Bon Samaritain

s’élargit en rachetant Inno France. 1975 : Les Galeries Lafayette Haussmann avec ses 47 800 m2 de surface de vente occupaient la première place française en réalisant un chiffre d’affaires supérieur à celui du Printemps, du BHV Rivoli, de la Samaritaine et du Bon Marché. 1980 : Création du festival de la mode qui rencontre un franc succès. 1993 : Le groupe Galeries Lafayette double sa taille. 1996 : Les Galeries Lafayette fêtent leur centième anniversaire. Ouverture aussi des Galeries Lafayette de

peu d’histoire..  Aristide Boucicaut (1852) « Aux bonheur des Dames » s’associe avec       Justin Bideau est créé le « Bon Marché » A. Chaucard et Hériot pour contrer le Bon Marché créent un nouveau magasin « LE LOUVRE ». 1856 Xavier Rivel créé le « Bazar de l’Hôtel de Ville » 1864 Jules Laluzot le « Printemps » 1869 Ernest Cognacq et Louis Jay « la Samaritaine » 1894 les galeries Lafayette (par deux alsaciens) pour les employés Après 1900 ce sera et durant plus de 40 ans un triomphe.

Conclusion 37 BIBLIOGRAPHIE 39 ANNEXES 41 TABLE DES MATIERES 51 RESUME 54 Introduction L’avenir des grands magasins déjà écrit ? Le 4 juillet 2005, Les Echos titrait : « La Samaritaine, paquebot fantôme ». Le ton provocateur de ce grand titre reflète bien la réalité du moment. En effet, la fermeture de la Samaritaine, quelques jours plus tôt, le 15 juin 2005, avait fait un choc à tous les acteurs de la vie économique parisienne : patrons, syndicats, actionnaires, mairies, clients et même…concurrents

dans ce type de contexte est très appréciable pour mon apprentissage. D’une part, parce que je pouvais comprendre ce que cela faisait d’être managé en tant que simple vendeur, et donc de vivre les deux côtés du miroir ; mais également d’observer les bonnes et mauvaises pratiques de mes managers durant une durée prolongée. La diversité des produits proposé par le rayon décoration du magasin était également un argument dans le sens ou je pouvais exercer des argumentaires de ventes sur des produits diverses

L’eau, tout comme la violence qui règne dans ces territoires occupe une grande partie dans la vie du peuple. L’État Hébreu utilise une grande partie des eaux souterraines qui s’écoulent aussi, dans son territoire. Les deux tiers des besoins hydrauliques d’Israël sont assurés par les eaux souterraines de Cisjordanie, qui sont de plus en plus exposées à la pollution et à l’exploitation excessive. Israël exploite la majeure partie des ressources en eau laissant les Palestiniens se contenter de la

Talmuds galiléen[14] et babylonien[15]. L'autorité de cette Loi orale fut contestée à l'époque des Temples par les Sadducéens, puis au VIIIe siècle de l'ère courante par un courant scripturaliste nommé karaïsme. La Torah orale fut ignorée aussi des Samaritains, ainsi que des communautés juives trop éloignées des centres d'enseignement et de diffusion de cette Loi, comme les juifs de Chine et de l'Inde, et les falashas d'Éthiopie. Le christianisme est une religion abrahamique fondée sur la vie et les

comme marquant la fin de l'époque de l'Israël antique : les coutumes et croyances développées prennent finalement le nom de judaïsme, et ceux qui les suivent sont désignés sous le nom de Juifs. Les populations vivant dans la région de Samarie, les Samaritains, qui se considèrent comme les descendants du royaume d'Israël, élaborent de leur côté une tradition religieuse proche de celle du judaïsme...

Le Chris et la samaritaine 1647 Huile sur toile Guerchin Description Formelle : Une ligne grise compose le contour de l’œuvre. Le fond est beaucoup plus sombre que les personnages. Le fond est d’un dégradé de bleu foncé à la gauche jusqu’à un bleu plus pâle à la droite. Ce fond qui est recouvert d’un dégradé de gauche à droite de grisâtre foncé au grisâtre pâle. À la toute droite, il y a un arbre brun foncé et quelques petits arbustes derrières les personnages qui sont dans des teintes de

banderole) / De coquelicot (fleur de couleur rouge qui rappelle le communisme et donc le symbole de la révolte)». Le coquelicot ici aussi allusion aux pierres ponces de la Sorbonne qui ne sont jamais fleurie. Ensuite, le vers 29« l’enseigne de la Samaritaine laboure [...] la Seine », le grand magasin, symbole du commerce moderne, les enseignes, se reflètent dans la Seine et forme comme un sillon, les magasins envahissent Paris, c'est un renouveau pour Paris. Enfin après les couleurs lumineuses, les

sorte de marchandises, mais aussi d'accueillir une clientèle quidéambulerait librement. C’est Aristide Boucicaut qui ouvrira le premier Grand Magasin en 1852 : Le Bon Marché. Les grands magasins inaugurent l’ère de la consommation. Sous le second empire, les premiers grands magasins ont été créés, comme le Bon Marché et la Samaritaine. A la différence des petites boutiques, les clients y trouvaient un choix important d'articles et devaient se servir eux-mêmes. La création des grands magasins impose