Clerc de notaire

chaque société est formée de groupes de personnes qui sont rapproché par le genre de vie qu’elles adoptent qu’il soit religieux, militaire ou de simple nature paysanne et ces classes sont plus ou moins accessibles. En France, ces trois ordres sont les clercs qui prient (oratores), les nobles qui combattent (bellatores) et ceux qui travaillent (laboratores). Chacun assume un rôle, une mission particulière ce qui leur a valu depuis longtemps d’être doté d’un statut propre. Ici nous nous concentrerons sur

départ, Emma est enceinte. DEUXIEME PARTIEChapitre 1Les Bovary découvrent Yonville et leurs habitants. Emma est contrariée car son chien s’est enfui durant le voyage.Chapitre 2Les Bovary rencontrent Homais, le pharmacien et Léon Dupuis, un jeune clerc (notaire) à l’auberge de Mme Lefrançois. Pendant qu’Homais étale sa science devant Charles, Léon discute de musique, lecture, poésie, … avec Emma. Celle-ci espère prendre un nouveau départ.Chapitre 3Charles a peu de clients et s’inquiète de sa situation

L'édition au 18e Introduction : De rares maîtres de métier, quelques marchands, des « coqs de village », des clercs, des gens de robe et des gentilshommes sont les seuls lecteurs du 16e siècle. Mais à partir de 17e siècle, la situation évolue, l'extension du lectorat devient possible grâce aux progrès de l'alphabétisation provoqués par l'amélioration du réseau scolaire. L'Eglise voit dans l'école un instrument d'évangélisation. Au 18e siècle, le bilan de cette entreprise de scolarisation laisse

attend un enfant, son mari décide de quitter la ville de Tostes et    s'installer à Yonville-l'Abbaye. Emma fait la connaissance des    personnalités locales : le pharmacien progressiste et athée M. Homais  ;   le curé Bournisien ; Léon Dupuis, clerc du notaire M. Guillaumin ;  le   noble libertin Rodolphe Boulanger. Emma    est déçue par la naissance de la petite Berthe, puisqu’elle aurait    préféré mettre au monde un garçon. Elle s'enlise dans l'ennui, et perd    tout espoir d'une vie meilleure.

genre fantastique. » (L’étrange cas du Dr Jekyll et Mr Hyde) b) Focalisation Nous avons une focalisation zéro avec un narrateur omniscient dans les huit premiers chapitres, ce même narrateur ne fais pas parti de l’histoire. « M. Utterson le notaire était un homme d’une mine renfrognée, qui ne s’éclairait jamais d’un sourire» (Chapitre I) Dans les deux derniers chapitres nous avons une focalisation interne qui offre le point de vue du « jeu », les noms des deux derniers chapitres suffisent à

participe à la bataille d'Eylau en 1807. C'est un personnage tourmenté par l'envie de se réaproprier ses biens. Malheuresement, revenu sans nom et sans argent de la guerre, il doit trouver un moyen de se faire reconnaître. Au début du livre, les clercs du cabinet d'avoué l'appelle le « vieux carrick », un carrick est une sorte de redingote. On peut imaginer que compte tenu de sa condition de vie le colonel n'a qu'un habit troué et vieux ce qui lui rapporte ce surnom. Rose Chapotel

le riche propriétaire d’un domaine agricole, Rodolphe Boulanger, qui se lassera vite de la jeune femme, effrayé par son trop fort engouement. Puis, après avoir cherché en vain du réconfort dans la religion, elle a une deuxième aventure avec un clerc de notaire : Léon Dupuis, dont elle était tombée amoureuse lorsqu'elle était encore fidèle à son mari et qu'elle avait ensuite perdu de vue. Après avoir fait d'énormes dépenses pour ses deux amants et pour elle, Emma se retrouve criblée de dettes. Ne trouvant

s’installer à Yonville. Arrivé à Yonville dans une dans une auberge, Charles et Emma s’apprettent à manger et pour les accueillir il y avait Mr homais (pharmacien), le perceptuer binnet et le curé Bournisien. Emme sympathisa avec Leon Dupuis( clerc de notaire ) et se découvre des gouts communs. Emma donna naissance à une petite fille nommé Berth mais la vie se poursuit monotone. En février, lors d’une promenade avec en compagnie les homais et Léon, Emma réalise que Léon est amoureux d’elle mais pour

monotone. (…) Mais quand on raconte la vie, tout change (…) Les évènements se produisent dans un sens et nous les racontons en sens inverse. On a l’air de débuter par le commencement : « C’était par un beau soir de l’automne de 1922. J’étais clerc de notaire à Marommes. » Et en réalité c’est par la fin qu’on a commencé. (…) Et le récit se poursuit à l’envers : les instants ont cessé de s’empiler au petit bonheur les uns sur les autres, ils sont happés par la fin de l’histoire qui les attire et chacun

droitCOMMENTAIRE DE TEXTE Unam Sanctam Le texte soumis à l’étude, s’intitulant Unam Sanctam, est une bulle pontificale, datée au 18 Novembre 1302, et rédigée par le Pape Boniface VIII de son vrai nom Benedetto Caetani, anciennement juriste (avocat et notaire). Cette bulle, adressée au Roi Philippe IV (dit Philippe le Bel), est célèbre dans l’histoire de France car elle expose au grand jour les différents entre l’Eglise catholique et la Royauté. En effet, Boniface VIII, pontife