Chant D Automne

: - « Rêves d’automne » d’Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques)…………………………………….…4 - « Voici que la saison décline » de Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe)…………………………………………..…..5 - « Chant d’automne » de Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal)………………………………………...…..6 - « L’Ennemi » de Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal)…………………………………………….7 - « Sonnet d’automne » de Charles BAUDELAIRE

Ici, on peut donc trouver cinq poèmes issus du recueil Alcools d'Apollinaire. On a donc : Les Colchiques, Signes, Automne malade, L’adieu et Nuit Rhénane. Ces poèmes traitent de l'automne à travers beaucoup de métaphores, où l'auteur cherche à nous faire devenir les phrases ou mots qui pourraient laisser paraître cette saison-là. Certains sont plus explicites que d'autres tels que Automne malade, où dès le titre on entre dans le vif du sujet. Parmi les autres poèmes d'auteurs différents, on peut trouver

Chant d'automne, Baudelaire Dans les FDM, Baudelaire chante le regret d'un Idéal qui n'est plus et qu'il tente de retrouver par ses vers. La structure qu'il donne à son recueil nous conduit vers une chute, partant de l'Idéal (section 1) vers la Mort (section 6) : le poète semble échouer face à l'inexorable. Pourtant, Baudelaire paraît extraire de cette chute dans le Spleen, son art poétique, tel qu'il le décrit dans Fusées : « J'ai trouvé ma définition du Beau — de mon Beau. C'est quelque chose d'ardent

Verlaine, Vendanges Texte : Les choses qui chantent dans la tête Alors que la mémoire est absente, Ecoutez, c'est notre sang qui chante... O musique lointaine et discrète ! Ecoutez ! C’est notre sang qui pleure Alors que notre âme s'est enfuie, D'une voix jusqu'alors inouïe Et qui va se taire tout à l'heure. Frère du sang de la vigne rose, Frère du vin de la veine noire, O vin, ô sang, c'est l'apothéose ! Chantez, pleurez ! Chassez la mémoire Et chassez l'âme, et jusqu'aux ténèbres Magnétisez nos

Question préalable : entraînement. Corpus : 1. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Chant d’automne », 1857 2. Guillaume Apollinaire, Alcools, « Automne malade », 1913 3. Léopold Sédar Senghor, Lettres d’hivernage, « Il a plu », 1972 Question : Ces trois poèmes se réduisent-ils à la description objective d’un paysage ou d’une saison ? Chant d'automne I Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres

différente. On serait gêné au niveau de la lecture, mais uniquement d'un point de vue sémantique. Car la syntaxe permettrait la permutation. (1ère strophe jusqu'à fleur-là, 2ème strophe jusqu'à harmonica, 1er tercet jusqu'à dément, 2ème tercet jusqu'à automne) Pour en revenir à la longueur des vers, dès le mot violâtres, les vers commencent à devenir hétérométriques. On est confrontés à une réelle difficulté pour compter ces syllabes, car on est dans l'incertitude quant au fait de faire ou non l'apocope

Sommaire Ballade des Dames du temps jadis de François Villon L'an se rajeunissait en sa verte jouvence de Ronsard Le lac de Lamartine Soleils couchants de Victor Hugo Automne malade de Guillaume Apollinaire Le pont mirabeau de Guillaume Apollinaire Je chante pour passer le temps de Louis Aragon Le temps qui passe de Béatrice Djerroud La fuite du temps de Zhu Zinqing Francois Villon, « Ballade des Dames du temps jadis », Le Grand

Apollinaire réutilise-t-il un mythe ancien à travers une forme poétique nouvelle ? Lecture du poème Les colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violatres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent

convulsionsSur l'immense gouffreMe bercent. D'autre fois, calme plat, grand miroirDe mon désespoir !Charles Baudelaire Les Fleurs du mal (1857) « Spleen et idéal »L'Enterrement Je ne sais rien de gai comme un enterrement !Le fossoyeur qui chante et sa pioche qui brille,La cloche, au loin, dans l'air, lançant son svelte trille,Le prêtre en blanc surplis, qui prie allégrement,L'enfant de chœur avec sa voix fraîche de fille,Et quand, au fond du trou, bien chaud, douillettement,S'installe le

préparation et évaluation 28/08/2013 601-P24-GR : Français adapté au programme, communication orale et écrite Annie Rousseau, département d’Arts et Lettres, Cégep de Granby – Haute-Yamaska Français adapté : Communication orale et écrite 601-P24-GR Automne 2013 Sélection de textes en vue de la lecture publique et de l’analyse d’un poème (10%) Date de l’évaluation : 5 séance : e Gr.15 - Lundi 30 septembre ‘13 Gr.29 - Mardi 24 septembre’13 Gr.22 - Vendredi 27 septembre ‘13 L’exposé oral