Calvinisme

première guerre de Rohan et la paix de Montpellier -rôle de Henri de Rohan : └> motifs d'action : jusqu'en 1621 → révolte vs exclusion de la noblesse de la faveur royale + soucieux de participer au gvt du royaume pdt régence lutte aussi pour calvinisme dès que LXIII va en Bearn en 1620 → pense que seule une résistance mil peut préserver avenir de la Réforme mais continue aussi à servir ses intérêts : si gagne, a une bonne position dans le royaume -l'ass de La Rochelle organise le parti

réformées de l'Eglise catholique. Le but premier de cette réforme est de restaurer la foi chrétienne tout en gardant certains principes du catholicisme. Différentes confessions émergent, dont les principales sont le luthéranisme (ou évangélisme), le calvinisme, le baptisme et l'anglicanisme. Elles ont chacune leurs spécificités mais elles rejettent toutes l'autorité du pape en faveur de l'autorité de la Bible elle-même et de l'importance de la foi individuelle. La Réforme/ La Contre Reforme est l’ensemble

Rousseau se méfie beaucoup de la religion telle que révélée par les témoignages des hommes (l'Église) et les livres sacrés (tous traduits). On constate en effet, qu'au cours de son existence, Rousseau, élevé à Genève dans la foi protestante du calvinisme genevois, se laisse convertir au catholicisme romain lors de son passage à Turin à l'âge de 17 ans, puis abjure le catholicisme à l'âge de 42 ans, pour renouer avec les autorités genevoises. En 1768, il épouse civilement Thérèse Levasseur à Bourgoin

lesquelles il dénonce les abus commis par les représentants de l'Eglise. Ses idées remportent du succès en Allemagne puis dans toute l'Europe. En Allemagne, la religion protestante est donc développée par Luther (luthérisme), puis en France par Calvin (calvinisme), et par la suite dans de nombreux pays européens. Cette religion est une religion chrétienne mais qui ne reconnaît pas l'autorité du Pape. Réforme / Contre-Réforme : Aux XVIème siècle, les pratiques et les croyances de l'Eglise catholique romaine

dans le traité de Maastricht (1992), afin de limiter le droit de la Communauté à intervenir hors de sa compétence exclusive. En fait, son origine est plus ancienne : elle puise à des sources philosophico-religieuses (aristotélisme, thomisme, calvinisme, catholicisme social…), qui en donnent chacune sa définition. La traduction de ce principe dans l'ordre juridique interne prend des formes diverses selon les pays qui l'adopte (France, États-Unis, Allemagne, Suisse, Pologne), qui l'appliquent avec

actions de certains auteurs anciens (Platon, Thucydide, etc.) sans se demander ce qu’eux-mêmes auraient pensé de leurs propres actions. Un autre exemple atypique est fourni par son étude historique la plus connue, celle où il prône que c’est le calvinisme qui a engendré le capitalisme, bien malgré lui. Or ce jugement de valeur n’en est pas moins farouchement réfuté par d’autres, en cela les travaux de Weber sont entachés de pratiques défavorables. La véritable raison de ce refus d’origine catégorique

XVIe siècle dans les milieux de confession protestante. Le système de valeurs catholiques qui forge la mentalité de l'occident chrétien est un obstacle au capitalisme (valorisation de la pauvreté, de la charité, critique du prêt à intérêt...). Le calvinisme, au contraire encourage un comportement congruent avec le capitalisme (valorisation du travail, notion de prédestination...) : le croyant doit donc se comporter comme un moine chez qui le travail et l'entreprise remplace la prière et la contemplation

d'Ancien Régime, qui était était un Etat confessionnel, catholique. Mais tous les pays environnants étaient des pays confessionnels. En Angleterre, c'était la Church of England. Dans les pays nordiques, c'était la Confession d'Augsbourg et à Genève le calvinisme. En Espagne, en Italie, au Portugal, c'était aussi la religion catholique. A l'Est, c'était l'Eglise orthodoxe. Dans l'empire ottoman, c'était la religion musulmane. On avait donc des Etats confessionnels, et même uniconfessionnels. Depuis 1802

dans leur volonté d'émancipation vis-à-vis du Pape. ¨ CALVIN (1509-1564), Français. Il publie en 1536 "Institutions de la religion Chrétienne". Suite à cet ouvrage, Calvin est appelé à Genève pour assurer la protection des habitants convertis au Calvinisme. Il devient alors le chef spirituel de Genève. La réforme protestante (disciples de Luther) s'inscrit dans le prolongement des idées nominalistes qui se sont développées à la fin du moyen age et met en avant l'interprétation personnelle par chaque

c. L’influence du protestantisme Edit de Nantes, révoqué en 1685, va provoquer une migration d’une grande partie des protestants français, notamment en Angleterre… Max Weber « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » (1905) * Calvinisme : notion de prédestination, quoique on fasse sur terre, les dés sont déjà jetés, la seule chance pour l’homme d’accéder au salut, est de voir à travers sont enrichissement personnel, les signes de son salut. Face à cette nouvelle théorie, Weber