Chouannerie

surveillant, 2 000 personnes avec Fouché. Les pouvoirs sont décentralisés à Paris (Jacobinisme). La destruction systématique de la Vendée est décidée avec les colonnes infernales (150 000 morts) mais la contre-révolution se déplace en Bretagne (Les Chouannerie). Au printemps 1794, la Terreur s’emballe avec les défaites extérieures : Robespierre élimine les enragés en Mars les dantoniste en Avril. Le 10 Juin, une loi des suspect lance la grande Terreur qui écœure même les plus extrêmes la Plaine renverse

populaire 12th Nov, 1794 10 21st Jul, 1795 23rd Sep, 1795 1st Oct, 1795 5th Oct, 1795 26th Oct, 1795 26th Oct, 1795 Capitulation des émigrés débarqués à Quiberon Organisé afin de prêter main-forte à la Chouannerie et à l'armée catholique et royale en Vendée, il espérait soulever tout l'Ouest de la France afin de mettre fin à la Révolution française et de permettre le retour de la monarchie. Cette opération militaire de contre-révolution eut un grand

juillet 1789-3 septembre 1791 -14 juillet 1790 : fête de la Fédération = Louis XVI jure fidélité à la Nation et à la Constitution -Juillet 1790 : Constitution civile du clergé => division prêtres jureurs / prêtres réfractaires => début Chouannerie -21/22 juin 1791 = Fuite du roi à Varennes -3 septembre 1791 = Mise en place de la Constitution => Monarchie Constitutionnelle Monarchie Constitutionnelle et Assemblée Législative : 1 octobre 1791 -> 20 septembre 1792 -20 avril 1792

d’adeptes du gouvernement des hommes. * 14 . Adolphe THIERS,La Monarchie de 1830, Paris, Éditions Alexandre Mesnier, 1831, p. 85. (C’est moi q(...) 18Afin d’écarter les critiques à l’encontre de “Juillet”, de ce qu’il nomme “quelques scènes de chouanneries”, Thiers expose sa vision du gouvernement. “Pour faire cesser [les manifestations], il faut calmer, éteindre les passions […], c’est du temps qu’il faut, quand on n’a pas recours aux mesures violentes […]. Il faut donc tout attendre du temps qui

détriment du réalisme de la représentation, dans un tableau comme celui de [ICO] La Mort de Bara (H/t, 1793, Avignon, musée Calvet), qui montre le corps asexué et androgyne d’un enfant, mort de la violence révolutionnaire (opposant la Révolution et la Chouannerie), mais dépourvu de toute blessure et où l’événement est en quelque sorte éludé par l’abstraction d’un fond qui ne représente rien, mais qui renforce l’appréhension par le spectateur du corps idéalisé du martyr traversé par une tension et une torsion

l’élan populaire de 1793 manque, les effectifs des troupes chouannes annoncés par les chefs n’existant souvent que sur le papier. Hoche adopte une politique de fermeté envers les chefs et de conciliation envers les ruraux, limite la chouannerie et isole les chefs vendéens. Il est aidé involontairement par le comte d’Artois, qui, après un mois passé sur l’île d’Yeu, refuse de commander les armées de Charette. Celui-ci, capturé en mars 1796, est fusillé le 29. Stofflet, victime d’une trahison

prirent aux forces de l'ordre et aux autorités. En Normandie, en Bretagne et dans les grandes villes l'effet dissuasif des autorités et la présence de nombreux gardes nationaux limitèrent les actions de ces bandes à une guérilla qu'on nommera chouannerie. En Vendée et au sud de la Loire, la rébellion s'organise véritablement. Du 10 au 13 mars, sous la conduite de Cathelineau un simple voiturier, la rébellion pris le contrôle de nombreuses villes. La ville de Cholet tombe aux mains des Vendéens

politique et que l'élan populaire de 1793 manque, les effectifs des troupes chouannes annoncés par les chefs n'existant souvent que sur le papier. Hoche adopte une politique de fermeté envers les chefs et de conciliation envers les ruraux, limite la chouannerie et isole les chefs vendéens. Il est aidé involontairement par le comte d'Artois, qui, après un mois passé sur l'île d'Yeu, refuse de commander les armées de Charette. Celui-ci, capturé en mars 1796, est fusillé le 29. Stofflet, victime d'une trahison

abstiens-toi : il aimait à rappeler dans ses lettres cette maxime d'Épictète. Dès 1824, il célébra la liberté sauvage des loups pyrénéens. En 1836 déjà, un projet s'intitulait La mort du loup, mais il s'agissait d'un chapitre d'un roman sur la chouannerie dont le héros se laissait fusiller dans un silence héroïque. La fable animale vint peu à peu s'intégrer à l’idée et se transformer en symbole. Le loup sait mourir en silence, écrivait Byron. Si des animaux d'un naturel ignoble et sauvage souffrent

dépenses militaires coûteuses. Mais au fil du XVIIe siècle, les populations sont prises d’un élan révolutionnaire dut au fléchissement de la prospérité économique de la région. La Bretagne devient par la suite un foyer de la contre-révolution : La chouannerie vendéenne, dont le chef chouan est Georges Cadoudal. Cette période révolutionnaire marque profondément la Bretagne, qui tombe dans la misère. En revanche, la révolution marque les artistes et des écrivains comme Chateaubriand acquiert une renommée