Cavalerie lourde

cuirassiers de Milhaud, avait, pour ainsi dire, deux ailes de fer. L'aide de camp Bernard leur porta l'ordre de l'empereur. Ney tira son épée et prit la tête. Les escadrons énormes s'ébranlèrent. Alors on vit un spectacle formidable. Toute cette cavalerie, sabres levés, étendards et trompettes au vent, formée en colonne par division, descendit, d'un même mouvement et comme un seul homme, avec la précision d'un bélier de bronze qui ouvre une brèche, la colline de la Belle-Alliance, s'enfonça dans le

période sont littéraires et archéologiques. Littéraires Xénophon : Helléniques Diodore de Sicile : Bibliothèque historique Plutarque : Vies Parallèles Littérature technique : traité de Xénophon sur : De l’art équestre et Le commandement de Cavalerie et un de Enée le tacticien Poliorcétique Archéologique  découverte de fortifications Nous verrons en quoi les innovations de la guerre conduisirent à la suprématie macédonienne au IVe siècle ? Nous verrons dans une première partie les innovations

effet les animaux de zoo étaient réquisitionnés pour porter des charges lourdes ou encore plus fou pour travailler dans les champs. Les animaux de zoo n’ont pas été les seules à être réquisitionnés. La réquisition des chevaux en France n’ont pas suffit c’est ainsi que 570 000 chevaux ont traversé l’Atlantique. C’est alors qu’on se constitue une armée de 8à 9 millions de chevaux. Le premier but des chevaux était pour la cavalerie mais vu que la guerre se transforme en guerre de position ils sont alors

une infanterie et une cavalerie, et une réserve en cas de besoin. L’infanterie avait en équipement différent pour accroitre sa performance. En plus, le nouvel équipement est moins cher, il permet donc de fournir plus de soldats. L'Hypaspistes est la troupe d’élite de l’infanterie et la phalangiste est l’infanterie lourde. La cavalerie qu'en-t-a elle est divisée en trois. Le premier groupe est la cavalerie lourde qui est formée de la noblesse. Le deuxième groupe est la cavalerie légère qui est formée

fantassins montent encore à l'assaut des positions ennemies en lignes serrées malgré les pertes effroyables qu'ils subissent comme à l'époque napoléonienne, on remarque également le rôle de plus en plus important d'autres méthodes de combat. Ainsi, la Cavalerie est utilisée pour des actions éclairs au cœur du dispositif ennemi, préfigurant la guerre moderne. A la lecture des nombreux ouvrages et sites Internet sur le sujet, on est immédiatement frappé par les contradictions entre les différents auteurs

elle-même deux composantes distinctes sous Philippe II : d'une part, un noyau de troupes professionnelles formant la garde royale, comprenant une infanterie (les pezétairoi plus tard appelés hypaspistaì, puis / arguráspides et enfin peltastaì) et une cavalerie (basilikaì ĩlai), recrutées dans l'ensemble de la Macédoine, d'autre part, une importante réserve mobilisée sur une base territoriale, selon les besoins. Les mercenaires étaient engagés personnellement par les rois, par des accords internationaux

par le maréchal Boucicaut est constituée de 3000 chevaliers de haute noblesse et le corps principal (150m derrière) était commandé par les comtes d'Aumale et de Dammartin. Sur les flancs, le maréchal Baucicaut a décidé de placer deux corps de cavalerie lourde soir 2400 cavaliers devant charger et briser les rangs d'archers ennemis pour faciliter l'attaque des gens d'armes. Baucicaut connaissant la stratégie anglaise décide de prévoir une contre attaque par des forces armées à cheval par l'arrière

choses que d'autres n'auraient pas eu les moyens de se payer, en question arithmétique, de géométrie, d'astrologie, de philosophie, ainsi que d'autres matières assez compliquées à prononcer. On lui apprit aussi l'art de l'escrime avec un sabre plutôt lourd, son père voyait en lui un cavalier à la solde de la République. Sa famille était pour la République, elle essaya de participer activement à la Révolution. Il grandit durant cette Révolution, voulant partir à Paris avec des volontaires pour vaincre

grâce à la protection du roi des Francs et au soutien du comte Roland, ami d’Hagmar. Roland et ses preux vont l’aider à guérir sa folie, à maîtriser sa haine et à réaliser son ambition : devenir un jour un Guerrier de fer, membre d’une scara, la cavalerie lourde, l’élite réputée invincible, de l’armée de Charlemagne. Pour y parvenir, le jeune guerrier devra triompher de bien des épreuves : en Espagne (il sera l’un des témoins du désastre de Roncevaux), en Bretagne, en Neustrie et en Saxe. Devenu comte

Martini-Henry. Les Britanniques étaient appuyés par les Natal Native Contingents, formés de volontaires africains recrutés dans les clans hostiles aux Zoulous; ils étaient motivés mais mal équipés et mal entraînés, ils constituaient une piètre troupe. La cavalerie britannique était quasi inexistante au début du conflit, puis ils l’utiliseront pour provoquer des attaques, car les guerriers zoulous sont féroces et difficile à maitriser. L'artillerie était, par contre, bien équipée de pièces de campagne, de