Bison

BISONS d’AMERIQUE DU NORD Les bisons ont failli être exterminés avec la conquête de l'Ouest et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880). Un seul chasseur pouvait alors tuer plusieurs centaines de bisons par jour. L'un de ces chasseurs en aurait tué environ 20 000 à lui-seul et, dans la décennie qui a suivi 1873, il y avait plusieurs centaines de ces chasseurs commerciaux, peut-être plus d'un millier. Ces chasseurs travaillaient souvent en équipe de deux, suivis par de nombreux dépeceurs

INTRODUCTION Histoire : l’arrivée du Bison en France Il y a environ une trentaine d'élevage en France. leur taille varie d'une dizaine de bisons à 300. Le cheptel français compte environ 1500 têtes. Les élevages sont répartis dans toute la France. Il n'y a pas de filière nationale pour la viande de bison, chaque producteur s'occupe de la commercialisation en fonction de son exploitation et de ces objectifs : vente en gros, au détail, marchés, restaurants... Le bison suscite un intérêt important auprès

Bison, grand mammifère bovidé sauvage caractérisé par son cou bossu et son grand collier de fourrure laineuse. Le bison est originaire d'Eurasie, où il était fréquemment la proie des chasseurs du Paléolithique. C'est l'un des rares bovidés à être passé d'un continent à l'autre avant la formation du détroit de Béring à l'époque préhistorique. Le bison s'est ainsi répandu en Amérique du Nord, où survivent deux sous-espèces, le bison de plaine et le bison des bois. Le bison d'Europe, plus grand

dans la légende grâce à l’écrivain Ned Buntline qui raconta ses aventures. Son nom en langue indienne sioux était « Pahaska ». Son surnom provient du fait qu’il fournissait de la viande de bison Buffalo aux employés des chemins de fer Kansas Pacific et qu’il gagna un duel contre Bill Comstock en tuant 69 bisons contre 48 en une journée. Ils furent juste abattus pour le plaisir des chasseurs. Son plus célèbre cheval est un cheval blanc nommé Isham. De 1882 à 1912, il organise et dirige un spectacle

figurative de l’homme européen. L’évocation de la nature dans l’art préhistorique Ceci posé, nous pouvons analyser l’un des plus fascinants chapitres de l’histoire de l’art: l’art paléolithique. L’homme d’aujourd’hui est attiré par la beauté des bisons d’Altamira (Espagne) ou des taureaux de Lascaux (France) qui témoignent, à la fois, d’une étonnante faculté d’observation de la nature et d’une vision interprétative «mythique» de celle-ci. On retrouve la même attirance vis-à-vis des oeuvres considérées

Chaque famille ou clan a son chef. Celui-ci tient son autorité de sa valeur guerrière ou de son hérédité. Les Sioux chassent les bisons sur un vaste territoire, appelé les grandes plaines (centre nord du continent américain). Ils se déplacent au gré des saisons, pour suivre les troupeaux de bisons. Les Sioux habitent des tipis qui sont faits d’une quinzaine de peaux de bisons cousues ensemble et maintenues par seize pieux de 7 à 8 mètres de long. Ce sont les femmes qui les montent. Un foyer est dressé

oxyde de fer, environ 25.000 à 24.000 ans BP ? Dessins noirs : oxyde de manganèse environ 25.000 à 24.000 ans BP ? Un cheval, quatre bisons, onze mammouths, quatre aurochs. 3 - Sur la corniche  A droite, en bas : vue sur les "chevaux ponctués". A gauche, en noir : deux bisons, un mammouth, environ 25.000 à 24.000 ans BP ? Au bas des escaliers, à gauche, en noir : bisons, mammouths, un mammouth utilisant le relief naturel de la paroi, environ 25.000 à 24.000 ans BP. 4 - Le plafond  Tracés digitaux

le maniement de ses pistolets 3. William Frederick Cody dit Buffalo Bill, (26 février 1846 à North Plate, Comté de Scott, Iowa - 10 janvier 1917 à Denver, Colorado) est une figure mythique de la Conquête de l'Ouest. Il fut notamment chasseur de bisons et dirigea une troupe théatrale populaire.- Son père était un homme du Kansas, blessé par ses adversaires pro-esclavagistes après un discours lors des évènements qui précédèrent la guerre de Sécession. Il finit par en mourir en 1857. Le jeune William

« salles » où domine souvent une grande figure : l’auroch dans la rotonde (le plus grand fait 5 mètres), les chevaux dans le diverticule axial (le couloir d’entrée), les cerfs dans la nef (avec une impressionnante décomposition de mouvements) et le bison dans la « scène du puits » qui semble écrire un épisode particulier. Au total, on trouve près de 600 figures, dans lesquelles le cheval domine très nettement Les analyses stratigraphiques ont même montré que les représentations des chevaux étaient

(copie des animaux réels) il y a des conventions de styles et des thèmes récurrents. Il n y a pas d'éléments de paysage. Le plus souvent les représentations sont celles de mammifères herbivores. Beaucoup de chevaux, des mamouths, des oroques, des bisons, bouquetions, rhinocéros. Peu de prédateurs, ours lions loups hyènes.. Encore moins d'oiseaux et de poissons. Il ne s'agit pas de les mettre en scène dans leurs quotidiens (allaitement affrontements..). Elles ne reproduisent pas forcement les animaux