Chleuh

La communauté des Chegrouche est nombreuse. Elle compte uniquement en Algérie plus de 30 000 habitants. Plus de 10 000 individus sont recensés dans d'autres pays.Les Chleuhs ('Acelḥi', pluriel 'Icelḥiyen') sont un peuple berbère habitant le Haut Atlas, l'Anti-Atlas et la vallée du Souss, au sud-ouest du Maroc. Ils parlent le chleuh (tachelhit), l'un des trois principaux dialectes berbères marocains.Selon un ouvrage d'Auguste Mouliéras, leur nom, d'origine arabe, viendrait du berbère acluḥ (pluriel

ainsi que la façon d’exercer leur métier. La création d’épicerie au Maroc a connue un grand bouleversement entre les années 30 et 70 du Siècle dernier. Se fut les 40 glorieuses de l’activité du commerce d’épicerie qui est fortement assujettie aux chleuhs du Sousse. En effet, l’Anti-Atlas a connue un grande vague d’immigration en provenance du Sousse après que le colonisateur français a pu s’emparait de ce territoire avec la dernière bataille d’« Ait Baha et des Ait Abdellah» jusqu’en 1936. En réalité

immédiatement les berbérophones de ce patrimoine culturel et ferait du berbère une nouvelle "langue de bois", sans ancrage social réel et sans dynamique culturelle. 3. La base de travail doit donc toujours rester la forme régionale effective (kabyle, chleuh, touareg, rifain...) et l'on s'efforcera à partir de là d'enclencher un processus de normalisation convergente. "Rapprocher" les dialectes autant que faire se peut, cela est relativement aisé dans certains secteurs : a- La graphie usuelle doit être

©AliAmaniss,1980-2009.Alrightsreserved. ©AliAmaniss,1980-2009.Alrightsreserved. ©AliAmaniss,1980-2009.Alrightsreserved. ©AliAmaniss,1980-2009.Alrightsreserved. Introduction [Typo.] typonymie. [eupho.] euphorisme. [péj.] péjoratif. [impré.] imprécation. [onomat.] onomatopée. — Par ext. par extension. [Avec parti. x] avec la particule x. [emp. x] il y a emprunt entre Tamazight et la langue x. [orig. x.] l’origine du mot défini est x. [Morph. m.c. x.] le mot défini est composé de x. [var

1 LA COMPENSATION MATRIMONIALE DANS LE MARIAGE TRADITIONNEL CHLEUH ∗ Souad Azizi Dans ce texte est étudiée une pratique coutumière matrimoniale, l’am∂rwas, telle qu’elle se pratiquait couramment en pays chleuh (Sous) avant la déperdition des droits coutumiers des tribus au profit d’une plus grande pénétration du droit musulman. Les tribus du Sous, notamment celles vivant à l’abri des montagnes, ont réussi à perpétuer leur droit coutumier jusqu’à l’aube du Protectorat. En matière de droit familial

La poésie chleuh 9 9 19 19 20 22 CHAPITRE 2 : POÉSIE TRADITIONNELLE ET POÉSIE CONTEMPORAINE LA POÉSIE TRADITIONNELLE 1. Les conditions de la performance 2. La langue poétique 3. La fonction du poète LA POÉSIE CONTEMPORAINE 1. Les conditions de la performance 2. La langue poétique 3. La fonction du poète 27 28 32 39 42 42 43 44 CHAPITRE 3 : TRADITION ET MODERNITÉ DANS LA POÉSIE CHLEUH ET KABYLE PRÉLIMINAIRES 1. Qu’est-ce qu’un thème ? 2. Tradition et modernité LA TRADITION CHLEUH 1. Introduction

proposition subordonnée), le préverbe prend des formes diverses selon les dialectes (za en touareg, ara en kabyle...), provenant de paradigmes tout-à-fait hétérogènes : l’allomorphe za (zé, hé) du touareg est probalement un adverbe temporel (Cf. chleuh za = « alors, donc », Aspinion 1953 : 315), ara kabyle est un pronominal/relatif (Chaker 1983 :120-121)... Cette hétéroclisie syntaxiquement conditionnée est évidemment une forte présomption en faveur du caractère secondaire de ce préverbe ad/a qui

drus, « peu » ( < verbe idras/idrus « être peu nombreux ») ass-a, « aujourd'hui» ( < nom + déïctique = « jour-ci »). Les adverbes portent donc souvent les marques apparentes du nom : aras, « beaucoup» (kabyle) imik, « un peu» (chleuh). Mais le processus de la dénomina1isation est toujours nettement enclenché: les adverbes ne peuvent pratiquement jamais être prédicats de phrase nomina­le canonique (avec morphème de prédication d ou verbe copule eg, selon les dialectes) . On peut

de l'ouest mais l'échec des offensives frisé en juin et juillet 1918, le renfort des alliés américains et british retire à l'allemagne tout espoir de victoire. Depuis août, les forces chleuh reculent en bon ordre, mais avec de lourdes pertes, sur l'ensemble du figure franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la querelle est perdue. Mais ni Rabot II, ni les chefs polémologique ne veulent assurer la responsabilité de la défaite. à partir de septembre, une procession

le renfort des lier américains et anglais retire à l'allemagne tout optimisme de victoire. Depuis août, les vigueur allemandes refluer en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du façade franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la querelle est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs militaires ne veulent prendre en charge la responsabilité de la défaite. à partir de septembre, une procession d'offensives de l'entente sur les cartel d'orient