Bourreau de travail

de Pangloss. Le premier a été soigné et après plusieurs péripéties, se retrouva dans une « injustice » car on l’a retrouvé nu avec un musulman. Le second a été mal pendu, puis après une incision cruciale qui le réveilla, se fit soigner par son bourreau et se mit au service d’un marchand. Ils se retrouvèrent tous deux dans la galère sur le même banc à ramer. Pangloss avoue toujours penser que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, bien qu’il ait connu des tristes péripéties. | XXIX

médecins, puisqu’ils sont maintenant respectés et admirés pour leur savoir et leur connaissance. Ensuite, dans l’Avare (Acte III, scène 7) ou Le Bourgeois gentilhomme (Acte II, scène 4), les dialogues « J’enrage ! [...]Peste soit. […]Ah, traître ! […]Bourreau que tu es ! »ou encore « Pendard ! », sont un peu anciens et désuets, de même que « Nicole, apportez-moi mes pantoufles, et mon bonnet de nuit » et « Par ma foi ! Il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j’en susse rien »ou encore

interdépendance et de leur cloisonnement vu précédemment tous les personnages n’en forme qu’un. Ce sont des faisceaux du personnage principal, une déconstruction. La pièce pourrait être vu par ce biais là comme un monologue intérieur où victime, accusateur et bourreau sont dans le même corps. Lorsque le moi tente de s’imposer comme instance supérieure, les didascalies nous indique «  grand trouble ». « Le moi n’est pas maître en sa demeure » disait Freud, et nous en sommes conscient lorsqu’Ivanov s’exclame

caractéristiques (description physique- description psychologique). Mme. Lepic est stricte. Félix est paresseux en voyant les travaux qu’il doit faire. Ernestine est un peu méchante après avoir moquer son frère. Poil de carotte est quelqu’un qui travaille fort. M. Lepic est un chasseur. 2- Relations entre les personnages. Mme. Lepic, M.Lepic, Félix, Ernestine et Poil de carotte sont une famille. 3- Lieu(x); La maison de la famille. 4- Temps : Matin 5- Extrait le plus apprécié (guillemets et page(s))

sens : “l'enfance sera un couteau que je me planterai dans la gorge”. En effet, celle-ci regrettera amèrement sa promesse envers son fils “quoi qu'il arrive, je t'aimerai toujours !”, tragique promesse quand on sait que ce même fils deviendra son bourreau et lui donnera deux enfants issus de ses viols récurrents... Cette mélancolie laisse cependant place à “l'aube de jours meilleurs”, ses “doux souvenirs” d'enfance, l'”innocence de la jeunesse” et la “joie” lui reviennent grâce à son amour pour ses

avoir été abusée par ses amants, s’empoisonna ; elle laissa une petite fille que Delauney voulut élever, mais seul avec son chagrin, il se tua. L’histoire d’Emma est alors celle d’un donjuanisme renversé, féminin et bourgeois, victime plus que bourreau, des séducteurs de villages où se mêlent ces désirs irréalistes d’une vie de « princesse ». Pourtant, d’une certaine manière, son désir amoureux, intimement lié au mysticisme est resté symboliquement vierge puisqu’inassouvi. L’extrait étudié est

s'enferme dans sa honte, n'ose plus prendre d'initiative. Cette violence peut conduire à la dépression, à l'alcoolisme, et dans les pires des cas au suicide. économique (contrôle le budget,interdit d’acheter reproche des achats, interdit de travailler à hors de la maison, force à voler, oblige à le faire vivre, destruction de biens => forme de violence la plus méconnue, elle est reconnu depuis peu devant la loi) verbal (insulte, rabaisse, menace, fait du chantage, interdit de sortir, donne

souffrances que subit le peuple sous une tyrannie. II. Le peuple est responsable de ses malheurs 1) La population fournit à son dirigeant les moyens de la détruire Dans ce discours, La Boétie parle d’un paradoxe : Le peuple est en fait son propre bourreau. Il introduit ce paradoxe par l’expression « nations opiniâtres en votre mal, et aveugle en votre bien »l.1. Il s’agit là d’un parallélisme qui oppose respectivement les mots « opiniâtres » et « mal » à « aveugles » et « bien » c’est une façon de

doom yaay / Adal mounoufa dara, doom yaay [... / Ferme la porte de la détresse / Sème la paix / Car lorsque sonnera l'heure de la mort / L'argent ni les richesse n'y pourront rien] (p.16). Biram, le fils aîné de Maar, est médecin. Il cherche du travail mais aucun poste n'est disponible parce qu'un petit nombre de politiciens, de fonctionnaires et de chefs de projets indélicats s'attribuent les fonds destinés au Service de la Santé, détournent l'argent octroyé par les organismes internationaux et

il est candidat aux élections législatives contre un « républicain », Jules Simon, et un « impérial », Lachaud. Son programme : « J'ai toujours été l'avocat des pauvres, je deviens le candidat du travail, je serai le député de la misère ! La misère ! Tant qu'il y aura un soldat, un bourreau, un prêtre, un gabelou, un rat-de-cave, un sergent de ville cru sur serment, un fonctionnaire irresponsable, un magistrat inamovible ; tant qu'il y aura tout cela à payer, peuple, tu seras misérable ! »