Charybde et Scylla

à elle secrètement qu’Ulysse l’épousera. B) des monstres qui présentent un obstacle à la quête du héros. Au cour de son périple, Ulysse doit faire face à des femmes monstrueuses. Charybde et Scylla, est une ancienne nymphe transformé en monstre a 6 têtes. Charybde engloutis les corps de ses victimes, Scylla les déchiquettes. Lors de la rencontre avec ce monstre, Ulysse perd 6 hommes. Elle constitue donc un obstacle pour le héros. De même, les sirènes, démons marins mi-femmes, mi-oiseaux, sont

le VIII° av-JC-Carnets de bords et récits des Phéniciens alimentent la description du monde connu des Grecs à l'époque: « Ithaque (...)la dernière dans la mer. »chant IX,Ismaros, le cap Malée, légendes fondées sur des dangers maritimes réels (Charybde et Scylla) ...mais aussi les visions imaginaires de la partie occidentale encore pratiquement inexplorée(Calypso « aux confins du monde »).L'Odyssée rend compte de l'importance de la mer pour les Grecs, peuple de marin comme en témoigne l'habileté d'Ulysse

qui lui valent une réputation et en font un symbole. Ses exploits sont nombreux qu’il s’agisse des vingt jours de navigation entre Ogygie et la Phéacie, du passage entre Charybde et Scylla, qu’il affronte par deux fois, la deuxième fois en bondissant d’un seul élan jusqu’à un grand figuier qui surmonte Charybde, attendant que Charybde revomisse les quelques poutre de son navire démembré, et ramant ainsi pendant dix jours sans manger sans boire, ultime épreuve avant d’arriver dans l’île de Calypso (chant

les assomma. La cervelle en giclant mouilla le sol. Découpés membre à membre, il en fit son souper » vers.289-291, « [il] attrapa deux autres de mes gens pour son repas. » (vers 311, 344), « sans attendre il en broya un pour son repas », et de Charybde et Scylla par exemple. * Ulysse découvre le cycle de la vie. Il devient homme en refusant l’immortalité, en retrouvant sa mère qui est morte. « Mon fils, comment es-tu venu sous le noir brouillard, vivant que tu es ? Il est difficile aux vivants

qui caractérisent les femmes du récit. Les dieux et les monstres de L’Odyssée sont qualifiés par des épithètes hyperboliques. On parle en effet d’un « Zeus tout-puissant », d’un « redoutable Perséphone », de « Charybde terrible », d’un « très puissant Poséidon », de « Charybde et Scylla les effrayantes » ou d’un « puissant Hadès ». Ces épithètes donnent un caractère grandiose et surnaturel à ces créatures divines, qui sont alors grandies par la simple apposition d’adjectifs qualificatifs soulignant

montre un autre aspect de l'anthropophagie : il s'agit alors d'un moyen de ne pas reconnaître la valeur de l'autre (quand Ulysse lui dit de l'accueillir comme il se doit Polyphème mange certains de ses compagnons. Charybde et Scylla : Ce sont deux monstres marins gigantesque. Scylla quant à elle, elle est représenté métaphoriquement comme anthropophage. Aliénation : Les Lotophages : En dépit de leur aspect inoffensif, ce sont des personnages dangereux car quand on mange de leur nourriture

néanmoins un vrai homme, autonome, avec un caractère et des qualités. Parmi ses qualités il peut compter sur ses qualité, le courage et la ruse → Se pose la question du libre arbitre. Nous pouvons citer le cyclope, le chant des sirènes, les géants, Charybde et Scylla, Circé … Toutes ces épreuves relèvent du magique et du fantastique. Elles sont tantôt des épreuves de forces, tantôt de la séduction. Épreuves dont Ulysse sort toujours vainqueurs. A la fin de son périple il rentre à Ithaque après 20 ans de

stupidité en ne prenant pas le temps de réfléchir. Ulysse voit dans ce cas un avertissement quant à la précipitation qui peut être fatale. La prudence lui est une fois de plus conseillée symboliquement. Il en va de même pour les 6 compagnons tués par Scylla, morts là encore à cause d’Ulysse et de sa curiosité. Il semble que la leçon tirée du Cyclope Polyphème n’ait pas été suffisante, car son orgueil a joué en sa défaveur. Ulysse doit comprendre qu’il lui faut devenir plus humble. La symbolique de

rédigée ou composée à l'aide de l'écriture au cours du VIIIe ou du VIIe siècle avant Jésus-Christ. Homère y unit les aventures extraordinaires d'Ulysse errant aux confins du Monde, chez les Cyclopes, aux rivages des Morts, près des Sirènes, de Charybde et Scylla, et le retour périlleux du roi dans son pays et son foyer tant aimés, à Ithaque, aux côtés de Pénélope. Dans le monde antique, lorsque l'individu est un étranger l'hospitalité est un devoir fondamental et sacré. En Grèce, l'étranger qui demande

qu'elles occupent dans cet exil, Ulysse reste sept ans chez Calypso, plus d'un an chez Circé, plus de vingt jours chez Nausicaa et les siens, et le reste du temps se joue sur la mer, lieu de rencontres avec d'autres créatures féminines (Ino, Charybde et Scylla, les sirènes...). Ainsi, à n'en pas douter, les figures féminines occupent l'espace maritime et terrestre, elles sont sur tous les lieux que Ulysse traverse, mais elles occupent aussi l'espace du récit. Elles sont omniprésentes et, ce faisant