Bovarysme

déterminant. C’est là que son imagination s’enflamme à la lecture de livres romantiques. Elle est excessive en tout et elle se répète sans progresser, incapable de tirer parti de l’expérience. Elle se conçoit toujours autre qu’elle n’est : c’est le bovarysme (insatisfaction + fuite dans le rêve). Pourtant il lui arrive d’être lucide : « l’immense duperie » de la dévotion qu’elle affiche après la fuite de Rodolphe lui apparaît cruellement, mais son orgueil l’empêche de l’accepter. Charles Bovary :

C'est comme si le titre était Mme Bovary dans une province des mœurs. - Le personnage d’Emma est universel et intemporel. - Emma paraît être une femme romanesque (or c’est surtout une rêveuse inconditionnelle…) - C’est une héroïne éponyme car le Bovarysme, notion de rêver sa vie au lieu de réaliser ses rêves, est tiré de son nom. Emma n’est pas une héroïne de roman car… - Emma est une personne plutôt banale, avec une vie des plus « ennuyeuses ». - L'héroïne n'est pas idéalisée. Elle a des défauts

l’histoire d’une jeune femme qui, à la recherche d’un bonheur rencontré dans les livres, mènera, en se mariant à un pauvre médecin de campagne, une vie pleine de déceptions et d’ennui. Elle finira par se suicider, et donnera son nom à une attitude, le bovarysme, comportement qui consiste à rêver sur une vie plutôt que de la vivre. Dans l’extrait analysé, on est au moment ou le rêve d’évasion d’Emma se brise : Rodolphe (son amant) se dérobe au dernier moment et lui adresse une lettre de rupture. Elle se

passionné apparaît dans sans amour pour Emma. Généralement, il préfère être discret et invisible et de passer sa vie avec Emma sans complications. "J'ai tout lu"(I;9), déclare Emma. Que vous inspire cette affirmation? Relevez des marques du bovarysme de l'héroïne. Cette affirmation souligne la maladie d'Emma. Elle est complètement insatisfaite de sa vie et cette insatisfaction l'entraîne à des rêveries ambitieuses ayant un rôle compensatoire. La raison principale du mal de vivre d'Emma est

médecin de campagne, Charles Bovary, qui tombe amoureux d’Emma Bovary et l'épouse. Celle-ci qui rêve d'amour eternel et d'aventures merveilleuses tirées de romans a l'eau de rose en serra d'autant plus déçue par la triste réalité. Le phénomène du Bovarysme la mène à des déceptions amoureuses avec son mari et ses deux amants Rodolphe et Léon. Elle fini ruinée, rongée de désespoir et d’ennuie. Elle se suicide laissant derrière elle un mari qui mourra d'amour pour elle ainsi qu'une petite fille, Berthe

Germinal, incipit, ZOLA Les Fruits d'Or, incipit, SARRAUTE Madame Bovary, excipit (p.), FLAUBERT Le Roman:  Le roman est fictif et réel  Les relations entres personnages et auteurs: bovarysme  Les difféfents points de vues : omniscient, interne, externe  XVIIème: roman bourgeois (en prose) plutôt réalistes liés à la langue précieuse  XVIIIème: roman épistolaire (roman par lettre), une critique à la société XIXème: éclusion du

production romanesque antérieure, touche plus que jamais notre société. Chabrol fait de ce livre, très proche de La Physiologie du mariage de Balzac, une étude analytique des mœurs de province, une scène filmique de la vie privée. Il reconstruit un bovarysme (1) caustique et plus réaliste que jamais. Le cinéaste et l’écrivain créent finalement une œuvre unique ; plus qu’intertextuelles, la plume et la pellicule forment une alchimie audio-visuelle qui permet un va-et-vient fructueux entre deux expressions

mais il sera acquitté. Dans cette œuvre Flaubert met en scène une femme victime de la rupture entre le rêve et la réalité, qui ne vit que dans l’illusion et donc qui ne pourra jamais être heureuse. Madame Bovary incarne ce que l’on appellera le Bovarysme qui est de ce croire tel que l’on voudrait être et de rêver de bonheur illusoire qui nous sont inaccessible. Ns pouvons ns demander comment Flaubert exerce-t-il sn ironie vis-à-vis d’une certaine littérature ? Tout d’abord ns allons voir la lingère

alitée. Une femme prisonnière de ses lectures de jeunesse à l’exotisme de pacotille (cf « le mancenillier » encore). Un type social et moral de la littérature du XIXème s., la femme mariée condamnée à l’ennui. Personnage qui explique la notion de bovarysme créée à partir d’Emma. (Dictionnaire Robert : évasion dans l’imaginaire par insatisfaction ; pouvoir qu’a l’homme de se concevoir autre qu’il n’est.) CL. Des personnages médiocres dans un monde désenchanté. Double ironie du texte : celle de Rodolphe

par une passion, bientôt déçue, Emma s’endette, encouragée par Lheureux, marchand de nouveautés. Pour échapper à une situation sans issue pour des raisons sentimentaux et financières, Emma s’empoisonne avec de l’Arsenic. Suite à la délusion, le bovarysme est le terme souvent donnée à l’héroïne de l’histoire, elle s’imagine sa vie sur un modèle romanesque et idéal. A force de s’imaginer cela, il est dur de s’adapter à la réalité qui peut être souvent décevant comme Emma qui s’est fait une illusion