Chœur

Les interventions du chœur (Stasima. Au singulier: stasimon) alternaient avec les épisodes joués par les Acteurs. La pièce commençait par le Prologue, qui en était la présentation (chez Euripide, il s'agissait du monologue d'un seul acteur). S'ensuivait la Parodos (entrée du chœur), qui empruntait son nom aux couloirs d'entrée. Pendant les Épisodes, le chœur était présent, immobile et muet en principe, et écoutait. L'Exodos (la conclusion) concernait à la fois le chœur et les acteurs. C'était

physiquement évoque leurs pensées, leurs dernières paroles envers leurs proches, leur adieu à la vie. 2) Particularités musicales : Un chanteur soliste : Léo Férré et un chœur mixte : Il s’agit donc de musique a cappella excepté le tambour à la fin L’accompagnement commence, il est simple et discret. Le chœur ne chante pas sur des mots mais sur un phonème (son du langage) ou bouche fermée La chanson est donc chantée par Léo Ferré avec une interprétation poignante et pleine d’émotions

1713. Le Gloria est une louange faisant partie des cinq principaux chants 1 de l’ordinaire de la messe. Son texte latin « Gloria in excelsis Deo » signifie « Gloire à Dieu au plus haut des cieux ». Cette œuvre est écrite pour 2 sopranos, 1 contralto, chœur mixte à voix, orchestre à cordes, continuo, trompette et hautbois. La formation instrumentale est celle d’un orchestre de chambre 2. Dans cet extrait reprenant le premier verset, vous n’entendez aucun chanteur soliste. Codage spécifique à l’époque

par son accompagnement. |- Ecoute de « Go down moses », quelles remarques peut-on faire ? | |- Acquérir un vocabulaire musical : reprise, tempo, jazz, choeurs, mélodie, | | |grave ou aigu. |- Description

: Agathon lui prête de ses vêtements féminins, pour rendre service à son confrère (v. 210-279). Au sanctuaire des deux déesses. Mnésiloque arrive, déguisé en femme (v. 280-94) La présidente, après une prière solennelle soutenue par la chant du Chœur (v. 295-370), met à l’ordre du jour le cas d’Euripide. Deux oratrices se succèdent pour dresser le réquisitoire, avec l’approbation de l’assemblée (v. 371-465). Mnésiloque prend la parole : tout le mal qu’Euripide a dit des femmes est très en-dessous

des œuvres musicales, souvent spécialement écrites à l'intention de ce type de groupement musical. Le choeur est lui-même découpé en plusieurs sous-groupes, que l'on nomme pupitres ou voix : soprano et alto (voix féminines), et ténor et basse (voix masculines). Parfois, le chœur chante en canon, c'est-à-dire avec un décalage suivant les pupitres de la chorale. Depuis l'avènement au cinéma des choeurs grâce au film « Les Choristes », les chorales sont devenues des entités médiatisées, faisant parfois

siècle, né à Paris le 25 octobre 1838 et mort à Bougival le 3 juin 1875. il est le compositeur de l'un des opéras français les plus connus au monde qui est Carmen qu'il a écrit en 1875. II. Etude de l’œuvre Un opéra est un genre pour orchestre, choeur et pour des solistes sur un sujet mythologique, historique ou autre. Il est représenté avec des costumes et des décors. Il débute par une ouverture pour orchestre qui installe le climat et joue les principaux thèmes. Il comporte de 1 à 5 actes. Carmen

l'entrain aux esclaves. Ce rythme est tant présent dans l'accompagnement (temps strié = pulsé) en étant frappé au sol avec des morceaux de bois, que dans les voix : un chant responsorial, c'est à dire un soliste qui intervient d'abord puis reprit par un choeur d'hommes. Il y a des couplets et des refrains, ceux-ci étant interpretés dans une intensité plus puissante. Oh, Freedom : négro spiritual qui parle des rêves des esclaves déracinés d'Afrique pour aller travailler dans les champs de coton en amérique

Auschwitz joué par l'orchestre philharmonique de Cracovie sous la direction de Krzystof Missona le 16 avril 1967. C’est un oratorio pour soprano, ténor, basse, chœur mixte et orchestre composée en 1967 (Un oratorio est une œuvre lyrique dramatique représentée sans mise en scène, ni costumes, ni décors. Généralement composé pour voix solistes, chœur et orchestre, avec parfois un narrateur, son sujet est le plus souvent religieux (épisode extrait de la Bible, de la vie de Jésus, d’un(e) saint(e)… ) mais

claire, formes sculptées argentées et aurifiées) il inspire des compositions cérémonielles et religieuses. G.GABRIELI (Italie) et S.SHEIDT (Hollande) le joignent au cornet à bouquin pour de grandes sonneries en choeur (la plus célèbre est celle de GABRIELI dans laquelle évoluait 3 choeurs de 4 sacqueboutes). SCHÜTZ (Hollande) inspiré par le chant, remarque que les polyphonies lentes s'appliquent extraordinairement aux sonorités riches des sacqueboutes. Et même plus tard, ce nouvel instrument intègre