Boson de Higgs

de désintégration du neutralino dans le cas mSUGRA #1. .......................................29 Fig. 8: Table de désintégration du neutralino dans le cas mSUGRA #4. ...................................... 30 Fig. 9: Table de désintégration du boson de Higgs intermédiaire dans le cas mSUGRA #4. ...... 30 Fig. 10: Comparaison des différentes pseudorapidités. ................................................................. 31 Fig. 11: Comparaison des différentes quantités de mouvement transverses Pt

électromagnétiques et apparitions des leptons L'univers a à présent une température de 1015 Kelvins, et est une <==sphère==> de 300 millions de kilomètres. Le boson de Higgs, aurait à ce moment agit pour donner une masse à la matière. Seuls les photons sont épargnés par ce boson. Alors à ce moment, après que le boson de Higgs ait agi, l'interaction electro-faible se sépare pour donner naissance à l'interaction l'electro-magnétique, et à l'interaction faible. A ce moment, les quatre interactions

finalement validée : le boson de Higgs (physique quantique). Cette théorie prévoyait l’existence d’une particule élémentaire qui n’avait pas encore été observée avant 2012 : le fameux « boson de Higgs ». Cette théorie respectait le critère de Popper car elle était réfutable : si on ne trouvait pas le boson de Higgs en faisant les expériences prévues dans l’accélérateur de particules du CERN, alors on aurait pu affirmer que ce boson n’existait pas. Pour l’anecdote, le boson a bel et bien été découvert

particules (charge, spin, etc.) et non sur leurs positions spatio-temporelles. Selon cette théorie connue sous le nom de théorie électrofaible, les photons, responsables des interactions électromagnétiques, appartiendraient à la même famille que les bosons intermédiaires W et Z, qui gouvernent les interactions faibles. Aujourd'hui, les scientifiques tentent de combiner les quatre types d'interactions à l'aide de théories dites de supersymétrie. Mais le problème s'avère très ardu, les physiciens ne parvenant

finalement validée : le boson de Higgs (physique quantique). Cette théorie prévoyait l’existence d’une particule élémentaire qui n’avait pas encore été observée avant 2012 : le fameux « boson de Higgs ». Cette théorie respectait le critère de Popper car elle était réfutable : si on ne trouvait pas le boson de Higgs en faisant les expériences prévues dans l’accélérateur de particules du CERN, alors on aurait pu affirmer que ce boson n’existait pas. Pour l’anecdote, le boson a bel et bien été découvert

MeV/c2 masse : 174 300 ± 5 100 MeV/c2 masse : 1 777 MeV/c2 Bosons vecteurs Particules fondamentales qui assurent la transmission des forces de la nature. photon gluon W±, Z0 grain élémentaire de la lumière, porteur de la force électromagnétique porteur de la force forte entre quarks porteurs de la force faible, responsables de certaines formes de désintégration radioactive Boson de Higgs ? Tableau. Constituants élémentaires. responsable de la “brisure

signification physique : rotation sur soi-même. Exemple de valeur de S : 0, 1/2, 1, 3/2, 2, … Il existe des centaines de particules de ce type, qui peuvent être des bosons (spin entier) ou des fermions (spin demi entier). Exemple : l’électron est un fermion (spin S = ½) - une particule de spin entier. Exemple : le photon est un boson (spin S =1) Selon les connaissances actuelles, les particules de matière les plus élémentaires sont des fermions des deux types suivants : Les leptons, insensibles à

Bayésianisme versus fréquentisme en inférence statistique Jan Sprenger*†Motivation du chapitre : la découverte de la particule de Higgs Le bayésianisme et le fréquentisme, les deux grandes écoles d’inférence statistique, se distinguent par des postulats philosophiques et des méthodes mathématiques fondamentalement différentes. En un mot, alors que l’inférence bayésienne s’intéresse à la crédibilité d’une hypothèse, les fréquentistes se focalisent sur la fiabilité des procédures

(gravitationnelle, électromagnétique, faible et forte) par l’intermédiaire de bosons vecteurs, particules fondamentales qui assurent la transmission des forces de la nature (1) (tableau 2). L’appartenance d’une particule à la catégorie des fermions ou à celle des bosons est liée à son spin (moment angulaire ou moment de rotation interne intrinsèque), suivant qu’il est de valeur demientière (fermion) ou entière (boson). À chaque constituant de la matière est par ailleurs associée son antiparticule

blancs, noirs, indiens, pauvres, riches, stupides ou méchants ou les deux, … Nos réflexions se recentrent toujours systématiquement sur nos semblables, la société, la vie, le sens. Nous ne nous perdons jamais dans des discussions « futiles » sur le boson de Higgs, la dernière technique de pontage de l’aorte ou le modèle hybride de la Porsche Cayenne. Ces échanges, libres et profonds, ponctués d’humour à divers degrés sont entrés en résonance avec qui je suis. Ils m’on fait grandir, évoluer, sans le chercher