Bulbe olfactif

pénétrer le nez. Ces sont des cils (voir photographie, ci-dessous). Les cils olfactifs possèdent un rôle important dans la défense du système respiratoire. Tout d'abord, ils filtrent l'air inspiré, empêchant tout débris ou poussières de rentrer dans le nez, puis tout le système respiratoire. Ils possèdent aussi un rôle important dans l'olfaction. Chaque cil se termine par un récepteur reconnaissant les odeurs appelé récepteur olfactif. On pense qu'il est capable d'en reconnaitre trente odeurs primaires,

sphérique parcourue de nombreux SILLONS ; les bosses surgissant entre les sillons sont appelées CIRCONVOLUTIONS ; à la base du cerveau, le CERVELET fait penser à un chou-fleur et le BULBE rachidien à la tige élargie de ce chou-fleur. Le dessin de la face dorsale (fig. 1.1) nous montre que l’encéphale comporte trois parties : bulbe, cervelet et cerveau. On peut voir aussi une courte section de la MOELLE épinière. Fig. 1.1 Vue dorsale, encéphale de mouton. 1.2 Notez que les sillons ne passent pas

cavité de ce dernier est recouverte, à sa partie supérieure, par une toile choroïdienne formant de nombreuses invaginations dans le ventricule : ce sont les plexus choroïdiens (Annexe 3). Le myélencéphale est essentiellement composé du bulbe rachidien (Annexe 4). Le bulbe rachidien (= moelle allongée) est une voie de connexion entre le cerveau et la moelle épinière. Il constitue un centre nerveux neurovégétatif contrôlant les processus involontaires (la circulation sanguine, la respiration, le rythme

sensations, pour en permettre la perception consciente. L'information est transmise à des régions spécialisées du cerveau. Les centres de traitement du cerveau diffèrent selon le type de stimulation : zone spécialisée dans le traitement des stimuli olfactifs, visuels, tactiles, gustatifs, auditifs). Ex : lobe occipital pour la vision. Connections collatérales vers des centres profonds comme le thalamus voies nerveuses stimulus récepteurs

buccale, entraînant une remontée des molécules odorantes en arrière du voile du palais vers la fente olfactive.  La rencontre des molécules odorantes avec les neurones de l'épithélium olfactif est le point de départ de l'activation de la voie olfactive qui transmet l'information nerveuse aux bulbes olfactifs, puis au cortex cérébral.On classe les troubles de l'odorat en troubles quantitatifs et troubles qualitatifs : Différence d'odorat entre homme et femme Des observations (menées dans les

résultats 1. BULBE OLFACTIF 2. NERF OPTIQUE 3. CHIASME OPTIQUE 4. HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL 5. HYPOPHYSE 6. PÉDONCULES CÉRÉBRAUX 7. PONT 8. BULBE RACHIDIEN 9. CERVELET 10. MOELLE ÉPINIÈRE A. VUE VENTRALE 1. HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAUX 2. CERVELET 3. MOELLE ÉPINIÈRE B. VUE DORSALE C. COUPE LONGITUDINALE 11. HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL 12. MOELLE ÉPINIÈRE 13. BULBE RACHIDIEN 14. PONT 15. PÉDONCULES CÉRÉBRAUX 16. HYPOPHYSE 17. HYPOTHALAMUS 18. NERF OPTIQUE 19. FORNIX 20. BULBE OLFACTIF 1. CANAL

métabolique comme le diabète. Atteinte virale Ex : le syndrome de Guillaimbarré Tumeur de nerf : neurinome Le tronc cérébral. Au cours de l’embryogénèse, s’effectue un épaississement de la moelle au niveau du pôle céphalique qui constitue le bulbe. Puis la mise en place d’un bourgeon, le cervelet. Au niveau du cervelet, il y a une modification de la forme du canal de l’épendyme (remplit de liquide céphalorachidien (LCR). Ce dernier s’élargit et forme le 4ème ventricule. Le plancher (partie

des chimiorécepteurs car ils réagissent aux substances chimiques en solution aqueuse. Les récepteurs gustatifs sont stimulés par des substances chimiques contenues dans les aliments ou les boissons, puis dissoutes dans la salive. Les récepteurs olfactifs sont stimulés par des substances chimiques en suspension dans l’air qui se dissolve dans les liquides, les membranes nasales (sécrétions nasales ou mucus) 1. Calicules gustatifs et gustation a. Situation et structure des calicules gustatifs

verrons pourquoi chacun des sens, comprenant le goût, l'odorat, la vue, l'ouïe et le toucher, sont essentiels à la perception du goût. Ainsi, nous verrons dans l'ordre : l'apport du système gustatif dans la perception du goût , puis celui du système olfactif et enfin, le rôle de la vue, l'ouïe et le toucher. Problématique : En quoi nos sens influencent-ils notre perception du goût ? A) Les interactions et les différents éléments de la cavité buccale L'être humain est en permanence stimulé par des

parties : l'une, antérieure ou orbitaire, l'autre, postérieure ou temporo-occipitale. • La partie orbitaire de la face inferieure de l'hémisphère repose sur la voûte orbitaire. C'est dans cette partie de l'hémisphère que se trouvent le bulbe et le pédoncule olfactif, les bandelettes olfactives et l'espace perforé antérieur. • La partie temporo-occipitale de la face inférieure de l'hémisphère est excavée dans sa partie moyenne et repose sur l'étage moyen du crâne et sur la tente du cervelet. 3