Cimon

nouvelle, que Timoklès, orgueilleux, refuse d'entendre car il préfère s'entraîner au pentathlon. Timoklès, quinze ans, rejoint son ami Kallias, vingt-deux-ans, métèque. Il gagne la plupart des épreuves : la course, le lancer de javelot... mais son rival Cimon, fourbe, le bat au lancer de disque, au saut en longueur et à la lutte, en trichant. Son ami Kallias se lance dans un discours pour conserver l'honneur de Timoklès intact, mais le garçon est si furieux d'avoir perdu qu'il quitte le gymnase en toute

François-Xavier GARNEAU, Voyage en Angleterre et en France, 1831-1833 (1854-1855), et ceux d'Adolphe-Basile Routhier, d'Honoré Beaugrand, de N.H.E. Faucher de Saint-Maurice de Jules-Paul TARDIVEL et des frères Léon PROVANCHER, Jean-Baptiste Proulx et Henri Cimon. La qualité des récits tend à diminuer après 1914, mais quelques narrations échappent à la banalité générale. Parmi celles-ci on compte les écrits d'Henri BOURASSA, de Jean Bruchési, de Charles-Joseph Magnan et du Dr Jules Dorion, les Impressions (1954)

Ces différentes mesures marquent l’affaiblissement des institutions aristocratiques archaïque, les lois attribuées à Ephialtes parachèvent cette évolution. En 461 Cimon, chef du parti aristocratique, qui avait dominé la vie politique athénienne fut ostracisé et du quitter l’Attique pour dix ans. Ses échecs allaient être mis à profit par ses adversaires dont le plus affluent était alors Ephialtes, alors stratège. Celui-ci

quitter Athènes. L’acheteur la revend à Tanagra (cf. p. 141) . Elle s’enfuit de Samos avec son frère et, après plusieurs péripéties, retourne à Athènes. - Cimon, le principal rival de Timoklès (cf. p. 17), un garçon de 16 ans, fort et corpulent (cf. p. 17), un garçon rusé (cf. la fin du combat entre Timoklès et Cimon p. 24). Le père de Cimon est le chef des ennemis d’Oloros (cf. p. 50) - Dicéopolis: un étranger très connu pour la subtilité de ses raisonnements (cf. p. 35), un célèbre sophiste (cf

Illustrez précisément (2/3 exemples pris dans Les Caractères et rédigés) les analyses principales et secondaires suivantes1. La Bruyère observe la vie à la Cour et dénonce le règne de l’apparence :Exemple 1 : A travers différents portrait comme celui de Cimon ou encore celui de Clitandre (Portrait 19 livre VIII), il se moque de leurs comportements, de leurs règles ridicules de l’étiquette. Ces derniers n’ont comme désir que de plaire au roi (à la cour). Nous pouvons voir leur désir de paraître avec les

La guerre du Péloponnèse, p.135 : I/ Les causes de la guerre Thucydide 411, Xénophon Helléniques. Impérialisme Athènes. 461 : ostracisme Cimon, nature ligue Délos change. Athènes blocus économique Mégare appartient ligue Péloponnèse, Corinthe défend Mégare. Epimachia : Corcyre (colonie Corinthe) et Athènes. Perdiccas : roi macédoniens pèse cités Chalcidique alliées Athènes. 432 : débats Sparte. Malgré Archidamos conseille renforcer et négocier, Lacédémoniens suivent éphore Sthénélaïdas votent

victoire du cap Mycale, la lutte continue. En 467 a lieu la bataille à l'embouchure du fleuve Eurymédon, en Pamphylie, près de la cité d'Aspendos. Cette bataille marque une des grandes victoires de la ligue de Délos. Les troupes grecques, menées par Cimon, capturèrent et détruisirent 200 navires phéniciens, ce qui permit d'écarter la menace perse sur la mer car une position aussi avancée que celle de la Pamphylie met la mer Egée à l'abri d'une offensive pour longtemps. De plus, les armées grecques battirent

participer aux fêtes des divinités athéniennes. Progressivement, les tribunaux athéniens deviennent seuls compétents pour les affaires intéressant les citoyens des cités alliées. Toute ville qui rompt l’alliance est coupable de trahison. En 469, Cimon prétextant des motifs religieux s’empare de Skyros, réduit la population en esclavage et la remplace par des clérouques. Puis, il passe en Eubée et contraint Carystos à adhérer à la Ligue de Délos. Naxos après sa défection de la Ligue est assiégée

démagogiques grâce leurs connaissances et leur instruction qui leur permet de manipuler le peuple par l’art de la parole. Le texte de Plutarque( doc 2) rajoute une critique au système démocratique athénien. En effet d’après lui les riches magistrats comme Cimon étaient capable de « se concilier le peuple » en accordant « des indemnités » aux citoyens pauvres ce qui lui permettait d’acheter et de corrompre une clientèle fidèle et de s’assurer d’être élu aux fonctions les plus importantes de la magistrature

sauf Elpinice qui lui dit, en s'approchant: "Voilà sans doute Périclès, des exploits bien admirables et bien dignes de nos couronnes, d'avoir fait périr tant de braves citoyens, non en faisant la guerre aux Phéniciens ou aux Mèdes, comme mon frère Cimon, mais en ruinant une ville alliée qui tirait de nous son origine". Périclès se mit à sourire...» Il arrivait que l'Assemblée refuse à Périclès les crédits qu'il réclamait. «Très bien, dit-il un jour dans une telle circonstance: je paierai moi-même