Castration

gouvernante anglaise, les soupçons de Freud se portèrent aussitôt sur celle-ci. Deux anecdotes vinrent alors à l’esprit du patient qui semblèrent confirmer l’hypothèse d’une séduction précoce. Le premier souvenir était lié à des menaces verbales de castration préférées par la gouvernante, le second à des jeux sexuels avec sa sœur qui s’amusait avec le membre de Sergueï « en disant à cette occasion des choses incompréhensibles sur la Nania » (p63). Poursuivant son investigation, Freud analyse alors

affects. D’où sujet en proie avec angoisse dite flottante. → 1926 : Deuxième thèse de l’angoisse. Angoisse = signal d’alarme se manifestant qd Moi se trouve en situation de danger. Nature de l’angoisse et travail de défense en lien avec complexe de castration. → Résumé. Névrose phobique => sexualité actuelle. Psychonévroses => sexualité infantile. 3. De la névrose d’angoisse à l’hystérie d’angoisse → Freud, S., (1900). L’interprétation des rêves. Liens entre hystérie et phobie. Il ne faut pas confondre

mère qui lui demande de cesser tout procédé d’auto-satisfaction, son père finira par agir. Ce complexe de castration disparaitra chez le garçon suite à l’identification au père, il se rendra compte en se rapprochant de lui que cette menace est diminué ainsi qu’en renonçant à toute satisfaction sexuelle. Quant à elle, la jeune fille va entrer dans l’Oedipe suite au complexe de castration, elle qui ne parvient pas toujours à des sensations suffisantes, va continuer de jalouser tout autre jeune

hôpitaux-prisons où le détenu pourra se faire soigner durant sa peine de prison. c) les solutions possibles c1. la castration chimique La « Castration chimique » est une appellation très contestée. En effet le mot « castration » fait référence à une ablation ou destruction des organes nécessaires à la reproduction chez l’homme. La castration est une intervention irréversible, or la castration chimique, elle, n’est qu’un traitement. Ses effets se stoppent dès l’arrêt du traitement. Lce traitement permet

En partant du principe que la scène se joue comme un huis-clos, tel l’émergence d’un rêve, on peut penser au rôle prépondérant de l’inconscient dans la vie. Selon la vision Freudienne, cette décapitation peut être interprétée comme une forme de castration. Nous nous attacherons en analysant l’œuvre à démontrer cette hypothèse. On retrouve ici le génie dramatique de Gentileschi dans le réalisme expressif des personnages et le souci du détail qui caractérise ses œuvres. Dans cette scène, on sent toute

provoque l'angois parce que l'enfant pense qu'il peut-être lui-même victime de pareille castration.” Cette angoisse liée au fantasme déstinée à se convertir est dite “angoisse de castration”. _Chez la fille : D'après Freud, le fantasme féminin de castration à l'origine de l'hystérie n'est pas l'angoisse comme chez le garçon, mais la haine et le ressentiment envers sa mère. La femme ne peut avoir d'angoisse de castration au sens propre du terme, puisqu'elle est déjà châtrée. Cependant, il existe bel et

les événements qui surviennent, marquent sa vie psychique. La psychanalyste décrit le développement de l'enfant comme une suite de « castrations » : ombilicale avec la naissance, orale avec le sevrage, anale avec la marche et l'apprentissage de la propreté. Chaque fois, l'enfant doit se séparer d'un monde pour s'ouvrir à un nouveau monde. Chacune de ces castrations est une sorte d'épreuve dont l'enfant sort grandi et humanisé. La responsabilité des parents est de l'aider à les franchir avec succès

oedipienne. -sous la menace de l'angoisse de castration, le moi de l'enfant (garçon) se détourne de l'investissement d'objet incestueux. L'autorité paternelle est introjectée sous forme du surmoi, « lequel emprunte au père sa sécurité et perpétue son interdit ». (Platon) L'angoisse de castration est pour Freud le véritable moteur de cette genèse résumée sous la forme : « Si tu désires, tu seras puni » Mais étrangement, dans Malaise, l'angoisse de castration est absente. Sa conception du surmoi a

avec sa mère . La part d'identification au père le conduira à chercher comme lui (il ne le sais pas encore ) une femme hors du cercle familial. Le garçon sort du complexe d'Oedipe du fait de la menace de castration. Par identification au père mais aussi à la mère , l'enfant se constituera sa propre personnalité . Chez la fille , le complexe d'Oedipe ne disparait jamais tout à fait et ses effets se feront sentir

crainte secondaire éprouvée en retour d’une agression semblable. Un fantasme ici va soutenir ces deux mouvements, de plus il va s’individualiser avec eux en un complexe dit : complexe de castration. Ce fantasme est un fantasme originaire dans lequel tout individu est primitivement pourvu d’un pénis. Le complexe de castration est la peur de la mutilation du membre masculin donc du pénis. Ainsi chez l’enfant, l’appareil psychique se manifeste sous les formes les plus anormales en rapports