Chouannerie

montagnarde passe du libéralisme au dirigisme absolu, donc réquisition des récoltes et des paysans. Bacchanals : grève des ouvriers et salariés agricoles. Mars : Levée de 300M hommes (Europe coalisée contre la France) provoque soulèvements : chouannerie, Vendée, Aveyron. La Terreur : maximum général des prix et des salaires c-à-d taxation sur les objets de première nécessite. 1799-1804 Le Consulat. 1800 50% du territoire est possédé par des paysans/ruraux. 1800-1802 Lois pour

parvenir à l’Indépendance des Etats-Unis. Georges Cadoudal. Il naît au hameau de Kerléano le 1er janvier 1771 dans une famille de paysans aisés. Après avoir rallié dans un premier temps les idées révolutionnaires, il bascule dans le camp de la chouannerie. Il prend la tête de l’Armée Royale et Catholique de Bretagne. Après une tentative de complot contre Napoléon, il est arrêté et guillotiné à Paris en 1804. Jean Royère. Issu d’une famille aisée, Jean Royère débute sa carrière de décorateur à l’âge

doit faire fasse à l’opposition girondine (écrasée pendant l’été et le début de l’automne), mais aussi au soulèvement contre-révolutionnaire de la Vendée (défaits à Cholet à l’automne mais non totalement vaincus, ils continuent le combat dans la « chouannerie » bretonne), aux menées royalistes (assassinat de Marat en juillet), à des trahisons dans l’armée (Toulon est livré aux Anglais puis reprise par un jeune général, Bonaparte)... Il doit répondre aux attentes des sans-culottes. Ce qui le conduit

par la révolution de Février 1848 et la vague libéral sur Paris ; néanmoins il pose ces aïeux en martyr pour la cause royaliste et de ce qu’ils ont souffert lors de 1793, c’est-à-dire l’émeute frumentaire mais surtout les guerres de Vendée et la Chouannerie, opposant royaliste et républicain, ce sera une guerre civil meurtrière, surtout du côté royaliste avec notamment les « colonnes infernales »,qui ont lieu après l’anéantissement de l’armée catholique et royale de Vendée ; c’est un mouvement militaire

charisme de chef d’État. Il sait aussi renverser à son profit le sentiment des élites, transformant la Constitution impériale en un régime calqué sur celui de la Charte « octroyée » par Louis XVIII en 1814. Il se trouve confronté au réveil de la Chouannerie et à l’immédiate reconstitution d’une coalition qui le terrasse à la bataille de Waterloo le 18 juin 1815 : une bataille décide encore du sort du régime. Le 22 juin, Louis XVIII est rétabli et Napoléon exilé, définitivement, à Sainte-Hélène.

volontaires réunis. A Lyon, à Marseille et à Toulon, on peut également voir certains troubles se produire. Après la chute de Robespierre, une réaction à la Terreur s'organise : la Terreur Blanche. A Quiberon, déjà, les anciens meneurs de la Chouannerie et de la Vendée (Cadoudal ou Stofflet) incarnent cette réaction royaliste. Le 13 Vendémiaire (Octobre 1795) voit dans Paris une manifestation royaliste que Napoléon Bonaparte fait réprimer sévèrement, en tirant au canon sur le peuple. Encore une

à raccompagner le vieillard jusqu'en France. Livre 3ème : Halmalo : Le noble vieillard et son matelot Halmalo débarquent en Bretagne. Ce dernier est chargé d'ameuter la région par un seul mot d'ordre : «Insurgez-vous». Pas de quartier». La Chouannerie est en marche : le soulèvement de la religion et des royalistes contre la République. Livre 4ème : Tellmarch : La tête du marquis de Lantenac est mise à prix : l'identité du vieil homme est soudain révélée sur une affiche signée Gauvain, chef

entière, constituée avec des volontaires bretons par le général de Kératry au camp de Conlie dans la région du Mans, est volontairement laissée à l'abandon et mal équipée d'armes inutilisables, Gambetta craignant par-dessus tout une renaissance de la chouannerie royaliste.La bataille du Mans fut la dernière défaite avant l'Armistice. Ce qui reste des armées françaises tente de résister et parvient à faire reculer l'ennemi, notamment sur la Loire et dans le Nord. Mais, très affaiblies, elles doivent battre

déconcentrées ne doivent pas être élues. C’est sous le consulat que le pas sera franchit : Napoléon nomme des préfets (personne de confiance ou compétente). Et napoléon donne de gros moyens à ses préfet (certains en abuseront …) et ils mettront fin au chouannerie/brigandage … D’où la formule : «  le bonheur des français date des préfet  ». Durant le 20ème siècle, l’image du préfet s’écorne et la gauche post-guerre envisagé de supprimer la fonction. Mitterrand au pouvoir ne supprima pas l’institution préfectorale

minorités ethniques, minorités religieuses, minorités régionales, concepts qui effrayaient à l’époque « Tocqueville dans son livre « De la démocratie en Amérique ». Si en France, l’Etat s’est construit par l’écrasement des minorités (épisode de la Chouannerie durant la révolution française et le Consulat), ou la réunion de « Maisons », il va sans dire que cette situation s’est reproduite dans différents pays qui se construisirent sur une majorité : les USA et le drame indien, l’Australie et le drame