Catachrèse

sa matière. Les cuivres. = Synecdoque • Synecdoque : Lorsqu’on désigne le contenu par le contenant : Boire un verre + La partie pour le tout, ou l’inverse : Prendre la voile • La fonction par le lieu • Métaphores, figées par l’usage. Une catachrèse ???? • La périphrase : 1 mot pour une expression c) Figures par opposition • L’antithèse : créer un effet de contraste • Le paradoxe (figure de pensée) « Le pénible fardeau de n’avoir rien à faire » Sans correspondance avec la réalité •

l’élaboration et la formulation des théories scientifiques. Nous avons retenu ici les contributions de Black et Boyd seulement comme argument pour l’utilité de la métaphore au niveau terminologique. Black définit ces métaphores-outils comme des catachrèses. C’est d’ailleurs le type de métaphore présent dans le langage de l’œnologie, où, par exemple, le corps, la charpente, la robe du vin sont des termes non-substituables dont le sens d’origine n’est plus perçu. 2 “Groupe de produits organiques qui

avec le moins de mots possibles, utilisant souvent l’ellipse comme moyen. ( ex : boire sa paye) Calembour → rapprochement de 2 mots homonymes pour tirer parti de l’équivoque créée ( ex : dis-moi qui tu fréquentes et je te dirais qui tu hais) Catachrèse → métaphore par nécessité, qui a un sens propre alors qu’elle tire son origine d’une image. ( ex : les pieds de la table, la tête d’un clou, de la laine de verre…) Chleuasme → dépréciation de soi-même dans le but de provoquer chez l’interlocuteur

un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore Une métaphore consiste à désigner un objet ou une idée par un mot qui convient pour un autre objet ou une autre idée liés aux précédents par une analogie. C’est en fait une comparaison, mais sans les termes de comparaison. pour désigner un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore lexicalisée. Exemple

une soif de changement. Avec « fier de mon génie » il souligne le fait qu’il est talentueux dans ce qu’il entreprend. Il raconte ensuite qu’il « Savourai[t] dans [son] tableau » l’emploi du verbe savourer alors que l’on parle d’une toile est une catachrèse qui met en évidence la beauté de son œuvre et a quel point le peintre prend plaisir à la contempler. Puis vers 37 Baudelaire se dit « Architecte de [ses] féeries » ici il montre une nouvelle fois son insatisfaction et il va mêler le métier de peintre

La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore pour désigner un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore lexicalisée. Exemple : « les pieds d’une table », « les bras d’un fauteuil » ou encore « les ailes d’un avion ». Chiasme (masculin) :

« je ne..jours » = tournures précieuses moquerie de Molière envers excès de galanterie, amour superficiel. « inclination » = catachrèse

poétique du XIX°s et qui renvoie plutôt à la poésie médiévale et aux allégories. La Beauté est allégorisée ici car elle acquiert un statut d’humain. B/ Les attributs de la beauté Voir le 2nd quatrain : reprise des mythes anciens : le Sphinx ; des catachrèses : le cygne comme parangon de la pureté une résolution des antagonismes : elle ne pleure ni ne rit. Elle est au-delà des oppositions structurant la pensée humaine. Résiste au temps : elle est éternelle et muette comme la matière. Ces attributs

inquiétude. Fantastique. Second paragraphe : retour au « je », singulièrement fragile. Occurrence. Répétition de ‘aime’. En appel d’interlocuteur. Autoportrait, identité qui a besoin de parler de lui. Alors qu’il se sent apparemment bien ancré, vertige, catachrèse, métamorphose. Contradictions profondes et délicates. Attachement ambigu, enfermement, glissement de sens. Lien étouffant. Maison-prison. Attaché à la terre comme l’étaient les serfs. Imaginaire familial, ni père, ni mère. « On » morbide. Auto-persuasion

circonstanciel de temps « dans ce moment » (l.21) vient appuyer ce changement entre les deux paragraphes. Après avoir observé la princesse, et ces gestes se ramenant toujours à lui, on comprend que le duc est aussi pris au dépourvu. En effet, la catachrèse « tellement hors de lui-même » (l.26) témoigne de son état. Cet aveu inconscient permet cependant de révéler les sentiments des deux personnages. Le fait d’observer sans être vu permet aux deux personnages de montrer leur passion commune au lecteur