Calvinisme

de princes catholique et Protestants, firent prévaloir leur affirmation confessionnelle sur la paix génerale, et mire en avant les obscurités du compromis, non reconnu par l'aile dure du catholicisme représenté par l’évêque d'Ausbourg, et dont le Calvinisme était exclu. Tandis que les Luthériens voyaient dans l'accord la garantie de l'égalité des deux cultes, les catholique interprétèrent les concessions comme d'autant d’exemption temporaires au droit impérial, et commencèrent à réclamer la restitution

majoritairement protestant : 66% de la pop en 1959, 60% en 1990 et 51,3% en 2008. Puritains : protestants voulant purifier l’Eglise anglicane de toute trace de catholicisme. Au sens large, protestant prônant une morale très austère, vision rigoriste du calvinisme qui s’appuie sur la notion de responsabilité individuelle du chrétien devant Dieu. Anglicanisme : religion officielle établie en Angleterre au XVIe siècle, synthèse entre protestantisme (=doctrine) et catholicisme (=rite, clergé…). Elle est devenue

de Béthune, futur duc de Sully. Il se présente devant le portail de l'abbatiale de Saint-Denis, au nord de Paris et jure de mourir dans la religion catholique. Monseigneur de Beaune, archevêque de Bourges, lui donne l'absolution. En renonçant au calvinisme Henri reconnait qu'un roi de France doit partager la religion de son royaume. Le roi est une personne publique garante de la tradition d’où la royauté tire sa légitimité juridique et populaire. Il achète la reddition de sa capitale et marque sa

religieuse, mais aussi anthropologique et politique. Le protestantisme beneficia des contextes favorable, car de nombreux chretiens esperaient depuis longtemps une reforme de l’Eglise. Si le lutheranisme ne rencontra guere d’echos dans le royaume, le calvinisme, en revanche, connut une spectaculaire croissance dans les annees 1540-1550. Au milieu du XVI siecle, on estime que deux millions de Francais s’etaient ainsi convertis. Mais les guerres de religion briserent cette dynamique, en particulier les massacres

d’un long processus de désenchantement du monde qui débute avec le judaïsme primitif. Cette désillusion qui jalonne l’histoire des religions correspond à l’affaiblissement de la croyance magique, à un monde plus austère. Weber a analysé de près le calvinisme et il en a conclu que dans cette doctrine et ce courant religieux, aucun sacrement ne permet d’obtenir le salut et de garantir le salut de la personne ; contrairement aux autres religions où l’on pouvait se racheter lorsque l’on commettait des pêchés

Il se signala au siège de Lens en 1552, à la défense de Metz contre Charles Quint en 1553, servit ensuite en Flandre et en Italie jusqu'à la trêve de Vaucelles (5 février 1556). Il fut fait colonel général de la cavalerie légère et continua de se distinguer durant les guerres de Religion contre les protestants. Il commanda les Suisses qui ramenèrent à Paris Charles IX, que les calvinistes avaient voulu enlever à Montceaux-les-Meaux. En 1559, il fut l'ambassadeur du duc Emmanuel-Philibert de Savoie

DISSERTATION Sujet 1 : Dans quelle mesure Weber met-il en œuvre dans l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme les grands principes de sa sociologie compréhensive ? Intro I. Quelle est, selon Max Weber, la sociologie compréhensive ? Weber met en place une méthodologie d’étude de la sociologie. Par cette méthodologie, il explique ce qu’est l’action. Nous verrons ensuite que cette action est sociale. A. L’étude de Max Weber naît dans le contexte du conflit des méthodes. Ce conflit

Pratiques religieuses – La quête du salut : Les reliques à l’époque baroque Depuis une vingtaine d’années on observe un regain d’intérêt pour les reliques dans le monde scientifique, devenues nouveaux objets historiques. En effet, celles-ci pendant toute l’histoire du christianisme furent sujettes à de nombreuses polémiques. Leur rôles thaumaturgiques et d’intermédiaires entre le Saint et le fidèle ont engendré quelques problèmes de légitimité. Une relique désigne tout ce qui subsiste sur

cachés » -> Le protestantisme (La Réforme commencée par Luther qui a dit qu’on pouvait pas payer sur terre pour s’assurer l’au-delà, révolte contre la pratique des indulgences : on paye pour aller au paradis plus tard, puis Calvin (suisse) -> calvinisme) dans la théorie calviniste, 3 caractéristiques : . dieu est absolu, transcendant, mais insaisissable et incompréhensible pour l’être humain, la communication avec Dieu est un exercice pratiquement impossible. Chez les catholiques, le prêtre est

A Ferrare, elle réunit autour d'elle une foule d'hommes doctes, dont de nombreux protestants, venus d'Italie, d'Allemagne, de France, de Genève; elle employa comme secrétaires Lyon Jamet et Clément Marot, protégea de nombreux coreligionnaires poursuivis pour leurs idées religieuses : Camillo Renato, Lodovico Domenichi, Isabelle Bressegna, etc. Elle rassembla autour d'elle, dans les années cinquante, des réfugiés venus de l'Europe entière, sans manifester pour autant le désir de structurer ce mouvement