Cimetière de Picpus

de l’ouverture et de la fermeture, le week-end et les jours fériés, des jardins clos. L’ouverture est assurée en semaine par les jardiniers. En raison d’évènements exceptionnels et notamment climatiques (tempête, verglas…) les jardins clos et les cimetières peuvent être fermés à tout instant sans préavis. La surveillance des aires de jeux : La surveillance est assurée au quotidien par les agents de la surveillance spécialisée (ASS). Ils sont chargés chaque jour d’examiner tous les jeux, de signaler

impeccable. Dès le départ du convoi, je me concentrai sur les épinards en branches bouillis. Je sanglotai de plus belle en y rajoutant des anchois. Même mon frère Conrad ne parvint pas à se hisser à la hauteur de mes larmes. En arrivant au cimetière du Père-Lachaise, j'avais rajouté en plus au menu de mes pleurs des brocolis et de la cervelle d'agneau crue. Berk. J'en défaillis presque de dégoût. Dans la petite foule, quelqu'un chuchota : «J'ignorais que Michael était à ce point lié à l'oncle

Professeur en CPGE Commerciales QU’EST-CE QUE VIVRE ? "EH ! BIEN, VIVRE, LUCILIUS, C’EST ETRE SOLDAT" ......................................................... p 167 par Jean-François Riaux, Professeur de Culture Générale au Lycée Saint-Michel de Picpus, Paris S O M M A I R E METHODOLOGIE................................................................................................................ p 183 par Gilbert Guislain, Professeur au lycée Jules Ferry à Versailles, Interrogateur à Grandchamp

d’objets provenant des continents cités, un aquarium tropical. Dans cet arrondissement se trouve aussi le cimetière de Picpus où repose le marquis de La Fayette, grand artisan de l’indépendance américaine et l’un des fondateurs de la monarchie de juillet 1830. Chaque année, le 4 juillet, jour de la commémoration, l’ambassadeur américain vient sur cette tombe pour une courte cérémonie. Ce cimetière est également tristement célèbre pour avoir accueilli les corps de 1306 victimes de la Terreur de 1794

(“Le Mariage de Roland”), mais “Eviradnus” s'étale, où par ce chevalier-vengeur le poète peint l'atmosphère des châteaux médiévaux, des scènes terribles. Il écrit aussi “La Rose de l'Infante”(l'Espagne sous Philippe II, au XVI siècles), puis “Le cimetière d'Eylau” (les guerres de Napoléon), l'épopée humanitaire comme “Les pauvres gens” ou les Misérables, puis les poèmes visionnaires “Pleine Mer” et “Plein Ciel”. Le sentiment de la nature, toujours présent dans l'œuvre d’Hugo, ici, dans cette

enfants sans défense, qui avait fait rage toute la semaine, et n'avait cessé de croître, atteignit son point culminant. Le fusil ne tuait plus assez vite, c'est par centaines que les vaincus furent exécutés à la mitrailleuse. Le Mur des fédérés, au cimetière du Père-Lachaise, où s'accomplit le dernier massacre en masse, est aujourd'hui encore debout, témoin à la fois muet et éloquent de la furie dont la classe dirigeante est capable dès que le prolétariat ose se dresser pour son droit. Puis, lorsqu'il

mauvais pauvre » référence aux générations : « Le grand-père et le petit-fils » référence aux lieux : « La masure Gorbeau », « Le Petit-Picpus » référence à l’époque : « En l’année 1817 » ou « Waterloo » référence à l’intrigue : « L’affaire Champmathieu » titres en forme de proverbes : « Confier, c’est quelquefois livrer », « À chasse noire, meute muette » ou « Les cimetières prennent ce qu’on leur donne ». E. La préface 1- Si on supprime la double négation, on obtient le sens de « être utile ». -

d’une foule de personnages, plus énigmatiques, plus troublants les uns que les autres. Le chemin du souvenir, pour le narrateur, est semé d'intrigues, de questions sans réponses. Le narrateur, qui tente ici de regrouper ces fleurs poussées dans le cimetière de sa mémoire, raconte évidemment une histoire, mais ce fut avant tout une autre tentative de l’auteur pour retrouver son père, pour ouvrir enfin la dernière porte qui le sépare encore passé d'Albert Modiano, au temps de la bande de la rue Lauriston

contemporaines). C’est pourquoi la plupart de ces dramaturgies africaines sont assimilables à des tragédies, tel que le genre se définit au Ve siècle av. J.-C. à Athènes. Caya Makhélé l’explique dans son introduction de La Fable du cloître des cimetières (1995) : « Si l’homme de théâtre ne porte pas en lui un germe de tragédie, il est inutile au théâtre. Le théâtre ne peut l’accepter que s’il transpose sa propre tragédie pour la transférer aux autres.» Par le truchement des pièces antiques,

logement qu'il a loué, masure Gorbeau, 5052 Bd. de l'Hôpital. 1, 5, 12 id. 1822 id. 1823 id. id. id. id. id. 1824 — (Mars?) Poursuivi par Javert, J.V. fuit avec Cosette et se réfugie par hasard dans le couvent du Petit-Picpus où il avait fait accepter Fauchelevent comme jardinier (cf. 1820). RÉFÉRENCES I, 4, 8 et 10 1, 5, 12 I, 6, 2 ; I, 7, 5; mais voir II, 3, 10 II, 2,1 II, 2, 3 II, 3, 11; II, 3, l, etc.. II, 4, 2 II, 5, 10 Une histoire