Charles Rogier

La colonne du congrès fut édifiée entre 1850 et 1859 à l’initiative de Charles Rogier mais d’après les plans de l’architecte Joseph Poelaert. Elle a un rôle commémoratif, en effet elle est la Colonne du Congrès et de la Constitution car elle commémore le Congrès national de 1830 qui rédigea la Constitution belge. Elle est inspirée de la Colonne Trajane et mesure au total 47m. Elle est surmontée d’une statue de 4 mètres 70 de haut, représentant le premier roi des Belges, Léopold Ier, œuvre du sculpteur Jean

Rogier van der Weyden est né à Tournai, dans le comté de Flandre, vers 1399. La Flandre fait alors partie des Pays-Bas bourguignons. Il se marie vers 1426 et entre dans l'atelier de Robert Campin, à Tournai, l'année suivante. Il a alors un âge plus avancé que la plupart des apprentis (il approche en effet de la trentaine). Il obtient sa maîtrise dans la Guilde de Tournai en 1432. En 1435, "Maître Roger" devient le peintre officiel de la cité de Bruxelles, où il s'est installé. C'est à ce moment

Gand ( ce qui pourrait indiqué une relation maître / éléve ). Il pourrait avoir suivi son apprentissage chez Juste de Gand qui intervient comme garant lors de son inscription à la gilde. 1468 : il travaille aux préparatifs des fétes du mariage de Charles le Témeraire ( duc de Bourgogne ) et de Marguerite d’York à Bruges . 1469-1471 /72 : « joyeuses entrées » du duc de Gand . 1473 : décore la chapelle Saint Pharahilde pour le service à la mémoire de Philippe le Bon 1473/1476 : doyen de la gilde

préparatoire. Les effets apparaissent avec la superposition des couches. Nouvelle technique : nouveau style Composition : Observation, compréhension de la disposition en fonction de la surface. Eclairage, couleur, courbe, point de fuite… Jan Van Eyck, Rogier Van Der Weyden, Dürer, Hans Memling, Représentation des primitifs flamands : peinture religieuse (qui sert à éduquer les fidèles qui ne savent pas lire et donner un support à leurs prières) et arrivée des sujets profanes. Différents types de « genres »

mur de berlin 1989 La Danse Portrait de Paula Time Clock of the Heart La cite radieuse Le musee Guggenheim Georges rousse la station sanitaire Les temps modernes Né dans un quartier pauvre de Londres en 1889, Charles Spencer Chaplin connaît une enfance difficile et agitée. A l’âge de 10 ans, il débute une carrière professionnelle. Il devient une vedette de music-hall et il fait ses débuts dans le cinéma en 1913. Il éprouve quelques difficultés à s’adapter aux

des merveilles du monde, devant Jean sans Peur, Paris, B. N.). Le développement est relativement considérable en peinture. Jan Van Eyck a eu recours, au moins deux fois (les Époux Arnolfini, Madone du chancelier Van der Paele), au cryptoportrait ; Rogier Van der Weyden s'est très probablement figuré en saint Luc, inaugurant une pratique que reprendront Dirk Bouts, Gossaert, Lancelot Blondel ; Memling s'est peut-être figuré in assistenza (Triptyque Donne, Londres, N. G.). Un curieux médaillon (Louvre)

l’huile et perspective) Ce sont les historiens de l’art du XIXe siècle qui ont désigné ainsi les peintres de cette période, parmi les plus fameux : Jan van Eyck, le Maître de Flémalle (Robert Campin ?), Hans Memling, Gerard David, Petrus Christus, Rogier van der Weyden, Dierick Bouts et Hugo van der Goes. Ils sont à l’origine - Jan van Eyck et le Maître de Flémalle en particulier - d’une nouvelle sensibilité et de grandes innovations techniques dans l’art pictural telle l’huile utilisée comme liant

changeaient constamment au XVème siècle, a été conçue à l’époque des Burgondes. Depuis lors, la Bourgogne a appartenu à différentes personnes comme les ducs de Bourgogne que nous connaissons bien (Philippe le Hardi, Jean sans Peur, Philippe le Bon et Charles le Téméraire). La région de la Bourgogne est également une terre de passage. A l’époque, la peinture, les lettres, l’agriculture, les habits,… occupaient une place importante. De célèbres personnages comme Buffon, van Eyck, Bossuet et d’autres encore

inauguré le 19 novembre 1819 afin d’abriter les œuvres d’arts appartenant aux collections royales de la couronne d’Espagne. L’origine du projet remonte à l’extrême fin du XVIIIe sous le règne de Charles III, qui régna de 1759 à 1788. Pour redorer l’image de Madrid par rapport aux autres capitales européennes, Charles III décide de la doter d’un grand espace urbain destiné à la science. De Cibeles à Atocha, il fait construire cette zone encore vierge des fontaines et confie en 1785 à son architecte Juan

tableau représentant le jugement dernier, et c’est à ce moment qu’il part en Italie, voyageant entre Florence et Rome. On peut dire qu’il a apporté aux Italiens la technique de la peinture à l’huile. Nous n'avons pas de date précise sur le retour de Rogier Van der Weyden, mais on sait qu’il était à Bruxelles de 1460 jusqu’à sa mort, le 18 juin 1462. Son deuxième fils, Pierre Van der Weyden, a hérité de sa maison et de son atelier. 1435 - 1440 "La Déposition de Croix" Huile sur panneau de chêne