Catulle Mendès

condamne cette révolte et précise qu’aucune indépendance de l’Algérie n’est envisagée. Le 7 novembre, François Mitterrand, alors ministre de l’Intérieur, déclare « l’Algérie c’est la France ». Quelques jours plus tard, le Président du Conseil, Pierre Mendès-France s’exprime à son tour à propos de ces attentats « Entre l’Algérie et la métropole, il n’y a pas de sécession concevable ». Ce sentiment du gouvernement français est le même pour tous les partis politiques, à l’exception du parti communiste qui

rejoint l'école polytechnique. Classé dans «la botte» il entre sans concours à l'ENA en 1949 et devient inspecteur de Finance en 1951. Parcours politique Il entre en politique en 1954 dans un cabinet d'Edgar Faure, ministre de finance de Pierre Mendès France, puis comme directeur adjoint de même Edgar Faure, devenu président du Conseil. A partir de 1956, il devient député du Puy de Dôme et s'inscrit au groupe parlementaire Indépendants et Paysans d'action sociale, IPAS. Il accède ensuite au mandat

La décolonisation est un frein pour la politique intérieure française - classe politique divisée : dans les majorités succesives certains veulent une po d'autres en veulent une autre : 53---55 ! démission de Mendès France pas d'accord, Savary au mois de juillet - décolonisation facteur de division dans l'opinion dans les partis et dans la direction du pays. Rares sont les partis unanimes : PC pour la décolo... INtellectuel Raymond Aron plutôt à droite, pour l'indépendance des colonies. A l'intérieur

l'Assemblée nationale de 1951 à 1955 comme député de la Seine. Il accompagne De Gaulle lors de son voyage en Tunisie. Du 10 juin 1954 au 5 février 1955, il est ministre chargé des affaires marocaines et tunisiennes dans le gouvernement de Pierre Mendès France du 17 juin 1954 au 23 février 1955. Du 19 mars 1962 au 3 juillet 1962, il est nommé haut-commissaire en Algérie française. Du 11 septembre 1962 au 28 novembre 1962 il est ministre délégué auprès du premier ministre chargé de l'Information

Tunisie. En 1954, après divers émeutes, soulèvements et mesures répressives (exil du Sultan du Maroc, emprisonnement de Bourguiba, le leader du Néo Destour), la France envisage l'accès à l'indépendance de ses deux protectorats sur l'initiative de Pierre Mendès France (Texte 2 P. 217). Ces indépendances interviennent en 1956. Le Sultan du Maroc devient roi du Maroc sous le nom de Mohamed V ( grand-père de l’actuel Mohamed VI) et Bourguiba devient Président de la république tunisienne. 2. Au Kenya, l'Angleterre

massivement avec 80% de oui et un taux d’abstention faible, contrairement à l’IVéme République approuvée avec 51% de oui et 30% d’abstention. Tous les partis politiques s’y adhèrent sauf le Parti Communiste et quelques personnalités de gauche comme Pierre Mendès France et François Mitterrand (qui dénonce le pouvoir trop grand détenu par le président, en condamnant la Vème République comme la dictature gaullienne). 2. Un nouveau régime • Les Trois fondamentaux de la Vème République - Un exécutif

décolonisations négociées mais non sans violences : Afrique noire, Maroc, Tunisie. A. Maroc et Tunisie : 1. Montée de l’agitation, terrorisme (surtout au Maroc). 2. Répression, exil de Mohammed V, emprisonnement de Bourguiba… 3. Le gouvernement Mendès-France débloque la situation en renouant le dialogue (discours de Carthage, juillet 1954) ; son successeur signera les accords d’indépendance en 56. B. L’Afrique Noire : 1. Effervescence indépendantiste (fin années 40, début des années 50), sous

de défense des petits commerçants et des artisans. Bourguiba président de néodespour sera emprisonné par Laniel ainsi que Mohammed V et exiler à Madagascar. Mandés France critique la politique colonial de Laniel- Les 230 jours de Pierre Mendés France 18 juin 1954, 6 Février 1955. Mandés France- radical de gauche, il s'investit président du conseil, dés qu'il est nommé il fait un discours et dit « Si dans un mois, je n'ai pas résolu le problème de l'Indochine je démissionne. » et «

rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriop pppppigophgggg Etudier L’Imagerie De La Guerre De 1914-1918: Le Cas Du Périodique Le Rire Rouge Mazzocut Stephan Université Pierre Mendès France 2007/2008 Master 2 « Sciences humaines et sociales » Mention : Histoire et Histoire de l’art Spécialité : Histoire des Relations et Échanges Culturels Internationaux UE 12 Circulation des modèles culturels et artistiques Séminaire de Dominique

Pierre Mendès France, surnommé PMF, né le 11 janvier 1907 à Paris et mort le 18 octobre 1982 dans la même ville, est un homme politique français. Sa vie politique commence lors de son élection comme député de l'Eure, en 1932. Radical-socialiste, il participe à la coalition du Front populaire. Il exerce l'autorité de l'État quelques semaines en 1938, sous l'égide de Léon Blum, puis de 1944 à 1945, dans la mouvance du général de Gaulle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la Résistance