Chemin creux

on voit que l'homme distingue la fosse a. effet de rétrécissement On note en effet une substitution de la grande route à un petit chemin (celui de la fosse) et de la focalisation externe à la focalisation interne. Ce passage d'un grand espace à un espace plus petit, donne une impression d'enfermement, de perte de liberté. Le chemin allant vers la fosse étant creux, cela donne aussi une impression de descente aux enfers. Au fur et à mesure qu'il découvre la fosse, on dirait qu'il s'enferme dans

ensemble, assourdis. Nos mains aveugles cherchent le fusil et arrachent la toile de tente qui bouche l'entrée. - Ils sont dans le chemin creux ! 5 Le cimetière hurle de grenades, flambe, crépite. C'est comme une folie de flammes et de fracas qui brusquement éclate dans la nuit. Tout tire. On ne sait rien, on n'a pas d'ordres : ils attaquent, ils sont dans le chemin, c'est tout... Un homme passe en courant devant notre trou et s'abat, comme s'il avait buté. D'autres ombres passent, courent, avancent

condition ouvrière, une condition où les gens sont assez pauvres et miséreux donc en quête de travail. L'auteur nous également avec beaucoup de détails l'environnement qui entoure le personnage. La métaphore « un chemin creux s'enfonçait » nous donne l'impression qu'il suit un chemin qui devient de plus en plus sombre. A ces côtés se trouvait « à droite une pallissade », « quelques murs de grosses planches », « un talus d'herbe s'élevait à gauche » ainsi que des  « toitures basses et uniformes »

l'impression que le cadre est réaliste, le narrateur utilise des noms propres comme 'Régence, Boucher,Normandie" qui font partie et connus des lecteurs de la littérature française. Le narrateur utilise des expansions du noms comme "trumeaux de glace, chemin creux" qui permettent d'être précis sur le cadre. Et enfin, il utilise une comparaison: "comme le lit d'un torrent" ce qui permet au lecteur de mieux imaginer le cadre. 

puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains. Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparut. L'homme avait à droite une palissade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée; tandis qu'un talus d'herbe s'élevait à gauche, surmonté de pignons confus, d'une vision de village aux toitures basses et uniformes. Il fit environ deux cents pas. Brusquement, à un coude du chemin, les feux reparurent près de lui, sans qu'il comprît davantage comment ils brûlaient

L’auteur donne, afin d’aider le lecteur à s’intégrer à l’histoire, une description là aussi très détaillée du lieu ou se passe l’action « à travers les champs de betteraves » « un chemin creux s’enfonçait ». Tout au long du parcours du personnage, on peut suivre et imaginer le trajet de l’individu comme si on faisait le chemin avec lui « un homme suivait la grande route de Marchiennes à Montsou ». Emile Zola ne se contente pas de décrire les lieux, il nous informe même sur les distances « environ deux

suspendus."[L-7] une sorte de signe d'encouragement car il peux enfin ce délivrer un peu de souffrance "Il ne pu resister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains" [L-8] Il y a un "Effet de disparition" a la ligne 9 avec la phrase "Un chemin creux s'enfonçait. Tout disparu" On apercoit de nouveau qu'il y a de la description d'un contexte avec des détails bien précis " L'homme avait à sa droite une pallisade, quelque mur de grosses planches fermant une voie ferrée; tandis qu'un talus d'herbe

Dans cet extrait l’homme est décrit comme un petit être faible et vulnérable : « grelottant sous le coton aminci de sa veste », « des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient saigner » La troisième partie du récit, qui va de « un chemin creux » … Jusqu'à …  « alors l’homme reconnut la fosse », décrit la découverte d’un bâtiment mystérieux qui semble être une usine : « la silhouette d’une cheminée d’usine ». 2) Le paysage de la troisième partie semble être un lieu industriel

reprit le rôdeur, est-il vivant ce mort ? Voyons donc. Il se pencha de nouveau, fouilla le tas, écarta ce qui faisait obstacle, saisit la main, empoigna le bras, dégagea la tête, tira le corps, et quelques instants après il traînait dans l'ombre du chemin creux un homme inanimé, au moins évanoui. C'était un cuirassier, un officier, un officier même d'un certain rang ; une grosse épaulette d'or sortait de dessous la cuirasse ; cet officier n'avait plus de casque. Un furieux coup de sabre balafrait son

Julie GREZE INVENTAIRE DU PATRIMOINE Licence 3 IUP Valorisation du Patrimoine rural VERNACULAIRE A RESTAURER ET DES CHEMINS CREUX La valorisation du patrimoine par les circuits de randonnée à thèmes comme vecteur de développement local Communauté de Communes Ussel-Meymac-Haute-Corrèze Maître de stage : Isabelle Raynard Tuteur de stage : Frédéric Serre Année universitaire 2007/2008 1 Ce premier stage s’est déroulé dans les meilleures conditions possibles, dans une ambiance de travail chaleureuse