pourquoi l'on mesure souvent la pollution organique par la " demande biologique en oxygène*" (DBO), autrement dit la quantité d'oxygène qui sera consommée par des micro-organismes pour sa biodégradation*. On mesure également la " demande chimique en oxygène*" (DCO), c'est à dire la quantité

dégradation et la persistance. En effet, la biodégradation est un phénomène clef dans la recherche environnementale et l'analyse de risques par des produits chimiques sur l'environnement et la santé humaine. Au courant de ces dernières années, l'intérêt porté aux processus de biodégradation a fermement augmenté et des progrès considérables ont été réalisés à ce sujet. Comme un modificateur d'exposition et, par conséquent, de toxicité, la biodégradation est le processus le plus important dans la minimisation

biodégradable s’il est dégradé par des microorganismes (bactéries, champignons), le résultat étant la formation d’eau et de CO2 (CH4) et, éventuellement, d’une nouvelle biomasse non toxique pour l’homme et pour l’environnement. 3.2. Processus de biodégradation Figure 3. Codification pour le tri des déchets plastiques 2.2. Valorisation chimique (de la matière première) La valorisation chimique est la conversion du plastique en matière première (monomères, intermédiaires chimiques) qui sera ensuite

mesure le TCP (Trichlorophénol). Le seuil de détection organoleptique du TCA se situe à 2 nanogrammes par litre. Pour obtenir ce dernier il faut du chlore, des moisissures et des phénols. Le plus souvent l’origine de ces derniers sont liée à la biodégradation des chlorophénols par des moisissures dans certaines conditions de température et d’humidité : la méthylation des polychlorophénols (pcp). La présence des chlorophénols s’explique principalement par l’utilisation de pentachlorophénols comme agents

biologique qui fait évoluer les éléments du sol pour les mettre à la disposition des plantes. Les micro-organismes agissent à divers niveaux sur leur support de croissance; ils jouent un rôle dans les cycles des éléments nutritifs, dans la biodégradation des produits toxiques et améliorent également les propriétés physiques du support de croissance. De même, la croissance des micro-organismes est influencée par la régulation des disponibilités en eau et en oxygène du support de croissance, du

donneur d'électrons pour la production de méthane: elles sont donc à l'origine d'une importante corrosion anaérobie des tuyaux contenant du fer doux. Ce problème est devenu extrêmement important. Remarque: on peut aussi souhaiter favoriser la biodégradation naturelle, notamment pour l'élimination de déversements de pétrole (notamment par des espèces de Pseudomonas modifiées génétiquement à l'aide de petits fragments circulaires d'ADN ou plasmides), ou encore la récupération de métaux dans des résidus