Champ Lexical

respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler. Identification des axes du commentaire, appuyée sur le repérages des différents champs lexicaux dominants Procédés d’écriture Effets de sens produits I Une passion violente et dévastatrice a) Troubles physiques Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue Mes yeux ne voyaient plus Je ne pouvais parler Je sentis tout

1866 I. Un éloge paradoxal A) Une mésentente entre la réalité et la description Analyse de la ponctuation marquant l'insistance abusée avec laquelle Verlaine manifeste son enthousiasme : « Tout cela me paraît charmant, en vérité ». Analyse du champ lexical de l'enthousiasme : « bien chaud, douillement », « gai ». Descriptions surprenantes et parfois choquantes des personnages en présence : nous avons le fossoyeur, il « chante et sa pioche brille ». D'autres personnages sont mis en scène comme

sommaire, à une scène. Microstructure Champ lexical de l'aisance matérielle ; Page 231: « château » Page 233: « souper », « beau grand feu claire », « châtaigne », « maisonnée », « terres », « domaine », « vignes » Grandgousier est un roi, il a une certaine aisance matérielle et possède du domaine, des vignes et des terres sur lesquels et des quels les sujets de son royaume vivent et le font vivre. C'est pour cette raison qu'il doit les protéger. Champ lexical de la guerre Page 231 ; « assaut », «

b) Le rejet de son statut de femme - champ lexical du malheur « douleur » ligne 13 « indignais » ligne 18 et « contre ma volonté » ligne 19. Ce champ lexical montre un rejet de sa vie de femme, elle a vécu son enfance dans le silence, et la douleur et en subit les conséquences a vie. Elle rejette entièrement le statut de femme qui n’était à l’époque pas valorisant. - champ lexical de l’apparence « ma figure » « physionomie » « regard ». Ce champ lexical montre à quel point la Marquise est dure

voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé », l.11-12). En effet, il fait une description de la massacre et la violence mortelle en utilisant le champ lexical des parts et organes du corps : « mamelles » (l.13), « bras », «  jambes » et « cervelles » (l.16) ; et le champ lexical de la violence : « brûlées » (l.12), « criblés de coups », « égorgées »(l.13), « sanglantes » et « éventrées »(l.14), dans un style d’oxymore « boucherie héroïque » (l.7-8) qui décrit

l'attention par la répétition du pronom personnel "je", qui est cité 38 fois, ainsi que des pronoms posséssifs tels que mon, ma et mes. Ces procédés la mettent en avant et montrent que Mme de Merteuil parle d'elle-même. De plus, elle utilise le champ lexical des sentiments avec "joie, plaisir, douleur, étonné, sûre", ainsi elle exprime ses propres sentiments à travers la lettre. En plus de centrer cette lettre sur elle-même, elle raconte son passé par le biais dun récit rétrospectif. Pour cela, tout

effet, il utilise une métaphore filée pour le décrire. Néanmoins, le point de vue du narrateur sur cette fournaise n’est pas évidant. Cette calcination s’apparente à une chimère qui possède des caractéristiques provenant de divers animaux, avec le champ lexical de la faune, tels que les insectes par le mot « dard » l.8, les mammifères grâce aux termes « langue » l.8, et « tête » l.3. Ainsi le feu est animalisé, il apparait alors sous une forme plus monstrueuse. Ce brasier se déplace également comme un

rapport deux choses (deux personnes, une chose et une personne, deux idées...) et insister sur leurs ressemblances ou leurs différences, leur égalité ou leur inégalité (infériorité ou supériorité).  Cette mise en relation se fait grâce à des moyens lexicaux ou grammaticaux : -mots comme: ressembler à, semblable à, pareil à, tel… -propositions juxtaposées: Plus j’y pense, et plus cela m’effraie. -le comparatif et le superlatif: plus effrayant que, le plus effrayant. -le complément circonstanciel de comparaison:

Dans ce poème, Hugo lutte pour un mieux vivre. -C’est un poème où il y’a de l’espoir : champ lexical de la lumière (scintille, brille, aube, soleil …) qui s’oppose à celui des ténèbres (abîme, morne, nuit) -Il est lyrique écrit en octosyllabe donc rapide et non solennelle. -Le futur est lié à la vision (v1) Série de métaphore liée à la nature qui montre la fin d’un calvaire en opposition avec les mots désert etc qui montre à quelle point la situation était catastrophique. V5 : métaphore du renouveau

l’incapacité de pouvoir venir en aide à son ami : « Rieux jugea impossible de les ouvrir » (l.3), « il ne pouvait rien contre ce naufrage » (l.9), « les larmes de l’impuissance » (l.10), « sans armes et sans recours » (l.10). De plus, la présence du champ lexical du naufrage contribue à mettre en relief l’impuissance du héros face à la situation. Tout d’abord, Tarrou est comparable à un marin face à une tempête. La corde du voilier rompu, il fait naufrage, incapable de surmonter la nature : « Tarrou dérivait