Carlisme

apparaît comme instrument de la consolidation du libéralisme. Ces lois agraires ont dressé la masse du peuple espagnol contre les nouvelles élites sociales, qui ont racheté les terres. Les paysans se détournent des libéraux, rejetés les uns vers le carlisme, les autres vers les républicains, ou vers l’anarchisme. - 1834-1854 : désamortissement des ministres Mendizabal et Espartero - 1855 : désamortissement de Madoz - « Jacqueries » violentes dans campagnes du Sud en 1857 à Séville, en 1861 à Loja

Batxillerat 19 � Étapes de la révolution libérale (1833-1843) : � gouvernements de transition (1833-1836) : • Conseil de gouvernement formé pour appuyer la régente : � présidé par Cea Bermúdez : absolutiste réformiste ; � troisième voie entre carlisme et libéralisme ; � quelques réformes : division en 49 provinces ; • sous la menace carliste et la pression populaire, la régente accepte l’alliance avec les libéraux : � Martínez de la Rosa (modéré) au gouvernement ; � Statut Royal (1834) :

ttes les guinguettes voulaient se donner un patron, afin d’attirer les foules pour la conso°. Agulhon y ajoute encore l’euphorie de la reprise éco pour l’explosion néo-follo de 1835-36. Ce renouveau, ac composante religieuse, a pu être apprécié du carlisme. Ex : Aux Arcs, un pèlerinage eut lieu en 1835 au monastère où on honorait ste Roseline ; l’évêque de fréjus était présent ainsi que le marquis de Villeneuve-Flayosc, arrière-neveu de Ste-Roseline (de Villeneuve) ; d’après la Gazette du Midi, « spectacle

visant à réduire les autonomies basques. Entre autres, la loi du 25 octobre 1839 qui maintient le régime féodal tuais sans porter préjudice à l'unité constitutionnelle de l'Espagne, est promulguée. La disparition des fors Trente ans plus tard, le carlisme est encore très puissant au Pays basque. La deuxième guerre carliste débute en 1872. Les Carlistes appèlent la population à boycotter les élections de1873: l'abstention s'élève à 90 % au Pays basque Sud. Cette seconde guerre est une véritable insurrection

lisait If de Rudyard Kipling (« Un jour tu seras un homme, mon fils… », un poème mis en musique par Bernard Lavilliers…) avant de lancer ses militants au combat. La Falange fusionne en mars 1934 avec les JONS sans pour autant que l’idéologie (un carlisme sans référence monarchiste, plus anticapitaliste) ne prenne le dessus sur l’activisme (goût de l’héroïsme). Le PSOE demeure le principal parti de gauche. Le PCE en rajoute alors sur la ligne “ classe contre classe ” et s’accroche à une caractérisation

pacte entre l’Etat et le citoyen, entre l’Etat et les régions, tandis que l’Eglise, qui continue de jouir d’un grand pouvoir, suscite un violent anticléricalisme. Les oppositions, dès lors, ne peuvent qu’être tentées par la violence, que ce soit le carlisme nostalgique de l’Ancien Régime ou l’anarchisme rêvant de Révolution Sociale. Marginalisés par un système électoral anti-démocratique, les républicains et les socialistes devront attendre 1931 pour arriver au pouvoir. Mais les contradictions traditionnelles

tendaient la main aux penseurs les plus audacieux et rêvaient de rapprocher carlistes et républicains dans une même guerre contre la bourgeoisie régnante et la démocratie individualiste. ‘’Illusions perdues’’ prêche à sa manière l'association du carlisme et du socialisme naissant contre le règne des affairistes et de l’hypocrite bourgeoisie. Dans d’Arthez, Balzac s’incarne tandis que Buchez est un disciple de Saint-Simon dont on retrouve ici ses idées : doctrine de l'unité spirituelle du monde social

tendaient la main aux penseurs les plus audacieux et rêvaient de rapprocher carlistes et républicains dans une même guerre contre la bourgeoisie régnante et la démocratie individualiste. ‘’Illusions perdues’’ prêche à sa manière l'association du carlisme et du socialisme naissant contre le règne des affairistes et de l’hypocrite bourgeoisie. Dans d’Arthez, Balzac s’incarne tandis que Buchez est un disciple de Saint-Simon dont on retrouve ici ses idées : doctrine de l'unité spirituelle du monde social

tendaient la main aux penseurs les plus audacieux et rêvaient de rapprocher carlistes et républicains dans une même guerre contre la bourgeoisie régnante et la démocratie individualiste. ‘’Illusions perdues’’ prêche à sa manière l'association du carlisme et du socialisme naissant contre le règne des affairistes et de l’hypocrite bourgeoisie. Dans d’Arthez, Balzac s’incarne tandis que Buchez est un disciple de Saint-Simon dont on retrouve ici ses idées : doctrine de l'unité spirituelle du monde social

d’autre explication possible pour les coïncidences (parfois littérales) de nombreux articles de la Constitution, de nombreux décrets et même du processus suivi par les Cortès. 137. Rien d’étonnant à ce qu’une historienne qui est spécialiste du carlisme et qui sympathise clairement avec ce courant dise pis que pendre des libéraux gaditans et de leur œuvre. S’abriter derrière les opinions, unanimement sévères, de Fray Rafael Vélez, Balmes, Aparisi y Guijarro, Vázquez de Mella et les auteurs de