Bush v. Gore

Commenter l’extrait de l’arrêt George W. Bush v. Albert Gore jr, rendu le 12 décembre 2000 par la Cour suprême fédérale des Etats-Unis d’Amérique : « Personne, plus que les membres de cette Cour, n’est plus conscient des limites de l’autorité judiciaire et aucun d’entre eux n’a autant d’admiration pour la procédure constitutionnelle destinée à désigner le président par le peuple, à travers leurs législateurs et la représentation politique. » L’élection du président américain est processus très

Tandis qu’à la Cour suprême se déroulaient les débats de l’affaire Bush v. Gore, l’on pouvait sentir que l’enjeu dépassait largement le seul résultat de l’élection présidentielle. Ainsi, deux des plus astucieux et impartiaux défenseurs de la Cour qui ont passé des années à protéger l’institution contre les cyniques – ces derniers clamant que ses juges sont davantage motivés par la partialité que par la raison – semblaient choqués de la suspension par la Cour suprême du deuxième décompte manuel des

États restants. En effet, le cas le plus proche est celui d'Al Gore majoritaire de 540 000 voix au niveau national mais battu par 266 votes contre 271 au sein du collège électoral. 2. Expliquez les faits qui ont donné lieu à l'affaire Bush v. Gore, la solution retenue par la Cour suprême en l'espèce ainsi que la portée de cet arrêt. Dans cette affaire était en jeu l'attribution des 25 grands électeurs de Floride à Bush ou à Al Gore, ces 25 électeurs étaient nécessaire à l'un comme l'autre pour

cas. Modération de 1986 à nos jours. Bush vs Gore en 2000 : le démocrate Al Gore et le républicain George W. Bush, qui ont dû attendre les résultats de l'État de Floride, déterminants pour le résultat final, pendant plus d'un mois. Bush gagna la Floride avec 537 voix supplémentaires. Ces résultats furent contestés par le candidat démocrate devant la Cour suprême de Floride et devant la Cour suprême des États-Unis. Celle-ci estima dans son arrêt Bush v. Gore le 12 décembre 2000 que le recompte ordonné

EXPOSE IP : La Cour suprême La Constitution de 1789 et l’arrêt Marbury v Madison de 1803 font de la Cour Suprême des EUA (Supreme Court Of The United States – SCOTUS) la matrice du pouvoir judiciaire et la placent ainsi au cœur des institutions du pays. Sommet de la hiérarchie judiciaire et instance de contrôle de constitutionnalité des lois, la Cour Suprême semble bien s’inscrire dans le régime de séparation stricte des pouvoirs qu’est le régime présidentiel américain en tant qu’elle est un organe

1876, 1888, et 2000 (d’aucuns affirmant que ce fut également le cas en 1960…). Le cas le plus proche de nous est celui d’Al Gore, majoritaire par 540.000 voix au niveau national, mais battu par 267 votes contre 271 au sein du collège électoral. Il ne dut sa défaite qu’à 540 voix en Floride, qui firent basculer les 27 grands électeurs de cet État dans l’escarcelle de George W. Bush. → Le collège électoral (et cet argument contredit en partie le premier) conduit à ignorer tous les États où un candidat

|50,3 | |1988 |G. Bush (R) |54,0 |M. Dudakis (D), 46 |55,1 | |1992 |B. Clinton (D) |43,0 |G Bush (R), 38 |48,8

THÈME 5 : L’environnement, entre exploitation et protection : un enjeu planétaire OTC : Les États-Unis et la question environnementale : tensions et contrastes Manuel p 426 à 451 Les relations qu'entretiennent les États-Unis avec leur environnement s'expliquent en partie par l'histoire et la géographie de ce pays. La colonisation du vaste « Nouveau Monde » et l’exploitation des richesses ont été si rapides

nature du suffrage (universel indirect) on ressent déjà un manque de légitimité. De plus, le système des grands électeurs comporte une lacune importante de logique qui s’est vue en 2000 : le Président Bush à été élu alors que son adversaire, Al Gore, avait 500 000 voix de plus que lui, mais George Bush avait plus de grands électeurs dans son camp. La légitimité démocratique serait donc à revoir. Il y a une certaine légitimité mais cela reste du suffrage universel indirect mais avec un système à deux

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