Bourreau de travail

échalas (bâton pour éduquer) La pancarte est un expédient Un mulet a mangé un codex rare de Cicéron Les livres denonçant les romains (guerres puniques) dont ils se croient les descendants sont censurés. Crispino dénonce ses livres afin de rajouter du travail aux lieutenants et pour les instruire Le rapport exhaustif critique les classes dirigeantes. Fedina et les lieutenants sont mis à la retraite pour cause de dépression nerveuse Ils finissent comme chercheurs, vont à la bibliothèque malgré le froid

toute l’Europe. On parlait de société industrielle qui valorisait le bien-être matériel de leurs membres. Il s’agissait de maîtriser l’environnement naturel mais par la technique et on va en extraire toutes les choses/biens dont on a besoin pour le travail. Cette société industrielle croyait aux Progrès ! Tout ce qui venait du Progrès était d’office bon. Alors qu’aujourd’hui le Progrès n’est plus d’office considéré comme bon pour au moins 2 raisons : - Raison écologique (ex : Trou dans la couche d’ozone)

« dire » mieux que le commun des mortels qui n’a du langage qu’une utilisation quotidienne, utilitaire ; il peut donc et doit prêter sa voix à ceux à qui on a confisqué la parole : enfants, peuples opprimés… Pour dénoncer les conditions inhumaines du travail des jeunes enfants au xixe siècle, Hugo « donne » – au sens littéral – la parole à ces pauvres victimes : « Ils semblent dire à Dieu : – Petits comme nous sommes, / Notre père, voyez ce que nous font les hommes » (« Melancholia »). 2. La poésie

Mme de Rênal que l'arrogante aristocrate Mathilde de La Mole. « Bel ami » est le surnom suggestif donné à Georges Duroy, héros du roman de Maupassant, qui multiplie les conquêtes féminines pour gravir les échelons au sein du journal dans lequel il travaille. Il deviendra significativement à la fin du roman le baron Georges Du Roy, adulé par la foule admirative qui se presse à son prestigieux mariage avec la fille de son patron en l'église de la Madeleine à Paris : « Lorsqu'il parvint sur le seuil, il

1) Quelques mots sur l’auteur Guy de Maupassant est né le 5 août 1850, à Fécamp. Il fait ses études au lycée de Rouen et devient un ami de Flaubert. Il ne peut poursuivre ses études après le bac car la guerre de 1870 a ruiné sa famille. Il travaille alors dans différents ministères puis, à 30 ans, il devient journaliste et publie ses récits dans plusieurs journaux. Il publie sa première nouvelle à 25 ans, La main d’écorché. Boule de suif, qui est qualifié comme « un chef d’œuvre » selon Faubert

thème de la lettre est évidemment le domaine de l’édition avec un champ lexical s’y rapportant : œuvre ; édition ; livre ; plume ; ligne… La personne visée (Mane) est décrite par de nombreuses appellations péjoratives : gibier de bagne ; ignoble bourreau ; scorpion humain ; cet homme… La violence des termes utilisés laisse entendre la difficulté des rapports existant entre Balzac et son éditeur. De nombreuses figures de rhétorique viennent à l’appui de cette constatation. Ainsi ligne 23 l’oxymore

sous forme de vers, plus précisément en alexandrins, comme on a pu le constater dans la pièce Andromaque de Racine : « Son hymen différé, ses charmes sans pouvoir ? » (vers 124). Certains passages de pièces de théâtre peuvent être particulièrement travaillés comme Le Cid de Corneille et ses stances. Les rimes changent et les figures de style sont utilisées. Dans Horace de Corneille par exemple il y a une figure de style, une anaphore de Rome dans la réplique de Camille dans l'acte VI scène 5. La qualitée

du haut, c'est un homme à l'époque du Moyen-Age qui subit le supplice de la roue. Le supplice de la roue procédait de la façon suivante : le condamné était attaché sur une croix de Saint-André pourvue d'encoches sur la longueur. À ces endroits, le bourreau frappait les membres avec une barre de fer pour les briser. Puis il défonçait la poitrine d'un grand coup. Il attachait alors le supplicié, bras et jambes repliés sous lui, sur une roue montée sur un essieu et le laissait ainsi exposé jusqu'à ce

petits enfants nus ! C’est votre chute au fond des gouffres inconnus ! Le faste de ce prêtre, ô pauvres, représente Ce que vous n’avez plus, votre vie innocente, Le loyer du logis, le tison du foyer, La dignité du cœur qui ne veut pas ployer, Le travail qui s’accroît par l’épargne qui monte, Votre joie, et l’honneur des femmes, et ta honte, Prêtre ! ― Rends ces trésors aux pauvres ! Rends-les tous ! Escarboucles chez eux, immondices chez nous ! Quoi ! tandis que là-haut l’immense Éternel pense ;

froideur dans la scène. Cette pièce retranscrit une situation “de décision pénale de la part de la victime” dans une société autre que celle dans laquelle nous vivons. En effet, la femme est la victime. Cependant, c’est elle qui décide du sort de son bourreau. Elle fut victime d’une agression (ou autre) et elle doit choisir la façon dont cet homme sera exécuté. L’histoire se déroule dans un monde où la justice est faite par les victimes et non par un tribunal ou des juges. C’est la déviance d’un système