Catulle Mendès

nouvelles. Photographie par Nadar 1855 Portrait charge de Gautier par H. Mailly. En 1857, Gautier s'installe avec sa compagne, Ernesta Grisi (sœur de la danseuse Carlotta Grisi dont il sera l'amant), ses filles, Judith Gautier (qui épousera Catulle Mendès) et Estelle (qui épousera Émile Bergerat), ainsi que ses deux vieilles sœurs, 32 rue de Longchamp à Neuilly-sur-Seine, dans une petite maison où il se plaît à recevoir ses amis : Baudelaire qu'il rencontre régulièrement (il n'ira pourtant pas

connaît le milieu littéraire notamment grâce à sa participation au concours de la poésie de l’Echo de Paris de Catulle Mendès. Il publie son premier recueil en 1895 intitulé Pleureuses. Dès lors, il s’exerce professionnellement dans la presse ; il se dirige vers la prose et publie en 1908 un premier roman dont le titre est l’Enfer. Il a été marié à Héloyonne, fille d’Augusta Holmès et Catulle Mendès. Il réussit à rejoindre les troupes combattantes en décembre 1914 au 231ème régiment d’infanterie avec

chef-d’œuvre de grâce et de pittoresque, c’est autour d’elle que va se faire la concentration de toutes les forces éparses depuis quelques années contre notre mouvement réaliste. C’est un accident tertiaire du romantisme que sentaient bien venir Richepin, Mendès, Bergerat, Banville, d’autres encore, en tentant, depuis un quart de siècle, la grande pièce lyrique et en cherchant le vers comique, sans réaliser le miracle que vient d’accomplir Edmond Rostand”. Pendant ce temps-là, Claudel, né la même année

(1790/1869) Victor Hugo (1802/1885) Alfred De Vigny (1797/1863) Alfred De Musset (1810/1857) Gérard De Nerval (1805/1855) George Sand (1804/1876) -XIXème siècle le parnasse Leconte de Lisle (1818/1894) Théophile Gautier (1811/1872) Catulle Mendès (1841-1909) Léon Dierx (1838/1912) Stéphane Mallarmé (1842/1898) -XIXème siècle le symbolisme Charles Baudelaire (1821/1867) Théodore Hannon (1851/1917) Jules Laforgue (1860/1887) Charles Morice (1861/1919) Paul Verlaine (1844/1896)

Library, Special Collections Department Parmi les œuvres de circonstance écrites par Mallarmé, on trouve des quatrains-adresses que le poète destine à ses amis. Au facteur, il propose l’énigme de l’adresse et convie le destinataire (Manet, Hérédia, Catulle Mendès, Degas...) à en traquer le sens. L’intérêt que Mallarmé porte à ces petits objets littéraires le pousse, en 1892, à envisager leur publication et à concevoir la maquette d’une couverture qui évoque la forme des missives. Les destinataires des

publie son premier conte, La Main écorchée, sous le pseudonyme de Joseph Prunier, dansL'Almanach lorrain de Pont-à-Mousson et Le Bulletin Français publie le 10 mars 1876, sous la signature de Guy de Valmont son conte En canot[7]. En octobre 1876, à Catulle Mendès qui l'approche pour devenir franc-maçon, Maupassant répond : « ... Je veux n'être jamais lié à aucun parti politique, quel qu'il soit, à aucune religion, à aucune secte, à aucune école ; ne jamais entrer dans aucune association professant certaines

journées et ses nuits à lire de la poésie et des romans au point de se couper de la réalité : dans un délire de fièvre provoqué par une typhoïde, elle se projette dans l’univers de ses lectures et en vient à dialoguer avec Octave Feuillet et Catulle-Mendès, ses auteurs de prédilection. 4 e) Les mariages : plusieurs mariages sont relatés dans La Maison de Claudine, et ils sont présentés comme des arrachements à la famille. Colette évoque dans la nouvelle intitulée « Le Sauvage » le 1er mariage

pareils 15 A de grands soleils Couchants sur les grèves. Paul VERLAINE (1844-1896) Poèmes saturniens – 1866 Paysages tristes A Catulle Mendès Harmonie du soir 1 Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;

nuit » au vers 4 ou comme le montre le vouvoiement et l’apostrophe : « Madame » au vers 1. Remarque : On retrouve également une analogie entre les poèmes de la Pléiade et les poèmes de l’Antiquité, en effet, on peut comparer ce poème à que Catulle écrit à sa bien aimé Lesbie, où Hélène est l’analogue de cette pénultième sus-évoquée. III. LE ROMANTISME Le romantisme est un mouvement littéraire et culturel européen dominant la première moitié du XIXème siècle, le romantisme montre la puissance

Glossaire pour servir à l'intelligence des auteurs décadents et symbolistes by Jacques Plowert (pseudonym) gave a tangible existence to the movement. Decadents prefer the artificial to the real and the word (new) to the idea. We can consider Catulle Mendès' novels as perfect examples of the movement. Incest and homosexuality are present and corresponds to the disturbing themes dear to decadence. Anatole Baju has founded the journal Le Décadent (1886-1889) and is, in this respect, one of the major