Brian De Palma

Scarface est un film américain de Brian De Palma datant de 1983. C'est un remake actualisé du Scarface d'Howard Hawks sorti en 1932, reflétant la société hispano-américaine des années 1980. On pourrait qualifier ce film de film noir actuel. Les quatre acteurs principaux sont Al Pacino (Antonio "Tony" Montana), Steven Bauer (Manolo "Manny" Ribera), Michelle Pfeiffer (Elvira Hancock) et Mary Elizabeth Mastrantonio (Gina Montana). C'est Oliver Stone qui a écrit le scénario. Il s'est inspiré de l'éxode

l'Histoire des USA au cinéma en analyse même s'il est nécéssaire de la connaître un minimum ! 2 réalisateurs phares : Francis Ford Coppola et George Lucas (Coup de cœur : film centrral de Coppola mais gros échec commercial) D'autres réalisateurs : De Palma, Spielberg, Scorsese Chaque réalisateur a une étiquette dont il faut se débarasser pour découvrir toute sa filmographie. Caractérisation de la période Moderne : un cinéma plus récent que la période classique, « Cinéma de la modernité » (un peu comme

marches de l'escalier d'Odessa. Pour aller plus loin... Eisenstein est resté un modèle pour de nombreux réalisateurs actuel. Il fait partie des fondateurs du cinéma moderne et certains, comme Brian de Palma, lui ont rendu hommage au travers de leurs films. Extrait des Incorruptibles, film de Brian de Palma, réalisateur américain (1987). Pour regarder cet extrait vous pouvez cliquer ici Quelques dates concernant Sergei EISENSTEIN (1898 – 1948) En 1918, il s'engage dans l'Armée rouge. Après

Dans les années 1930, Chicago était plongée dans une violence extrême à cause de la Prohibition. En effet, Al Capone régnait sur la ville avec un réseau de distribution très élaboré. C’est ce synopsis qui a inspiré Brian de Palma pour le film Les incorruptibles, qui a vu le jour en 1957. Il s’inspira du fameux personnage d’Al Capone et de l’agent fédéral Eliot Ness qui désire à tout pris attraper ce dernier. Dans le film, Eliot Ness forme une équipe pour faire face à des gens sans pitié et près

annees 70. De tous les réalisateurs mentionnés, Brian de Palma reste le plus obsédé par l’assassinat de JFK. Brian de Palma complète ce qui manquait aux images de l’assassinat de Kennedy : d’autres points de vu que celui de A. Zapruder, une bande son (en fonctions de tirs sur Kennedy) et la preuve par l’image du complot (on pourrait dire le hors champs du hors champs, prenant Oswald comme premier Hors champs et le complot comme second). De Palma a fortement insisté sur les interprétations à

contraire un silence complet avec un bruit de l’aiguille d’une horloge insistant, ou des bruits de pas lourds. Il existe aussi les effets spéciaux, comme dans le très connu Matrix (1999, Andy et Larry Wachowski) ou même Mission Impossible (1996, Brian de Palma), qui rendent l’action impressionnante ; et surtout, le réalisateur joue avec les émotions qu’il veut exploiter chez son public afin qu’il se sente concerné et qu’il se plonge entièrement dans le film. Il tombe ainsi dans l’illusion. Nous avons

avec La Grève. Elle annonce la force du Cuirassé Potemkine, devenu célèbre pour la scène du landau qui dévale les escaliers. Ce film, qui narre la mutinerie d'Odessa de 1905, marque des réalisateurs tels que Woody Allen ou, plus particulièrement, Brian De Palma qui rendra par deux fois hommage au film (Les Incorruptibles, L'impasse). C'est un énorme succès qui n'a pas pris une ride.La ligne générale, tourné en 1929, est classé parmi "les films de propagande" de l'époque. Cela ne change en rien ses qualités

les années 1920 et 1960. Le cinéma américain est regardé dans le monde entier tout comme la musique ou la littérature. Autant d’art ou le rêve américain tient une place importante… Exemple de film traitant du rêve américain : « Scarface » de Brian de Palma Exemple de livre traitant du rêve américain : « L’empire de l’illusion » de Chris Hedges Cependant le rêve américain n’est pas si parfait. En effet pour beaucoup il ne s’agit plus que d’un rêve. Le rêve américain est un idéal et un concept

pays à hauts-revenus pour qui des estimations comparables sont disponibles, seul le Royaume-Uni a un taux de mobilité inférieur à celui des États-Unis ». Plusieurs autres études convergent dans ce sens Rocky, de John G. Avildsen Scarface, de Brian de Palma L’American dream en temps de crise Les ex-goldens-boys new-yorkais sans travail se redécouvrent une nouvelle passion : le bénévolat. C'est beau la crise ! L'article du Figaro a de quoi émouvoir. Les ex-traders avaient un emploi, beaucoup

pour s'assurer une retraite paisible avec Gail, sa compagne danseuse dans une boîte de strip-tease. Mais le destin en décidera autrement. La ressortie conjointe de Scarface et de L'Impasse, tous deux réalisés, à près de dix ans d'écart, par Brian De Palma, jette un éclairage singulier sur une certaine période du cinéma américain. Tous deux ont également en commun leur interprète principal, Al Pacino qui composa, à chaque fois, l'un de ses meilleurs rôles au cinéma. Et là aussi, entre, non seulement