Bob Dylan

fréquents dans le domaine de la contestation. D'un autre côté, nous remarquons une évolution dans l'audace des artistes à exprimer leur pensée à travers de leurs créations musicales. En commençant par les poétiques autant qu'acerbes textes de Bob Dylan (A Hard Rain's A Gonna Fall, Blowin' In The Wind, Talking World War 3 Blues), la période de 1958 à 1978 à laquelle notre numéro est consacré fut le théâtre d'une gradation évidente, en passant par les textes des Doors, des Pink Floyd, de John Lennon

politique ou d'opposer la force à la force, de nombreux hippies décident de se retirer de ce monde violent et sans attrait ; Ils choisissent principalement la Californie où de nombreuses communautés vont s’implanter. Bon nombre d’artistes de l’époque, Bob Dylan, Joan Baez, Janis Joplin traduiront musicalement cette tension sociale et politique dans ce qu’on appellera les Protest Songs. Archétype de la chanson de protestation, sa portée humaine et poétique en firent l'hymne d'une génération, et contribua

sa consommation d'hallucinogène ne commença qu'après sa rencontre avec Linda Keith. Jusqu'alors il n'avait que fumé de la marijuana et bu de l'alcool. B Ses influences : Principalement : Albert King, B.B. King, Muddy Waters, Curtis Mayfield, Bob Dylan, Eric Clapton etc.. , Hendrix est aussi influencé par le rock anglais, le blues, ainsi que le jazz. C Sa carrière : Hendrix travaille comme guitariste sous le nom de Jimmy James dans le groupe qu’il fonda The Jimi Hendrix Experience, actif

communauté. * Les hippies se rassemblent au sein d’importants festivals de musique tels que celui de Monterey en 1967 ou celui de Woodstock en 1969, et entreprennent parfois de long voyages initiatiques jusqu’en Inde ou en Afghanistan. * Bob Dylan, Janis Joplin, Jefferson Airplane ou Jimi Hendrix sont des musiciens « vedettes » de ce mouvement hippie. Le festival de Woodstock. * Le festival de Woodstock à lieu les 15, 16 et 17 Août 1969 aux Etats-Unis dans l’Etat de New-York. * Près

le monde entier. Lu – Puis, les Rolling Sones qui apportèrent la rébellion dans nos cœurs, ils clamaient le droit au plaisir et rêvaient d’un monde meilleur. Al – Et Bob Dylan, il redonna au mouvement son envergure politique, il donna une conscience au rock. Le rock n’était qu’un corps qui s’agitait dans tous les sens, Bob Dylan lui a donné un cerveau. Lu – Mais la véritable apogée du mouvement hippie et de la musique pop, folk et rock à eu lieu lors du festival Woodstock, officiellement du

- Claude François - Louis Armstrong - Les Chaussettes Noires - Hugues Aufray - Igor Stravinsky - James Brown - Dimitri Chostakovitch - John Coltrane - Gilbert Bécaud - Georges Moustaki - Édith Piaf - The Doors - Maria Callas - Mireille Mathieu - Bob Dylan - Frank Sinatra - Jimi Hendrix - Michel Polnareff - Pink Floyd - Serge Gainsbourg - Sheila - Yves Montand - Georges Brassens - Léo Ferré - Johnny Halliday Ces années marquent les « trente glorieuses » synonymes de : plein emploi, croissance économique

musiciens à reprendre des airs de blues, à les arranger et les faire interpréter par des chanteurs avec orchestres. Il fut également l'auteur de morceaux parmi les plus célèbres, tel le fameux Saint Louis Blues. Des artistes américains comme Bob Dylan, Janis Joplin ou Jimi Hendrix, tous influencés à la fois par le blues traditionnel et le blues électrique, firent découvrir cette musique au jeune public de l'époque. L'interprétation que les artistes de cette génération donnèrent au blues aura plus

iconiques, du profil de Bob Dylan au “I love NY”. Ainsi, nous allons donc nous intéresser à ce fameux poster de Bob Dylan réalisé en 1975 et qui reste une des œuvres majeures de ce mouvement artistique. La silhouette du visage de Dylan de profil occupe l'essentiel de l'affiche. On observe un très fort contraste blanc/noir qui fait ressortir cette ombre, avec des courbes familières à presque l'ensemble de la population américaine. En effet, puisqu'il s'agit du profil de Bob Dylan avec son nez indien,

Selon Lyndon Johnson, la télé a été « le facteur du défaitisme » chez les Américains. Les radios contrebalancent la télévision en cherchant à endiguer ce défaitisme et à renforcer l'esprit de patriotisme. Pendant ce temps des artistes comme Bob Dylan, John Lennon et aussi Country Joe affirment leur opinion dans cette guerre en chanson, chansons qui n’ont pas pour but de provoquer mais de dénoncer et de faire réagir les personnes qui les écoutent en leur transmettant un message à travers les paroles

portrait de famille », sur lequel apparaissent les personnages « sans qui les Beatles n’auraient pas été les Beatles »[8]. Ainsi, on peut y retrouver Edgar Allan Poe — dont il sera plus tard fait référence dans les paroles de I Am the Walrus —, Bob Dylan — chanteur admiré par le groupe qui leur a fait découvrir la marijuana lors de leur tournée américaine de l’été 1964 —, ou encore Lewis Carroll — dont les écrits inspirèrent la rédaction des paroles de Lucy in the Sky with Diamonds. L’ensemble des