Clown

LE PETIT CLOWN Quarante-deux, quarante-quatre… Pardon Madame, merci Monsieur ! Cinquante, cinquante deux… Voici nos fauteuils. Face à la piste. C’est bien, n’est-ce pas ? Tu aurais préféré avoir plus de recul ? J’y penserai la prochaine fois. Mais dis-moi, comment fais-tu pour passer autant de temps à la salle de bains ? Oui, oui, je m’occupe de mes affaires. Bon, quatre-vingt fois deux pour les places, plus cinq pour le programme, plus encore les glaces. Je devrais m’en tirer à environ… Elle et

s’inspire du fou rire incontrôlable qui se produit lors d’évènements tragiques et tristes et qui permet de dédramatiser la situation. En outre, la photo prise dans un hôpital où l’association lyonnaise Docteur Clown œuvre montre un enfant malade en train de rire des blagues faites par le clown Ratabidouille. Alors, en quoi le rire permet-il de lutter contre soi et surtout comment permet-il de résister face à un système oppressif, dont la force d’écrasement s’exerce toujours de façon collective ? L’argumentation

burlesque vient - des jeux d’Estragon avec sa chaussure - du double sens : l’un concret, l’autre métaphysique de la phrase « Rien à faire ». - du couple formé par Vladimir et Estragon qui fait penser au traditionnel duo des clowns : Laurel et Hardy, le clown blanc et l’Auguste . On pense à Charlot à cause de la démarche de Vladimir et des chapeaux melons (p43). A) Des thèmes soulignant le tragique de l’existence. 1) L’ennuie. Vladimir désespère de ne rien trouver à faire. En

d’inspiration pour les artistes. Chacun a représenté à sa manière un arlequin, un pierrot ou un clown. Bref, l’un de ces personnages de comédie, dont la vocation est de nous faire rire. Mais c’est justement là que le bât blesse. Pourquoi nous les montrent t-ils tristes. Ils ne sont pas drôles du tout ici. Depuis le 19ème siècle, l’histoire de la peinture nous montre des amuseurs tristes à mourir. Bien sûr le clown est double, il représente la comédie et le drame, la dérision et le pathétique, à chaque fois

Portrait d’un comique, d’un clown, d’un homme de lettres et plus simplement d’un artiste amoureux de la langue française. La vie de Raymond Devos artiste est une histoire d’amour. Epris d’une étrange maîtresse qui se définit au masculin mais qui, pour lui, se lit, s’écoute, se déclame au féminin : les mots. Et cette romance qui, habituellement, aurait dû se vivre, comme toute romance, dans l’intimité d’une relation singulière, est devenue publique. Cette complicité du clown et des mots n’est pas sans

Effroyables jardins de Michel Quint 1.Le titre de ce roman est tiré d’un vers d’un poète français. Lequel ? Apollinaire 2.Lorsqu’il voit un clown, quels sentiments le narrateur éprouve-t-il à chaque fois ? Pourquoi ? Chagrin, larmes, désespoir et honte, notamment lorsqu’il voit un auguste. Il ressent même de la peur. Raison : son père a toujours aimé s’exhiber en auguste amateur. 3.Racontez en quelles circonstances le narrateur a appris la vérité sur son père, Gaston et Nicole.

narrateur, le fils d’un instituteur, raconte, à la 1ère personne, à quel point il détestait que son père fasse le clown. Il évoque aussi son mépris pour son oncle Gaston et sa femme Nicole. Il dévoile qu’il s’est trompé sur leur compte, et qu’il s’en est rendu compte. Grâce à Gaston qui, après une séance de cinéma où ils ont vu « le Pont » de Bernard Wicki, lui a raconté comment la vocation de clown de son père, est née. Le récit encadré (enchâssé) Le « je » de la narration est à présent celui de Gaston

"Non loin de la salle des séances, il y avait une fête publique avec bal masqué. Tout à coup, la porte de la salle s’ouvre, un clown se précipite comme un fou, poursuivi par un homme, revolver au poing. Ils s'arrêtent au milieu de la salle, s'injurient, le clown tombe, l'autre lui saute dessus, tire, et brusquement tous deux sortent de la salle. Durée de la scène : 20 secondes, au centre de la salle. Le président pria les membres présents d'écrire aussitôt un rapport, parce que sans doute, il

LES CLOWNS DE LA CITÉ FERTILE ET DE L’ENFANT MULTIPLE PORTRAIT D’UNE ÉCRIVAINE FRANCOPHONENadia HARRIS American University, WashingtonJe voudrais parler de deux romans d’Andrée Chedid, La Cité fertile et L’Enfant multiple, hypertexte de la nouvelle L’Enfant des manèges. Ces deux récits dont la production s’échelonne sur une vingtaine d’années – de 1972 à 1989 – racontent essentiellement la même histoire qui a pour cadre Paris et pour protagoniste un clown. Ils attestent l’influence du carnaval

des alinéas non justifiés) * Impression de mouvement, de folie à cause de l’absence de points de repères * Thème classique du sonnet : amour, sentiment, nature ≠élégiaque, lyrique. Ici il est question d’un cirque (Médrano, tour de piste, clown, billet,…) * Monde féerique, amusement, art,… * Le poète est aussi un artiste qui peut jouer avec l’irréel, le poète joue avec les mots * Poème = cirque b) Cendrars s’amuse, joue avec l’attention de son lecteur * Le destinataire :