Bras de fer

20ème siècle. Que nous apprend cette œuvre sur la 1ère guerre mondiale ? II. Description Au premier plan on peut voir trois hommes mutilés jouer au skat, un jeu de carte Allemand. Le joueur de gauche n’a plus de bras : son bras gauche est une prothèse en bois tandis que le bras droit lui est absent, on ne voit qu’une manche vide. L’homme se sert du pied de la seule jambe qu’il lui reste, l’autre étant une prothèse, pour tenir ses cartes. Son visage est couvert de cicatrices et de brûlures ;

pantins. - Celui de gauche : Il n'a plus de bras, à l'un il a une prothèse et à l'autre rien, donc il joue avec son pied droit, car il n'a plus le gauche, il a une prothèse comme le pied de table à la place. Il est brûlé, il lui manque un œil et une oreille, donc on a relié à l'orifice un tuyau qui conduit à la table pour entendre. - Celui de droite : Il lui manque ses jambes, sa mâchoire et en fer, et il lui manque un bras. Sur sa veste il y a la croix de fer, ce qui veut dire qu'il a fait la première

la Liberté ». Cette sculpture a été inaugurée en 1886 et est située à New York sur l’île de Bedloe’s Island, au sud de Manhattan, à l’embouchure de l’Hudson. Elle mesure 46.4m de haut (93.5m avec le piédestal) et est faite de cuivre (extérieur), fer (pylônes intérieurs) et béton (socle). La statue de la liberté a coûté très cher. Les Français ont réunis les 600 000 francs nécessaires en cinq ans (1875-1880) et les américains ont payés le piédestal. Si le président Grant a formellement accepté le

palier 1 – AINS, arylcarboxylique Inexium 40 (ulcère gastrique) Dci: esoméprazol, inhibiteur pompe à protons Fumafer ( fer ) 1 cps M, M, S Contient du fer, élément minéral essentiel au fonctionnement de l'organisme : formation de l'hémoglobine, contenue dans les globules rouges, transport de l'oxygène dans le sang. Il est utilisé dans le traitement des carences en fer responsables de certaines formes d'anémies. Il est également utilisé pour prévenir cette carence chez la femme enceinte, le

Dix, un peintre allemand dont je vais vous présenter la biographie. Otto Dix est né à Untermhaus près de Gera le 2 décembre 1891 et est mort près de Constance, à Singen, en 1969. Issu d'un milieu ouvrier (son père Franz travaillait dans une mine de fer), il reçut tout de même une éducation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Il prend des cours de 1905 à 1909. Admis dans l'Ecole des arts décoratifs en 1910. Il sera totalement bouleversé par la première guerre mondiale

précision le lieu où Otto DIX nous place. Les chaises nous permettent néanmoins de dire que nous sommes dans un bistro. L’arrière plan est noir et un rideau et des joueurs représentés comme des pantins ridicules. L’homme à gauche : Il n’a plus de bras : le gauche est une prothèse en bois tandis que le droit est absent (manche vide). Pour jouer, il se sert du seul pied qu’il lui reste. Cette manière de jouer aux cartes nous donne l’image d’un singe ce qui déshumanise cet ancien combattant. Son visage

membres, ses jambes, son nez est dissimulé sous un cache, sa mâchoire est en fer et son bras est une prothèse en bois ce qu'il nous laisse supposer qu'il les a perdus pendant la guerre. Sur sa veste, est accrochée la croix de fer : il s'agit d'une décoration militaire qui était considérée comme un honneur, ce qui nous indique qu'il s'agit d'un ancien combattant de la 1° Guerre Mondiale. * L'homme de gauche n'a plus de bras, son bras gauche est une prothèse en bois tandis que le droit lui est absent, on

Fred était là. Mon inséparable. Malgré de longues vacances passées sans le voir, mes yeux retournèrent sur cette fille. Il me serra la main avec une force de forgeron, mais je n'y prêtais guère attention. Il me demanda si je me suis entraîné au bras de fer cet été, car Fred était le plus fort de l'école. Je le coupai, en lui demandant s'il connaissait cette beauté qui me captivait. Il nia en affirmant qu'elle devait être nouvelle. La sonnerie retentit, nous devions regagner nos classes. J'entrai dans

question de quelconque incertitude. Par ailleurs, l'appréhension pour la peine évolue. Une fois de plus, un parallélisme à la ligne 28 vient marquer le sentiment de peine que Rodrigue conçoit en choisissant son père plutôt que Chimène : « Fer qui cause ma peine. » Le fer dénote sa bien-aimée puisqu'il s'agite ici une question de peine qu'il éprouverait s’il choisit l'honneur en opposition à l'amour. Voir, un autre parallélisme à la ligne 58 indique que la décision est close : « Ne soyons plus en peine

nez qui est dissimulé sous un cache. Sa mâchoire est de fer et son bras est une prothèse de bois. Ce qui nous laisse supposer qu’il a perdu ses membres à la guerre. Sur sa veste il a la croix de fer qui est accrochée, il s’agit d’une décoration militaire allemande qui était considérée comme un honneur ce qui nous indique qu’il s’agit d’un ancien combattant de la première guerre mondiale. L’homme de gauche n’a plus de bras droit et son bras gauche est une prothèse de bois, on ne voit qu’une manche