Bourreau

de tes annales Quels dieux n'ont pas été fabriqués par tes mains ? Des divinités infernales Reçurent l'encens des humains ! Tu dressas des autels à la terreur publique, A la peur, à la mort, Dieux de ta République ; Ton grand prêtre fut ton bourreau ! De tous ces dieux vengeurs qu'adora ta démence, Tu n'en oublias qu'un, ô peuple ! la Clémence ! Essayons d'un culte nouveau. Le jour qu'oubliant ta colère, Comme un lutteur grandi qui sent son bras plus fort, De l'héroïsme populaire Tu

de nombreuses agences. Dieu et nous seuls pouvons De Michel Folco Ce livre nous relate l’histoire des bourreaux de la famille Pibrac au cours du temps. Pour être précis il y a 2 parties dans ce livre, l’une raconte l’histoire du premier bourreau de la génération Pibrac tandis que la deuxième partie nous raconte l’histoire du Pibrac numéro 7. Moi je vais vous raconter uniquement la première partie car bien qu’il y ait quelques similitudes entre les deux parties, les histoires sont très

bronze sur une cheminé. Ce qui diverge de l’enfer classique qui est situé dans les entrailles de la terre et représenté par des pals. « Où sont les pals » demande Garcin, un damné surpris. Ces mêmes représentations sont généralement accompagnées de bourreau mais ici il n’y a déjà pas de pals et la seule personne extérieur aux damnés n’est visiblement qu’un homme aimable, polis au service des damnés qui est d’ailleurs surnommé « Le Garçon ». « Excusez-moi.» dit Le Garçon après l’énervement de Garcin

Opposition entre la vie et la mort (vers 1262) - Vers 1262, il pense qu’Adraste se venge même après sa mort. - Opposition singulier (Clindor) et pluriel (Afraste + bourreaux + spectateurs) = Clindor pense que c’est Adraste qui va guider la hache du bourreau (vers 1276). - Métaphore, Chiasme et périphrase (vers 1274 et 1276) Cindor est donc obsédé par sa mort qui est proche mais il va prendre conscience de celle qu’il aime et ainsi garder espoir. II - L’ETAT D’ESPRIT DE CLINDOR 1 - Le bilan

Lahtela ne serait jamais décédé si il ne s’était jamais ainsi sur cette seringue, il ne se serait jamais assis sur cette seringue si Linéa ne l’avait pas emportée et Linéa ne l’aurait jamais emportée si elle n’avait pas craint pour sa vie parce qu’un bourreau empreint d’alcool venait juste de l’obliger par la force à quitter son appartement. Tandis que pour Jari Fagerström, il s’est avéré qu’il était un réel toxicomane qui, ayant pris le poison que Linéa voulait s’administrer pour une dose de drogue,

mot la porte cède" (v.17), "rien qu'un mot, rien qu'un mensonge" (v.21); minimise la trahison. Il suffirait d'un mensonge pour vivre. "J'ai dis tout ce qu'on peut dire" (v.29) = voix de Gabriel Péri, "il répète calmement" (v.48) ; insistance du bourreau, "sous vos coups chargés de fer" (v.51), "songe songe songe songe" (v.24), "ils sont venus le prendre" (v.45) = INSISTANCE, "ils sont venus le prendre" (v.45) / "veux tu te rendre"PARANOMASE _ "de cette vie es-tu las?" (v.10) QUESTION RHETORIQUE

d'une pneumonie. Elle ne cesse de frauder avec la vérité. « Alors c'est ça l'enfer. Je ne l'aurais jamais cru… Vous vous rappelez : le souffre, le bûcher, le gril.. Ah quelle plaisanterie. Pas besoin de gril, l'enfer c'est les autres. » « Le bourreau c'est chacun de nous pour les deux autres. » (Garcin) Résumé : Inès, Joseph et Estelle se retrouvent au moment de leur mort dans la même pièce, en enfer. Or, ils ne se connaissent pas et sont, de par leur situation, très différents. Leur cohabitation

avons identifié le champ lexical de la mort (v. 35: tuez, v. 36: sanglants, v. 39: crimes, v. 41: funèbres, v. 42 ténèbres) et plus précisément celui de la peine de mort (v. 29: gibet, v. 31: bourreau, v. 45: l’échafaud, supplice). Au vers 35 se trouve une métonymie ouvriers du trépas, qui fait allusion au bourreau en renforçant l’aspect cruel, de même que les mots qui suivent: sanglants, mauvais, durs. Le rejet/contre-rejet du vers 28-29 « Arbre, veux-tu être gibet? » accentue la séparation du poème

Hamida Djandoubi le 10 septembre 1977 ; ce fut la dernière exécution capitale en France. Comment la peine de mort fut elle abolit ? Lors de la discussion du projet de budget pour 1979, plusieurs amendements tendant à supprimer les crédits du bourreau (soit 185.000 francs) ont été déposés à l’Assemblée nationale et au Sénat et leur discussion a donné lieu, dans les deux assemblées, à un débat, en quelque sorte improvisé, sur la question de la peine de mort. Le Garde des Sceaux, Alain Peyrefitte

détenaient le pouvoir. Carole se demande ce qu'elle aurait fait pour les Noirs si elle avait été une blanche riche de ce pays. On saura jamais c'qu'on a vraiment dans nos ventres Caché derrière nos apparences L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau? Ou le pire ou plus beau ? Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un troupeau S'il fallait plus que des mots ? Les trois artistes chantent ensemble et se posent la question de savoir comment ils auraient réagi s'ils avaient